Désolée d'être le vilain petit canard!!!!
c'est pas un bon exemple....
Non, Marie-France, tu n'es pas le vilain petit canard !
Et n'étant pas méridional, on ne m'accusera pas du coup de dilettantisme...
Car moi non plus, il y a longtemps que j'ai cessé les exercices préparatoires. Lorsque je j'avais repris le piano, il y a 8 ans maintenant, je m'étais effectivement remis au Hanon et à Czerny pendant une bonne année.
Puis j'ai trouvé cela stérile, et surtout, consommateur d'un temps qui me manque toujours.
Aussi ai-je décidé de consacrer plutôt d'avantage de temps à travailler des morceaux parfois effectivement injouables pour mon niveau, plutôt que d'épuiser méthodes et études en tout genre, qui sont également épuisantes à mon avis pour l'entourage...
En prime, avoir une ou deux partitions de niveau plus élevé permet de mesurer régulièrement les progrès accomplis grâce à la pratique quotidienne. Et même parfois, on arrive à progresser par saut plus ou moins important.
Bon, d'accord, il ne faut pas confondre l'échauffement et la progression de la technique digitale. Mais pour s'échauffer, autant se faire plaisir avec une ou deux petites pièces qu'il faut changer de temps à autre, bien entendu.
N'était-ce pas Schumann qui recommandait, comme pain quotidien des pianistes, de jouer les préludes et fugues du Clavier bien tempéré ?
Le message a eu pour moi le mérite d'être clair : il n'a pas dit qu'il fallait rebattre les oreilles de nos proches avec gammes, études, et autres arpèges.
Complètement hors-sujet maintenant : mon PIV arrive le lundi 25 juillet à la maison ; mon dieu, combien cette échéance semble lointaine maintenant !
Du coup, mes vacances seront très pianistiques cette année...