Oui Nick, à défaut de faire du fric, je fais du chiffre

Excellent choix ! Tout l'opus 59 est génial. L'opus 56, aussi. Il n'est pas prévu que je la joue cette année, cette mazurka opus 59 n°3. Peut-être après 2027, quand j'aurai terminé mon programme.Carla Rocío a écrit : dim. 05 janv., 2025 20:25 Je viens toujours guetter la n3 de l’opus 59 que j’attends avec impatience. Est-ce que je l’aurais ratée??
Sur la partition, elle est très "enlevée", j'espère que je le fais percevoir à l'audition. Je m'en suis donné à cœur joie et j'ai dû me modérer.Toujours impressionnée par la quantité et qualité de tout ton travail. Pis je découvre ces mazurkas que je connais très mal.
Celle en position 3 a comme un parfum espagnol non?
Oui, je suis d'accord avec ta théorie, et je suis persuadé que l'instrumentiste est plus impliqué que l'auditeur. L'auditeur peut avoir la surprise, mais si la pièce travaille en profondeur, c'est l'interprète qui vibre le plus fort. Peut-être pas le jour du concert...On peut toujours chanter plus avec Chopin. J’ai une petite théorie prêt-à-porter sur la question: la musique de Chopin se ressent si intensément quand on la joue, qu’on a l’impression de chanter à fond. Alors que de l’extérieur l’auditeur en demande toujours plus, lui qui n’a pas le privilège de vibrer avec la pièce de l’intérieur.
Je ne le connais pas mais ca n’a pas l’air hyper dur par rapport a ce que tu joues. D’apres l’ecriture, avec une noire lourée avant chaque trille cela suggère de détendre juste avant l’initiation du trille. Peut etre il faut envisager une attaque bien verticale qui vient du haut en redescendant le poignet et apres avoir bien detendu sur le louré? Je dirais cela mais je ne suis pas un adepte de beethovenbaldr a écrit : lun. 03 févr., 2025 16:38 J'étudie la première sonate de Beethoven. J'ai du mal avec les trilles du menuet, à la fin de la section "menuet". Avez-vous des idées ?