
[tu as oublié la fin, "Grimaud parle aux loups"....

Je serais quand même moins nostalgique que toi sous ce rapport. C'est a partir du moment ou Dieu a cesser de se meler de nos affaires que l'on a pu commencer à se regarder les uns les autres.... et a tisser du lien social, autre que des rapports hierarchiques. On s'est en quelque sorte responsabiliser de l'injustice (que l'on a pu ainsi nommer et qui ne date pas non plus de très longtemps, puisqu'avant n'existait qu'un "ordre des choses" plus ou moins douloureux ou plus ou moins agreable). La place laissée vide ne nous a pas, à mon sens, "coûté" la raison, elle l'a permise. alors oui, plus de mystère, plus de Bach, mais bon.....moi je ne changerais pas ma place (même pour un bon CDOr, nous avons besoin de quelque chose qui nous sépare. Cette place laissée vide nous a coûté la raison.
Tout à fait d'accord si je me place dans la perspective des rappots sociaux. Mais je parlais là de représentations symboliques.petitcaudron a écrit : Je serais quand même moins nostalgique que toi sous ce rapport. C'est a partir du moment ou Dieu a cesser de se meler de nos affaires que l'on a pu commencer à se regarder les uns les autres.... et a tisser du lien social, autre que des rapports hierarchiques. On s'est en quelque sorte responsabiliser de l'injustice (que l'on a pu ainsi nommer et qui ne date pas non plus de très longtemps, puisqu'avant n'existait qu'un "ordre des choses" plus ou moins douloureux ou plus ou moins agreable). La place laissée vide ne nous a pas, à mon sens, "coûté" la raison, elle l'a permise. alors oui, plus de mystère, plus de Bach, mais bon.....moi je ne changerais pas ma place (même pour un bon CD)