
nashh, je préfère le rubato "à faire languir un boeuf" quand il est bien fait, que l'accélération qui gache tous les sentiments que l'on peut trouver dans cette étude.
Je veux bien nuancer parfois mais là c'est au dessus de mes forces!


ça c'est clair!Wladyslaw a écrit : Et si vous connaissez une fée, je veux bien qu'elle récite une formule et me frappe de sa baguette pour me donner son niveau technique.
Je ne connais pas du tout la vie de ce pianiste... tu peux m'en dire un peu plus?Wladyslaw a écrit : Cziffra, c'est aussi un homme, avec une histoire lourde, prisonnier politique pdt de longues années, vie semée de drames ... Une personnalité attachante et d'une grande humanité.
Parmi tous les pianistes (morts ou vivants), si il y en a bien un que j'aurais aimé rencontré, c'est bien Cziffra.
Ah oui?...Wladyslaw a écrit : À cette époque, Liszt n'était pas considéré comme un compositeur suffisant pour remplir une carrière de pianiste.
Qu'on tu l'avais prédi, je n'aime pas du tout cette version de pollini : deux fois trop rapide, complètement monocorde au niveau des nuance et complète absence de rubato comme tu le dis si bien. Pourtant le rubato fait partis intégrante de la période romantique et plus particulièrement du répartoire de liszt et chopin. On sait de plus que Liszt lui même en usait et en abusait.nashh a écrit :Beaucoup, voire énorment de personnes, voire tous le monde, aime
la X étude de Liszt jouée avec beaucoup de Rubato à faire languir un boeuf, etc etc...
Personnelement je n'ai jamais trouvé de version qui me convienne, jusqu'au jour où j'ai ouï une version par un pianiste dit "classique"
Italien, qui respecte d'usure singulièrement le texte des oeuvres qu'il interprète.Il possede un touché Italien, et aussi presque jamais égalé,
il a un jeu passe partout, et fait des plus grandes difficultés techniques des confettis pour chat.
Dans cette étude, il met à bas tous les Rubati, les ralentissements, les nuances romantiques dont la pièce est souvent "victime", pour donner toute sa vigueure au texte, par un tempo impressionant, et des nuances bien construites. Ce qui donne une impression bien plus claire, fraiche, et fluide.
Bien sûr, énormément peu de personne aime cette version.
Pollini dans Liszt : http://fr.youtube.com/watch?v=CrWxzv0OImA
[L’extension wma a été désactivée et ne peut plus être affichée.]
[L’extension wma a été désactivée et ne peut plus être affichée.]
Hahaha da fuuury of da pollini !!!! Une de mes versions préférées ! ça fait plaisir de voir que d'autres personnes aiment cette version ! quoique la meilleure que j'ai entendu est pour moi celle de Vladimir Ashkenazy. Les quelques pages de Liszt qu'il a enregistrées (Méphisto Waltz, quelques études d'exécution transcendantes), et qui sont sur son CD "great pianists of the century" sont un must absolu.nashh a écrit :Personnelement je n'ai jamais trouvé de version qui me convienne, jusqu'au jour où j'ai ouï une version par un pianiste dit "classique"
Italien, qui respecte d'usure singulièrement le texte des oeuvres qu'il interprète.Il possede un touché Italien, et aussi presque jamais égalé,
il a un jeu passe partout, et fait des plus grandes difficultés techniques des confettis pour chat.
Dans cette étude, il met à bas tous les Rubati, les ralentissements, les nuances romantiques dont la pièce est souvent "victime", pour donner toute sa vigueure au texte, par un tempo impressionant, et des nuances bien construites. Ce qui donne une impression bien plus claire, fraiche, et fluide.
Bien sûr, énormément peu de personne aime cette version.
Idem! Quoique, la version de Cziffra, certains passages sont quand même très musicaux, mais un peu brusque.Dogane a écrit :Hahaha da fuuury of da pollini !!!! Une de mes versions préférées ! ça fait plaisir de voir que d'autres personnes aiment cette version !nashh a écrit :Personnelement je n'ai jamais trouvé de version qui me convienne, jusqu'au jour où j'ai ouï une version par un pianiste dit "classique"
Italien, qui respecte d'usure singulièrement le texte des oeuvres qu'il interprète.Il possede un touché Italien, et aussi presque jamais égalé,
il a un jeu passe partout, et fait des plus grandes difficultés techniques des confettis pour chat.
Dans cette étude, il met à bas tous les Rubati, les ralentissements, les nuances romantiques dont la pièce est souvent "victime", pour donner toute sa vigueure au texte, par un tempo impressionant, et des nuances bien construites. Ce qui donne une impression bien plus claire, fraiche, et fluide.
Bien sûr, énormément peu de personne aime cette version.