alex2612 a écrit :vaste débat:
que signifie solfier ?
je laisse la réponse à des spécialistes de la langue.
Je ne suis pas un spécialiste de la langue et pourtant j'ai déjà répondu plus haut
alex2612 a écrit :pour donner un exemple plus precis: personnellement je ne vois pas l'interet educatif ou pedagogique a nommé les notes ecrites lors d'un déchiffrage chantée. a partie d'un certain niveau en tout cas.
C'est certain, à partir d'un certain niveau c'est déjà acquis en principe, l'audition intérieure suffit. Mais c'est toujours bon pour l'oreille. Et pourquoi ne pas nommer les notes en chantant plutôt que, je ne sais pas, la la la ?
alex2612 a écrit :j'y vois au contraire beaucoups d'inconvénients, ne serais-ce que pour travailler la voix et l'expression.
Je ne comprends pas bien ce que tu veux dire là.
alex2612 a écrit :et les altérations? il faudrait prononcer sol# sur une note altérée si on veux etre 'jusqu'au boutiste". je ne parle pas du double diese.
c'est plus une tradition francaise que necessité absolue comme l'oreille du même nom.
Pour les altérations, il existe des systèmes qui permettent de les exprimer par des syllabes différentes. Ce sont les meilleurs systèmes à mon avis mais j'ai été formé sur le système continental on va dire pour faire simple et je n'éprouve pas le besoin de changer. Il suffit de chanter les notes diésées un demi-ton plus haut

. Cette tradition est plutôt une forme d'apprentissage du solfège et d'éducation de l'oreille, qui a fait ses preuves et la plus répandue au monde. Les Français n'ont pas innové en la matière.