on m'a expliqué que dans les appels d'offres du batiment, on (les grosses entreprises de batiment) propose un prix très bas (prix coutant) pour avoir le marché, mais en prenant soin de ne définir qu une prestation minimale, ceci fait on est sur quil y aura des avenants sur lesquels on commence a gagner quelque chose.Rubato a écrit :
Je prends une comparaison : l'an passé, nous avons fait la réfection du beffroi de l'église. Au moment de nettoyer la façade, l'entrepreneur a découvert des trous dans la façade. Il ne les a pas fait : j'habite en face. Il a donc fallu un supplément pour les combler et cela a été voté par le conseil ce qu'il fallait faire car c'était une dépense d'investissement.
Dans le cas présent, c'est plutôt du fonctionnement, donc le surcoût éventuel peur être pris en charge si le maire signe et si cela tient dans son budget mais après c'est une question d'honnêteté entre les deux parties.
Dans une répartaion d epiano ça peut conduire a pas mal de soucis, car l'importance du travail n('ets pas la mème que le toit de la cuisine municipale ou autre, et l'artisan qui propose un devis propose aussi une solution viable , en théorie.
Les clauses "sous réserve de problèmes apparaissant au démontage" sont une garantie de ne pas avoir le marché , or c'est la réalité sur ce type de réparation (enfin, avec beaucoup d'expérience on ssit ce qui peut arriver et on essaye de se couvrir mais sinon il y a des choses qu on ne verra qu une fois les cordes déposées, la mécanique démontée....
D'ou l'importance du cahier des charges et donc d'une expertise préalable du piano.