Ben non c'ets compréhensible, en Allemagne il a fait un four, en france ....
Oubliez pas que c'est du bizness. JIl y aurait beaucoup a dire, l'essentiel étant de ne pas "jeter le bébé avec l'esau du bain"
Le plombage du piano est un équilibrage statique, quasiment, faire passer la réponse de la mécanqiue par des équations de masses sans tenir compte d eleur placement et d'autres paramêtre sgéométriques , très peu connus en général, est aller au devant de désillusions.
Mais vérifier les poids, leur progression régulière, ne fait aps de mal.
Aussi confondre la note trop lourde parce qu'une pièce ets plus lourde ou un peu décalée, ou surtout parce qu'il y a trop de friction, et la traiter en ajoutant du plomb au lieu de traiter la source du problème, est quelque chose qu'on rencontre assez régulièrement si on analyse le plombage.
C'est a l'américaine, en fait, ayant trouvé une façon d'appréhender des leviers par une méthode de pesée, l'inventeur en a déduit qu'il suffisait d'avoir des relations d epoids que lui déterminerait, pour transcender une mécanique.
Ce serait génial !
Alors il y a des gens qui le payent pour "calculer "des poids de mécanique et monter un piano "Stanwoodisé" .
Ca m'a impressionné au début, mais après j'ai vu ... essayé (mettre des petits plombs dans les marteaux pour équilibrer la progression de leur masse, sans tenir compte que le plomb perturbe en fait la dynamique, et les fréquences de résonannce due l'ensemble manche/tete)
Calculer une mécanique tellement puissante qu'on peut mettre des marteaux très lourds, tellement lourds que le clavier prend du jeu en vitesse.
AVoir un piano au toucher très égal (remarquable) tant qu'on ne joue pas dans l'accélération (ou l'égalité disparait et se dégrade même)
Les grands fabriquant sont attentifs a de nombreux détails et évitent (maintenant) cetaines erreurs, mais pour enfoncer un clou, un marteau suffit !
Avant d emonter un jeu d emarteaux, vérifier leur poids permet de repérer des tetes plus épaisses ou de petites irrégularités ; aussi de savoir ou on en est par rapport a l'original, connaitre les limites. C'est déja assez intéressant.
MAis en ce qui me concerne la géométrie de la mécanique est ce qui permet son bon comportement nottament l'accélération, la compression et la déformation de ces pièces en bois et en feutre.
Ce n'est pas en ajoutant ou en retirant des plombs que l'on peut changer le comportement d'une mécanique du point de vue dynamique.
De plus beaucoup de plombs (par exemple plus de plombs placés plus près du pivot des touches) crée une inertie éventuellement palisante a certain type de jeu, mais crée aussi un "frein" permanent (comme un amortisseur de direction sur une moto). Et surtout AJoute quantité de trous donc de la felxibitité, a la touche, ce qui est loin d'etre souhaitable.
J'arrète car je vais voue envoyer des photos après ça !
C'ets comme les restaurateurs qui se font palisir a monter de stables neuves sur le spianos de leurs clients (tables en kit de chez Ciresa) sans tenir compte des caractéristiques d'origine du piano, on fini avec un erzats et un portefeuiolle bien rempli, mais au final le pianiste est il content ?
Je le savais , en mettant dans le même mail Kristyan Zimmeramn et Stanwood, , que ça allit déclencher ce h=genre de question.
l'ai je bien désamorcée ?