Bonsoir,
je possède depuis bientôt 25 ans un Schimmel droit 116 et je suis en recherche d'un autre piano droit, pas un queue par manque de place. Alors que je me trouvais à Mulhouse, je me suis arrêtée dans un magasin de piano et j'ai joué sur 2 queues (Schimmel et Playel), puis un demi-queue d'occasion et enfin sur plusieurs pianos droits et mon coup de cœur fulgurant s'est porté sur un Grotrian -Steinweg Classic 124..... De retour en Bourgogne, je me suis mise en recherche d'un revendeur de cette marque, mais il n'y en a pas.
aujourd'hui je suis allé essayer et jouer sur des pianos c-bechstein. ET je me suis arrêter sur le C-Bechstein Classic 124 et le concert 8...... j'ai pu jouer un bon moment sur les 2....au début je préférais le Classic, parce que le son rond , fluide et beau était tout de suite accessible... le toucher du piano ets interressant aussi.....et puis en travaillant des détails d'une partition , le Concert 8 m'est apparu infiniment plus riche, plus subtil, mais à apprivoiser....
Qu'en pensez-vous?
Pour beaucoup, le Concert 8 est le meilleur piano droit au monde... Donc le meilleur choix possible. Il a tout pour lui ce piano; Un son incomparable, une finesse de jeu... A ce qu'on dit de lui. Seul le prix, (Aïe !) mais quand on aime
tu as raison... et bien tant pis... pour eux ! ceux qui pensent le contraire.
Bravo pour ce choix... PLus qu'à attendre la petite merveille, car c'en est une à n'en point douter.
oui c'est une petite merveille de précision, de sonorités possibles à l'infini et un bel animal à apprivoiser... j'en ai pour des années..... et une grande chance dans ma vie de pouvoir accéder, moi simple amateur éclairé , à tant de subtilité.... je n'en reviens pas de mon audace
Un bel animal à apprivoiser...
Ca laisse rêveur...
Car n'est pas plutôt le piano qui apprivoise le pianiste ? Je veux dire par là que l'on modifie, involontairement sans doute, un peu son jeu en fonction de l'instrument qu'on a devant soi.
Cet instrument (je parle pour moi et du Feurich) ne de dévoile pas d'un coup, mais petit à petit ; on le découvre au hasard d'une erreur...(quelle subtilité dans la pédale forte ! Incroyable !) C'est une sorte de chemin que parcourent ensemble le pianiste et son piano ou le piano et son pianiste... un peu "la main dans la main" et à pas lents.
Le tien te promet de bien belles promenades.
Félicitations ! (et on veut des photos !)