dominique a écrit :Tu peux les prendre en parallèle, je ne sais pas du tout où tu en es des connaissances du Danhauser, et c'est un livre de référence sur lequel il faut revenir plein de fois ! C'est un peu comme une bible de connaissances, pas un livre de cours.
Tu as aussi le livre de Claude Abromont, chez Fayard en coédition avec Lemoine, Guide de "la théorie musicale", dans la collection "les indispensables de la musique". Il est extrèmement complet car il traite aussi de l'évolution historique de la théorie musicale. Il est beaucoup plus "moderne" que le Danhauser et peut-être plus digeste.
C'est dur de te conseiller sans connaître ton niveau actuel !
En tout cas, ce sont trois livres passionnants, très bien faits tous les trois.
[Mode Banlieue Paris On]
Ouah ce post, trop d'la balle.. On s'absente quelques heures et on se croirait dans le 93 un soir de décembre 2005 tellement que c'est animé, j'le kiffe trop grave !
[Mode Banlieue Paris Off]
Bon, juste pour dire que pour mon pauvre esprit mathématique le Danhauser (édition 1970 environ) m'a toujours paru d'une limpidité absolue, et rébarbatif comme il se doit quand il s'agissait d'apprendre par coeur certains fondamentaux pour ne pas avoir à les recalculer (quelle est la clé de la gamme de SOL# majeur ? Moi il faut que je la recalcule, je suis sûr que DOMINIQUE le dit sans même s'arrêter de tricoter

...).
Pour l'analyse et/ou l'harmonie, je crois que c'est le FEGER que j'avais vu chez DI-AREZZO et qui m'avait tapé dans l'oeil.
Je vais l'acheter un de ces sans attendre le pêre Noël, sauf si en redépilant ce post je trouve en lisant bien quelque chose de plus judicieux.
Pour ma part je n'ai pas trop de crainte d'être perdu dans l'un quelconque si tant est qu'ils soient aussi logiques que le Danhauser, et la théorie de l'analyse ou de l'harmonie ont probablement un part importante de logique, mais j'ai plus de crainte dans ma capacité à supporter autant d'informations sans me lasser... On verra.
BM

Je ne crains pas le suffrage universel, les gens voteront comme on leur dira.
A. de Tocqueville