jazz a écrit : lun. 29 janv., 2018 18:45
Cette impatience, cette focalisation bien souvent tournée vers une/ou deux oeuvres en particulier, c'est typique des personnes qui débutent.
J'en ai moi-même été victime d'ailleurs Mais c'est vrai que nous avons tous nos "chouchous", une carotte qui se balance au loin !
Je n'ai pas vaincu la fantaisie. Je rêve toujours d'une oeuvre...j'imagine qu'elle suffira...
Oui on rêve toujours d'une pièce, et puis en avançant d'une autre un peu plus compliquée et ainsi de suite...
En ce moment il y en a plein que je rêve de jouer un jour, pas forcément les plus compliquées (parce-qu'il y en a quelques-unes dont je n'ose même plus rêver...même si j'ai le souhait d'aller aussi loin qu je pourrai )
Lee a écrit : lun. 29 janv., 2018 23:07
On n'accuse jamais Chopin de la virtuosité gratuite alors que Liszt on a quoi faire...
Je ne sais pas si Liszt aurait pu écrire quelque chose d’aussi simple et « abordable » que le prélude no 4 de l’opus 28.
Complètement hors-sujet mais j'ai commencé je termine. Je veux juste dire que l'écriture en "3 parties" de Liszt avec donc plusieurs mélodies et accompagnement est plus "original" que le simple md=mélodie, mg=accompagnement qui se fait le plus petit possible de Chopin. Bien sur il y a des exceptions mais la plupart du temps c'est ça. N'empêche que je préfère Chopin pour sa simplicité et pour tout ce qu'a dit R.o.s.e.
Outre celui-ci, il y a eu plusieurs fils sur la Valse op.64 n°1, dite valse minute ou valse du petit chien.
Par exemple : viewtopic.php?p=210397#p210397 viewtopic.php?p=260562#p260562
Je voulais juste signaler un disque assez original contenant plein de détournements de cette fameuse valse : https://www.chandos.net/products/catalogue/BI%201083
avec des œuvres de Johannes Brahms,Alfred Cortot, Giuseppe Ferrata, Joe Furst, Leopold Godowsky, Louis Gruenberg, Rafael Joseffy, Moritz Moszkowski, Isidore Philipp, Max Reger, Moritz Rosenthal, Kaikhosru Shapurji Sorabji.