merci par avance !

Pas si simple que ça, il y a quand même quelques doigtés qui pour évident qu'ils soient, sont loin de l'être pour un débutant.dominique a écrit :Il n'y a pas beaucoup de possibilités de doigtés ! Vu que le chant est "en haut", il doit être joué avec le 5. Il reste donc soit 1-2-3, soit 1-2-4 pour le développement de l'accord en croches, selon sa "morphologie". Je te conseille de jouer les 3 croches et la note du chant en accord plaqué, pour voir si il vaut mieux le 3 ou le 4.
pour moi, 3 pages avec un passage trés difficile par page: m13, m27 et m57-58.egtegt a écrit :il y a quand même quelques doigtés qui pour évident qu'ils soient, sont loin de l'être pour un débutant.
Tu penses réellement qu'il faut mieux la jouer vers midi après les heures du matin ?Xiro a écrit :Non^^, de toute façon, le nom ne venant pas de Beethov, il n'a pas grande valeur se me semble.....
Bah justement il me semble que ce morceau soit plutôt lunaire que solaire d' où son nom.Xiro a écrit :Cela n'a strictement rien à voir avec le temps qu'il fait, il vaut mieux que ta météo intérieure soit en accord avec le morceau plutôt que celle de Laborde
La Sonate pour piano n° 14 en do dièse mineur, opus 27 n° 2, de Ludwig van Beethoven, fut composée en 1801 et publiée en 1802 avec une dédicace à la comtesse Giulietta Guicciardi, jeune femme de dix-sept ans dont le musicien semble avoir été amoureux. Comme sa jumelle la Sonate pour piano n° 13, Beethoven l'intitula « Sonata quasi una fantasia » pour traduire sa volonté de s'affranchir du moule de la sonate classique.
Contexte
La sonate fut composée entre les Première et Deuxième Symphonies, dans la période de crise morale que traversait Beethoven qui prenait conscience de sa surdité débutante. Son succès fut considérable aussi bien auprès des critiques (qui parlèrent de « fantaisie d'une unité parfaite, inspirée par un sentiment nu, profond et intime, taillé d'un seul bloc de marbre ») [1] que du public. Des années plus tard alors qu'il composait des œuvres plus audacieuses encore, Beethoven s'irrita du succès de cette sonate qu'il estimait moins bonne que d'autres. La comparant à la Sonate pour piano n° 24 en fa dièse majeur qu'il venait d'achever, il déclara ainsi vers 1810 : « On parle toujours de la sonate en ut dièse mineur, j'ai pourtant écrit mieux que cela, ainsi la sonate en fa dièse majeur est autre chose. »
L'appellation « Clair de lune »
Le surnom « Clair de lune », sous lequel elle est largement connue aujourd'hui, lui fut donné par le poète allemand Ludwig Rellstab en 1832. Ce dernier voyait dans le premier mouvement de cette sonate l'évocation d'une « barque au clair de lune sur le Lac des Quatre Cantons » [2] . Beethoven ne sut jamais rien de cette appellation subjective, dont il est probable qu'elle ne traduit aucunement les intentions du compositeur.
Chacun peut penser ce qu'il veut...MAIS il est prouve ( et ca a deja ete d'ailleurs discute et reference sur ce forum) que LbV, pour le premier mouvement avait en tete une marche funebre inspire de celle du commandeur( DonGiovanni Mozart)...diverses esquisses et etudes manuscrites existent (a la bibliotheque de Vienne) pour etablir irrefutablement cette filiation.Me basant sur ça et sur mon ressenti, voilà mon opinion: l'émotion dominante du premier mouvement est al douleur, profonde, longue, soutenue, comme une longue agonie. Cela n'a rien à voir avec une ballade en barque au clair de lune (loisir). Faut quand même s'imaginer ce que ça a du être pour Beethoven de vivre sa surdité. Journée ensolleillée, surement pas, mais clairde lune non plus. Ce serait plus temps gris et froid polaire, glaçant, engourdissant. (mais de ce point de vue, c'est personnel).
Elle s'appelle clair de lune, on va pas changer le nom, mais il me semble que se baser sur ce titre pour construire une interprétation est un grave contresens.
Je donne quelques pistes qui me font dire que ce morceau est plutôt lunaire. Certains éléments sont plus objectifs que d' autres mais après tout nous parlons de ressentis et de vibrations.Xiro a écrit :Cela n'a rien à voir avec une ballade en barque au clair de lune (loisir).
Tout en accord avec JF, ce 1er mouvement est une marche funèbre.jeff62 a écrit :Chacun peut penser ce qu'il veut...MAIS il est prouve ( et ca a deja ete d'ailleurs discute et reference sur ce forum) que LbV, pour le premier mouvement avait en tete une marche funebre inspire de celle du commandeur( DonGiovanni Mozart)...diverses esquisses et etudes manuscrites existent (a la bibliotheque de Vienne) pour etablir irrefutablement cette filiation.Me basant sur ça et sur mon ressenti, voilà mon opinion: l'émotion dominante du premier mouvement est al douleur, profonde, longue, soutenue, comme une longue agonie. Cela n'a rien à voir avec une ballade en barque au clair de lune (loisir). Faut quand même s'imaginer ce que ça a du être pour Beethoven de vivre sa surdité. Journée ensolleillée, surement pas, mais clairde lune non plus. Ce serait plus temps gris et froid polaire, glaçant, engourdissant. (mais de ce point de vue, c'est personnel).
Elle s'appelle clair de lune, on va pas changer le nom, mais il me semble que se baser sur ce titre pour construire une interprétation est un grave contresens.
c'est discute dans de nombreux ouvrages de musicologie mais ignore du grand nombre compte tenu de la tradition claire de lunesque... jf
..Oh a pas grand chose, des details comme le choix du tempo, de l'atmosphere, le rendu des sonorites, un leger rubato ou pas du tout de rubato dans le chant...que sais je encore connaitre l'intention du compositeur finalement a quoi ca sert??anuradha a écrit :Qui pourrait contredire la génèse d' un morceau ?
En quoi cela aide-t-il dans l' interprétation de savoir qu'à l' origine ce morceau était pensé pour être une marche funèbre et que des manuscrits l' attestent dans une bibliothèque à Vienne ?
![]()
![]()