joaquim a écrit :reflets.mp3
Quelques minutes de Bosendorfer impérial (ou 275 ? ) je ne me souviens plus.
Le passage est court mais je voulais faire entendre le rendu des aigus un peu sollicités violemment, l'enregistrement est "maison" ça joue aussi...
Il a des aigues ce Bosendorfer, tout a fait bien maitrisé par ton ami ... j'entend qui finit par saturer, mais le pianiste reste a la limité, du coup ça sonne bien.
(difficile l'harmonisation des aigues sur ces pianos) j'aime la réactivité du son des l'attaque, tiens, de la matière est disponible... ça s'entend. (il faut de bons marteaux, qui envoient su son assez précis en jeu fort, alors que la forme est très arrondie sur les Bosen, mais par exemple j'en ai vu un monté avec des têtes "Steinway style" eh bien c'est pas a l'avantage du piano, il faut cette forme en oeuf pour profiter du grain (au détriment des forte trés incisifs de la forme en diamant STeinway, le piano n'est pas prévu pour il a des forte qui doivent un peu "s'écraser" au lieu de se concentrer, sans doute ça a changé maintenant qu'il y a cette filtration du son par les échelles duplex , qui je pense absorbent le surplus d'énergie et domestiquent le timbre ... en ajoutant du "bruit" que l'oreille accepte comme musical, mais aussi je crois en influançant les phénomenes de phase dansles unissons comme une sorte de ballast "actif" , mémé idée que Bluthner avec les aliquot, du point de vue gestion de l'énergie) ça joue sur la façon dons les ondes sont réfléchies en filtrant certaines fréquences et en déstabilisant les phases, je pense que l'idée est la.
SI on les accorde précisément sur les partiels des cordes jouées le son se purifie dans les harmoniques, mais l' énergie étant plus canalisée il me semble quon obtient aussi un appauvrissement des fluctuations de phase qui font que le son est vivant.
De tte façon il ne faut pas se faire d'illusion, les 3 cordes dune même note ne sont que rarement de la même longueur (volontairement ou pas) , alors ça prend du temps avant qu'elles puissent se mettre a l'unisson par attraction, c'est ce qui nhous donne de la matière a travailler en tant qu'accordeurs.
C'est beau ce que j'écris, presque du Stendhal !