Lee a écrit :"respire" après la première note, ça n'aidait pas trop.
J'ai aussi des bougies magiques et de l'encens
Bon plus sérieusement... il faut mettre du béton dans tous les interstices. Il faudrait comprendre pourquoi parfois ça ne passe pas... Quelques idées de bétonnage...
- Est-ce que le doigté est certain et confortable partout ?
- Peut-on jouer le trait dans sa tête tout en ayant mentalement le doigté décidé à chaque note ?
- Si le doigté créé de l'insécurité, est-ce qu'il utilise les doigts 4 ou 5, et est-ce qu'on peut changer pour rester sur les doigts 1-2-3 et avoir le pouce là où ça nous aide, même si le doigté semble non conventionnel ? (le principal est le son)
- Est-on toujours au stade note par note, ou est-ce que le trait a été correctement divisé en sous-parties, qui forment souvent des empreintes confortables qui s’enchaînent les unes après les autres ? je suggère de noter des crochets horizontaux au crayon au dessus des parties du trait, pour visualiser la subdivision dans le travail.
- Est-ce que le problème se situe au sein d'une empreinte confortable (a priori défaut d'articulation ou de note feignante à renforcer) ou bien est-ce que c'est le passage d'une partie du trait à une autre qui nous ennuie (problèmes possibles : position de la main ou rotation parasite, empreinte suivante non mentalisée en avance) ?
- Est-ce que le trait est renforcé par la conscience des notes jouées à l'autre main aux endroits clé ? Voire par l'écoute d'une rencontre verticale de deux notes (chaque main) par laquelle on sait qu'il faut passer (cette technique indirecte peut être très puissante) ?
Un trait est comme une petite énigme, ça se résout presque "logiquement" et la solution s'apprend par la répétition consciente des éléments de la solution...