Je fais parti des autres, ceux qui se sont retrouvés là, qui ne savent pas pourquoi ils passent le concours, c'est clair que personnellement, je ne me verrai jamais devant 25 ados !!! et je vous assure que nous sommes un petit nombre comme ça dans la promo.
Toujours est-il que j'ai eu mon écrit, génial, maiq que je vais comme tous les ans échouer à l'oral, et pourquoi ? parce que le jury voit bien que j'en ai rien à cirer. Je me suis pris la tête hier parce que je ne veux pas passer cet oral.
Je prends la place du candidat n°228 qui était peut être motivé, et parce que dans les 227 1ers il y en a une qui n'en a rien a cirer..... rate sa chance. 227 pris sur environ 900, suis mdr, j'y retourne l'an prochain, c'est sympa les hotels à Arcueil !)
En ce qui concerne les autres voies, Bon courage pour BDGH et notre nouveau membre. Concertiste, il faut etre sacrement doué, piano bar ça paye pas....
J'ai réussi à trouver des postes, je tourne sur 3 écoles associatives, j'accompagne 1 chorale... pour gagner l'équivalent du SMIC sur l'année, il faut faire des heures, et le SMIC avec un bac+3 ou 4.........
Un peu perdu...
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Jean-Michel Verdier
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- Enregistré le : sam. 20 août, 2005 21:37
- Mon piano : Sauter 165
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Effectivement aujourd'hui, j'ai plus l'impression qu'on forme des pianistes plutôt que des musiciens.yannis a écrit :C'est sans rapport à la valeur commerciale de ta mère, mais je pense qu'aujourd'hui, Cortot jouant comme il jouait, ne serait admis dans aucun établissement prestigieux. Idem pour Schnabel, Paderewski, Rachmaninoff... À l'époque les fausses notes étaient faisaient partie du jeu...
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Jean-Michel Verdier
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Bravo quand mêmelouna a écrit :je viens d'avoir depuis ce midi mes résultats de capes, je suis encore admissible, sauf que j'en ai rien à cirer de me retrouver devant des collégiens à jouer du pipeau.
Je pense par ailleurs qu'enseigner à des collégiens peut être valorisant. Je connais une prof qui, au lieu du pipeau, fait de la batterie et des instruments traditionnels africains. Par ce biais là, elle arrive à captiver son auditoire et à faire passer des messages. En France, la culture musicale est assez désolante et je pense que c'est peut-être un bon moyen d'attirer des jeunes.
Heureusement, les bons profs de musique en collège, ça existe.
Lors de mes stages, j'en ai vu des bons, qui rejoignaient jusqu'à 100 choristes sur 500 collègiens... des profs qui font un travail remarquable.
et d'autres.... on sent que les collegiens s'ennuient en cours (ils se retournent vers la stagiaire toutes les 30 secondes ..... )
Je sais que je ne ferai pas une bonne prof de collège, pas de motivation= le bide... et je suis trop petite et trop gentille , je me ferais bouffer de toute façon !
Bref, pas pour moi, je laisse volontier ma place à Gastiflex et les autres !
Lors de mes stages, j'en ai vu des bons, qui rejoignaient jusqu'à 100 choristes sur 500 collègiens... des profs qui font un travail remarquable.
et d'autres.... on sent que les collegiens s'ennuient en cours (ils se retournent vers la stagiaire toutes les 30 secondes ..... )
Je sais que je ne ferai pas une bonne prof de collège, pas de motivation= le bide... et je suis trop petite et trop gentille
, je me ferais bouffer de toute façon !Bref, pas pour moi, je laisse volontier ma place à Gastiflex et les autres !
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je m'interroge depuis un moment : réponse par MP ou sur le forum ? j'ai choisi le forum.
Un sage a dit "l'expérience est un fanal que l'on porte accroché dans le dos et qui éclaire le chemin parcouru" donc mon expérience ne servira en rien à louna, mais ????
A vingt ans j'étais étudiant à sup de co (section finances gestion) et je ne rêvais que de pianos et de musique, (j'avais commencé le piano à 18 ans). J'ai découvert une quatrième année qui permettait de préparer le concours du capet en sciences et techniques économiques. Je n'avais pas particulièrement envie d'enseigner mais cela me permettait de réaliser mon rêve : un métier qui me permetrait de consacrer mon temps de libre à la musique ; mon pb à l'époque était "comment vivre decemment et faire du piano , il ne m'était jamais venu à l'esprit "comment vivre du piano ?" Mes 18 heures de cours à l'EN me permettait de jouer, mon travail de préparation pouvait se faire la nuit, (j'étais jeune et beau, ouaf, ouaf, et infatiguable surtout) j'ai été admissible à l'agreg, oral en mai 68 mais comme mes éléves m'avaient pas mal "fait réfléchir", j'ai démissionné sans m'être présenté.
Mais la musique m'a suivi toute ma vie, j'ai quitté l"EN et j'ai consacré ma vie professionnelle là a formation des adultes - mais c'est une autre histoire - et j'ai pratiquement joué du piano jusqu'à aujourd'hui lol
Je crois qu'il faut se donner un projet (cf les post de yannis) et se demander quels sont les moyens d'y arriver. Il y a des gens qui ont des boulot de gardien de nuit pour continuer à écrire.....
PS : je ne crois pas qu'on seul concertiste puisse dire "à six ans ou à huit ou à.....c'est ce que je voulais faire" ; je suis un peu triste de si peu de réactions au texte mis en ligne par padri, texte x qui me parait fondamental ; et tiens j'y pense à la seconde, un de mes bons copains est rentré ambulant au ptt pour faire du théatre ! comme quoi
Un sage a dit "l'expérience est un fanal que l'on porte accroché dans le dos et qui éclaire le chemin parcouru" donc mon expérience ne servira en rien à louna, mais ????
A vingt ans j'étais étudiant à sup de co (section finances gestion) et je ne rêvais que de pianos et de musique, (j'avais commencé le piano à 18 ans). J'ai découvert une quatrième année qui permettait de préparer le concours du capet en sciences et techniques économiques. Je n'avais pas particulièrement envie d'enseigner mais cela me permettait de réaliser mon rêve : un métier qui me permetrait de consacrer mon temps de libre à la musique ; mon pb à l'époque était "comment vivre decemment et faire du piano , il ne m'était jamais venu à l'esprit "comment vivre du piano ?" Mes 18 heures de cours à l'EN me permettait de jouer, mon travail de préparation pouvait se faire la nuit, (j'étais jeune et beau, ouaf, ouaf, et infatiguable surtout) j'ai été admissible à l'agreg, oral en mai 68 mais comme mes éléves m'avaient pas mal "fait réfléchir", j'ai démissionné sans m'être présenté.
Mais la musique m'a suivi toute ma vie, j'ai quitté l"EN et j'ai consacré ma vie professionnelle là a formation des adultes - mais c'est une autre histoire - et j'ai pratiquement joué du piano jusqu'à aujourd'hui lol
Je crois qu'il faut se donner un projet (cf les post de yannis) et se demander quels sont les moyens d'y arriver. Il y a des gens qui ont des boulot de gardien de nuit pour continuer à écrire.....
PS : je ne crois pas qu'on seul concertiste puisse dire "à six ans ou à huit ou à.....c'est ce que je voulais faire" ; je suis un peu triste de si peu de réactions au texte mis en ligne par padri, texte x qui me parait fondamental ; et tiens j'y pense à la seconde, un de mes bons copains est rentré ambulant au ptt pour faire du théatre ! comme quoi
d'envisager le métier avec un regard neuf..
.TU AS ENTENDU LOUNA??
mauvaise excuse lounaQue Kawaii réfléchisse bien tant qu'il est jeune, il peut garder le piano à côté, il est possible de le bosser encore pendant les études (enfin dépend de la branche choisie...) mais surtout, ne pas se jeter à l'aveugle là dedans, il faut en effet se demander "qu'est ce que je ferais si le piano n'était pas dans ma vie ?" Il y a l'enseignement en collège dans la musique, aussi le management de spectacles.... mais il doit bien y avoir plein d'autres branches fascinantes en dehors de la musique !
J'ai fait l'erreur de me balancer là dedans tête baissée (car personne ne pouvait le prévoir ? à ma terminale en 2000, on nous a tous encouragé car en 2005 toute la génération baby-boom partait en retraite, resultat, ils partent, on diminue les postes).
Quant on n'est pas diplomé du conservatoire qu'on n'a pas de De, restent les écoles associatives, c'est payé environ 15euro de l'heure, car nous sommes des "animateurs" et non des profs. Sachant que nous sommes payés à l'heure, qui mensualisent ensuite pour qu'on ne soit pas à 0 en juillet/aout où l'on ne travaille pas.... il ne reste pas grand chose.
A 18 ans, on peut encore réfléchir, j'en ai 24, j'ai un loyer à payer , toutes les contraintes d'une petite vie, je ne peux plus me permettre de me lancer dans d'autres étuds et ne rien gagner ou toucher un 1/2 Smic par mois.
c'est bien beau de se dire "je veux faire de la musique mon métier", mais quand on se lance là dedans en ayant commencé tard, il faut se mettre en face de la réalité, à part quelques cracks, les chances d'en vivre correctement sont presque nulles.
J'ai fait l'erreur de me balancer là dedans tête baissée (car personne ne pouvait le prévoir ? à ma terminale en 2000, on nous a tous encouragé car en 2005 toute la génération baby-boom partait en retraite, resultat, ils partent, on diminue les postes).
Quant on n'est pas diplomé du conservatoire qu'on n'a pas de De, restent les écoles associatives, c'est payé environ 15euro de l'heure, car nous sommes des "animateurs" et non des profs. Sachant que nous sommes payés à l'heure, qui mensualisent ensuite pour qu'on ne soit pas à 0 en juillet/aout où l'on ne travaille pas.... il ne reste pas grand chose.
A 18 ans, on peut encore réfléchir, j'en ai 24, j'ai un loyer à payer , toutes les contraintes d'une petite vie, je ne peux plus me permettre de me lancer dans d'autres étuds et ne rien gagner ou toucher un 1/2 Smic par mois.
c'est bien beau de se dire "je veux faire de la musique mon métier", mais quand on se lance là dedans en ayant commencé tard, il faut se mettre en face de la réalité, à part quelques cracks, les chances d'en vivre correctement sont presque nulles.
Je veux le passer car c'est un plus sur le cv, c'est l'unique raison.
(et ça m'éclate d'aller tous les ans à la maison des examens passer cet écrit, trop marrant).
Et surtout, je me lamente sur mon sort, mais c'est pour pas que d'autres fassent mes erreurs ! Je le regrette pour des raisons matérielles, car jamais je n'aurais unepaye de ministre, etc....
Mais ce que je fais me plait énormement, j'ai beaucoup de succès auprès des enfants et de leurs parents, je rentre assez tard certains soirs, je bosse mercredi et samedi toute la journée, mais toute la semaine, mes journées commencent à 16h30 ce qui laisse plein de temps libre, et matériellement, je m'en sors plutot pas mal, on peut, oui, mais faut se battre, se donner les moyens, il faut aussi parfois avoir le chance d'une bonne rencontre, ou se trouver au bon endroit au bon moment... et faut dès le début se mettre dans la caboche qu'on aura le même salaire toute sa vie, pas d'évolution, que si un jour on a des enfants que lorsqu'on rentrera le soir ils seront déjà couchés....
Il y a plein de gens qui toute leur vie vont travailler à la chaine en usine, qui vont avoir pour seule évolution de carrière leur ancienneté, il en sera de même pour moi, sauf que je touche plus qu'eux, que je ne travaille pas pendant les vacances, que je fais moins d'heures qu'eux, et que je n'ai pas de patron au dessus de moi !
C'est plus rose vu comme ça, tout lemonde va y foncer là !!!
Fini pour moi, je ne vais pas polluer le post de Kawaii.
Bref, tu peux le faire, j'en suis un peu la preuve, mais il faut dès le début que tu saches à quoi t'attendre, si tu ne touches pas les cachets d'HG et que tu n'as pas le niveau pour être prof dans un établissement géré par l'Etat.
(et ça m'éclate d'aller tous les ans à la maison des examens passer cet écrit, trop marrant).
Et surtout, je me lamente sur mon sort, mais c'est pour pas que d'autres fassent mes erreurs ! Je le regrette pour des raisons matérielles, car jamais je n'aurais unepaye de ministre, etc....
Mais ce que je fais me plait énormement, j'ai beaucoup de succès auprès des enfants et de leurs parents, je rentre assez tard certains soirs, je bosse mercredi et samedi toute la journée, mais toute la semaine, mes journées commencent à 16h30 ce qui laisse plein de temps libre, et matériellement, je m'en sors plutot pas mal, on peut, oui, mais faut se battre, se donner les moyens, il faut aussi parfois avoir le chance d'une bonne rencontre, ou se trouver au bon endroit au bon moment... et faut dès le début se mettre dans la caboche qu'on aura le même salaire toute sa vie, pas d'évolution, que si un jour on a des enfants que lorsqu'on rentrera le soir ils seront déjà couchés....
Il y a plein de gens qui toute leur vie vont travailler à la chaine en usine, qui vont avoir pour seule évolution de carrière leur ancienneté, il en sera de même pour moi, sauf que je touche plus qu'eux, que je ne travaille pas pendant les vacances, que je fais moins d'heures qu'eux, et que je n'ai pas de patron au dessus de moi !
C'est plus rose vu comme ça, tout lemonde va y foncer là !!!
Fini pour moi, je ne vais pas polluer le post de Kawaii.
Bref, tu peux le faire, j'en suis un peu la preuve, mais il faut dès le début que tu saches à quoi t'attendre, si tu ne touches pas les cachets d'HG et que tu n'as pas le niveau pour être prof dans un établissement géré par l'Etat.
C'est vrai que tous ces échanges donnent à réfléchir... Peut-on vivre de sa passion ? En ce qui me concerne j'ai choisi la "sécurité" lorsque j'avais une vingtaine d'années et par moment un petit regret mais de toute manière je considère qu'il est trop tard pour tout changer... Actuellement j'ai un boulot pas vraiment éclatant mais qui m'apporte un salaire correct. Comme ce travail ne me passionne pas, j'y passe le moins de temps possible et direction maison et dès que je peux piano (faut d'abord assurer le côté ménager, familial..). Donc au total il me reste environ 2h par jour à consacrer au piano. J'aimerais bien sûr y passer plus de temps mais une journée n'ayant que 24h et que en plus je suis une grosse dormeuse...
J'ai aussi l'exemple de mon prof de musique qui peut donner à réfléchir. Il donne donc des cours dans une association (à 15 € net comme Louna et il a plus de 40 ans) et joue dans un orchestre pro. Pour lui, les vacances, c'est de ne plus faire de musique. Où est passé la passion ?
Et puis être prof dans une association, c'est aussi des horaires très difficiles lorsque que l'on a des enfants. On travaille lorsque eux sont à la maison...
Alors c'est vrai que pour ces raisons, j'ai choisi d'essayer de concilier travail, vie de famille et piano !
J'ai aussi l'exemple de mon prof de musique qui peut donner à réfléchir. Il donne donc des cours dans une association (à 15 € net comme Louna et il a plus de 40 ans) et joue dans un orchestre pro. Pour lui, les vacances, c'est de ne plus faire de musique. Où est passé la passion ?
Et puis être prof dans une association, c'est aussi des horaires très difficiles lorsque que l'on a des enfants. On travaille lorsque eux sont à la maison...
Alors c'est vrai que pour ces raisons, j'ai choisi d'essayer de concilier travail, vie de famille et piano !
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alain17
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Jean-Michel Verdier a écrit :Effectivement aujourd'hui, j'ai plus l'impression qu'on forme des pianistes plutôt que des musiciens.yannis a écrit :C'est sans rapport à la valeur commerciale de ta mère, mais je pense qu'aujourd'hui, Cortot jouant comme il jouait, ne serait admis dans aucun établissement prestigieux. Idem pour Schnabel, Paderewski, Rachmaninoff... À l'époque les fausses notes étaient faisaient partie du jeu...
Rien n'est parfait ! Y aurait-il aussi des piansites malgré eux !
surtout quand on lit par exemple les réponses que donnent Alexandre Tharaud dans l'entretien du dernier Monde de la Musique....
Pourquoi vous êtes vous êtes vous mis au piano ?
" parce qu'on ne m'a pas donné le choix. On m'a assis devant un piano quand j'avais cinq ans.........."
on ne peux pas ne pas penser "au dressage"
musicien ? pianiste ?
Mais apparemment il s'en est bien sorti en développment une certaine autonomie et une personnalité attachante loin des farandoles médiatiques.
En plus il n'a même pas de piano chez lui et sa réponse à ce sujet ne manque pas d'intérêt.
En effet, je viens de jeter un coup d'oeil là dessus, une autre des asso où je travaille ne connait pas ces annexes... !Padrix a écrit :Serais-tu par hasard (comme moi) une victime du satané groupe 3 défini par cette satanée convention collective 3246 de l'animation ?
Si tel est le cas, jette un oeil à l'annexe 1 de ladite convention : je suis convaincu que tu en auras une lecture sensiblement différente de celle qu’en ont tes employeurs. Goûte en particulier la beauté de l’article 11, et surtout celle des cinq premières lignes de l’article 14. Un régal.
Et puis si ça peux te réconforter (mais j’en doute), je touche dix euros bruts de l’heure, ce qui rend un éventuel smic quasi inaccessible, à pas loin de 37 heures de cours hebdomadaires. Passion, quand tu nous tiens...
A titre d'information, connais tu quels sont les diplomes dont ils parlent ?
Sinon, ça m'a bien fait rire, je sui bien "animateur technicien" (bon, ils mettent "animateur technicien FM/ piano" ça fait plus chic). Niveau A indice 220. Mais là que juin arrive, organisation des examens, car il y a un suivi, avec des heures non payées pour le rab, toutes les copies de l'écrit à corriger, non payées... bulletins à remplir...
Ils se foutent du monde !
Nous avons déjà rêlé avec la "prof" de violon (qui doit connaitre cet article), comme quoi on faisait le boulot de prof (suivi et tout, ) et qu'on voulait que ça figure sur le bulletin de paye, mais ils refusent catégoriquement.
