Quel splendeur ! Ce n'est pas juste un pauvre baume - j'étais sourde, et maintenant j'entends. Voilà le pouvoir d'une belle prière, merci.jean-séb a écrit :Lee, voici un baume souverain contre les blessures de Chostakovitch. Il faut soigner le mal par le mal :
http://vimeo.com/49392039
(mouvement lent du concerto n°2 pour piano)
Mais...comment ça peut être le même compositeur que ce que j'ai déjà entendu ? J'ai lu que c'était pour son fils...
Tu m'incites à la réflexion ou l'inquiètude là. Comment éviter de tomber dans le "gnan-gnan" ? J'ai déjà lu les PMistes qui parlent de ne pas tomber trop dans la sentimentalité, etc., mais je ne comprends pas ça. Il se peut que ça soit comment je joue tout le temps.nox a écrit : A la base c'est une pièce pour orgue. Le prélude est jouable sans trop de soucis (même si musicalement pour amener toute la profondeur sans tomber dans le "gnan-gnan" ce n'est pas si évident), mais la variation c'est une autre paire de manches.
) etc...
Je ne suis même pas sûre ce que gnan-gnan veut dire, sans parler de comment l'éviter.
Alors ça me fait penser que ça pourrait aussi être question de goût.twane a écrit :
Aller une autre.
Lipatti
http://www.youtube.com/watch?v=ukndMAyinDA
vs
Kissin
http://www.youtube.com/watch?v=IxKDVEwpsis
Pour moi y'a pas photo un point pour le vieux ou plutôt pour le mort.
Kissin veut la jouer trop lent trop sentimental on sent qu'il cherche l'orgasme mais que ça vient pas; lol Lipatti nous emmène dans une interprétation dynamique avec un rubato qui te fait bien tourner la tête, ça valse quoi. je pense que là également il y a plus des mauvais choix de la part de kissin qu'autres chose.
C'est très beau en effet.... mais enfin pourquoi Poutine dirige l'orchestre ????jean-séb a écrit :Lee, voici un baume souverain contre les blessures de Chostakovitch. Il faut soigner le mal par le mal :
http://vimeo.com/49392039
(mouvement lent du concerto n°2 pour piano)
.
Cette phrase mériterait un fil à elle-seule !nox a écrit :''je dirais que pour moi c'est plus un sentiment d'abandon, de résignation ni heureuse ni malheureuse. C'est une contemplation à la fois introspective et tournée vers le haut, un peu comme le moment où on décide de finalement tout laisser entre les mains d'une puissance supérieure. On regarde et on espère.
Qu'il en soit ainsi...en quelque sorte...''
Absolument, elle prend toute sa beauté quand elle est jouée bien plus lentement, et ça m'arrange !JPS1827 a écrit :Une très jolie étude de polyphonie ; le mouvement marqué paraît bien rapide.
