Franchement, si tu peux, diriges toi vers la série C. Le reste est à mon avis vraiment en dessous, surtout le A1 d'ailleurs.trio33 a écrit :Je souhaite me ''remettre'' au piano après quelques années de moindre pratique (études, travail, déménagements...) et je compte acheter un petit piano quart de queue neuf. Compte tenu de la place dont je dispose (40 m2) et du budget que je souhaite y consacrer (moins de 15000€), mon choix se porte actuellement vers un Yamaha GC1 ou un Pétrof PIV. Bien sûr, les Schimmel ou Sauter que j'ai essayés ont, à longueur équivalente, une sonorité encore plus plaisante mais ils sont deux fois plus chers...
La différence de prix entre le GC1 et le C1 (que je n'ai pas pu jouer) est-elle seulement expliquée par la finition du meuble?
Dans cette catégorie, quels autres instruments pourriez-vous me conseiller?
Un achat par internet auprès de grandes sociétés parisiennes ou marseillaises pour ne pas les nommer, qui affichent des prix inférieurs de 3000€ à ceux pratiqués dans les magasins de province, est-il raisonnable?
Merci pour vos avis
) doit s'instaurer entre le pianiste, son piano, et son technicien. Donc ce genre de solution 30% moins chère n'est valable que si tu te fous de ton piano, si tu l'achètes simplement pour décorer, ou bien pour pianoter 5mn tous les trois mois.À l'École de musique il y a un quart de queue Kawai (relativement neuf) et je le trouve beaucoup plus sec, beaucoup plus métallique que mon Yamaha C2... Je ne sais pas si c'est un cas isolé, mais je ne conseillerais ce piano là pour rien au monde.adito a écrit :Kawai RX2 à 14 000 euros.
Oui mais pourquoi le technicien serait forcément le vendeur? Un technicien indépendant, ne touchant pas de commission sur la vente du piano qu'il aura à entretenir, est-il moins digne de confiance ? Ou est-ce que les techniciens locaux cherchent à être intermédiaires de vente ?Je crois qu'un "contrat de confiance" (je sais, c'est pas de moi ) doit s'instaurer entre le pianiste, son piano, et son technicien. Donc ce genre de solution 30% moins chère n'est valable que si tu te fous de ton piano, si tu l'achètes simplement pour décorer, ou bien pour pianoter 5mn tous les trois mois.
Stereden a écrit :Oui mais pourquoi le technicien serait forcément le vendeur? Un technicien indépendant, ne touchant pas de commission sur la vente du piano qu'il aura à entretenir, est-il moins digne de confiance ? Ou est-ce que les techniciens locaux cherchent à être intermédiaires de vente ?Je crois qu'un "contrat de confiance" (je sais, c'est pas de moi ) doit s'instaurer entre le pianiste, son piano, et son technicien. Donc ce genre de solution 30% moins chère n'est valable que si tu te fous de ton piano, si tu l'achètes simplement pour décorer, ou bien pour pianoter 5mn tous les trois mois.
Le fait est qu'il y a de moins en moins de vendeurs de pianos et que sauf à habiter Paris (ou Lyon et Marseilles ?), acheter chez un revendeur local implique de limiter son choix aux quelques modèles dont il dispose. Néanmoins, compte tenu du budget conséquent d'un tel achat, se déplacer, même à l'autre bout de la France, pour essayer le piano qu'on convoite est fortement recommandé. Et permet de comparer une grande variéte de modèles. A moins de faire confiance à son technicien local pour remédier à une préparation baclée par le revendeur ?
Oui, auquel cas mieux vaut ne pas insister. N'empêche que ça s'appelle un refus de vente, en l'occurence de services pour lesquels ce technicien est enregistré au registre du commerce, ce qui est illégal.Après tout, un technicien indépendant peut refuser de travailler sur un piano qui ne vient pas de chez lui
, sous prétexte de briser la garantie qui lie le client à la boutique qui lui a vendu le piano.
Je ne sais pas si c'est légal ou pas, mais ça se fait.Stereden a écrit :Oui, auquel cas mieux vaut ne pas insister. N'empêche que ça s'appelle un refus de vente, en l'occurence de services pour lesquels ce technicien est enregistré au registre du commerce, ce qui est illégal.Après tout, un technicien indépendant peut refuser de travailler sur un piano qui ne vient pas de chez lui
, sous prétexte de briser la garantie qui lie le client à la boutique qui lui a vendu le piano.
Comme tu le dis, c'est un prétexte. Qui ne tient pas car la garantie n'est généralement pas conditionnée par l'entretien par un technicien désigné. Pour mon piano, il suffit qu'il soit <<reconnu>>.
N'est-ce pas exactement ce qu'il faut pour jouer du Cage ???La440 a écrit :Gérard vient, et paf 3 cordes cassées, il met de la margarine liquide sur axes de barres de pédale pour qu'elles ne couinent pas, il enduit les marteaux avec de la super glue pour avoir un son "cristallin" et il coule du plomb au bout des touches parce que le clavier n'est pas assez lourd, je te jure, la vie d'ma mère que ça marche, j'ai le même à la maison.
yannis a écrit :C'est incroyable ce que tu dis là... Quelles marques font cela ? Y a-t-il un supplement de prix pour la coloration martelique ?!?
Et où est-ce que ce genre de musique se joue ? Aux conservatoires ? En concert ? À Paris alors sans doute, car ici... même Squiban ne fait pas ce genre de choses (il aurait pu faire danser des palourdes sur les cordes pour faire plus maritime
