pour la 2 :
... Les origines de l'orgue sont lointaines. L'antiquité gréco-romaine a possédé des instruments à soufflets dès le Ve s. avant J.-C. L'orgue hydraulique construit par Ctésibios d'Alexandrie, sous le règne de Ptolémée VII (170-118 av. J.-C.) et décrit assez obscurément par, son disciple Héron, est le premier de son espèce. La description plus récente d'un instrument analogue, rédigée par Vitruve dans le 1er (?) siècle av. J.-C., et une terre cuite mutilée du musée de Carthage (IIIe siècle) laissent comprendre que l'orgue hydraulique se montait sur une boîte à eau munie de deux pompes à air; le nombre de ses tuyaux est incertain, ainsi que la nature de son clavier...
J'ai pas trouvé mieux.
Pour la 4...
Les premiers essais de suite instrumentale composés pour le luth, contiennent chez Castelione (1536) une pièce finale appelée tochata, très courte, en mesure binaire, sorte de postlude de 16 mesures, non dansé, bien qu'il soit joué nel fine del ballo. On trouve la toccata chez les organistes et clavecinistes des XVIe et XVIIe s. comme fantaisie, pièce de virtuosité, où ils prodiguent les traits rapides, les gammes, les broderies. Celles d'A. Gabrieli (1593) sont des pièces d'orgue développées, renfermant des traits d'exécution et des fragments fugues; les toccata de Merulo (1598 et 1604) sont dans le même style que celles d'A. Gabrieli. Mais Praetorius (1619) définit la toccata. comme un prélude ou une fantaisie précédant un motet. De fait, on trouve chez Frescobaldi à partir de 1615. des toccatas de styles très divers, répondant à ces i deux caractères. Le prélude instrumental del'Or/eo de Monteverdi (1607), qui est une fanfare d'appel, répétée trois fois avant le lever du rideau, est intitulée T. Plus tard, chez Bach, le .titre de T. ne répond pas à une forme déterminée ; il paraît donné arbitrairement. On y remarque cependant une certaine insistance dans l'emploi d'un même dessin. Une toccata de Purcell (1640), ayant été trouvée sans nom d'auteur dans un manuscrit en Allemagne, fut insérée sous le nom de Bach dans un des derniers volumes de l'édition complète. Il y a 5 toccatas de Bach pour orgue, en mouvements différents, et même détachés, du type allegro, adagio, presto, (en forme de sonate), 7 pour le clavecin, dont la principale est celle en fa mineur (éd. Bach. Ges., III, 311), majestueusement ornée. Le 1er fugato est joint au mouvement suivant par une mesure que l'on trouve seulement dans l'édition Peters mais qui est nécessaire pour donner un sens, un ordre, à la composition. Le thème lent en mesure ternaire dont la fugue rappelle le motif a une affinité très proche avec le Crucifixus de la Messe en si mineur. A l'époque moderne, il y a tendance à employer le titre de toccatas pour des morceaux du genre d'un Motu perpetuo, par ex. : Schumann, op. 7, et Henselt, Toccatina. La Toccata de Widor pour orgue, finale de sa VIIe Symphonie d'orgue, joint ce caractère à celui de haute virtuosité.
Pfff ! je fatigue.
Pour la 1 :
Après l'obtention de son Baccalauréat (Abitur), il entre en 1882 à l'Université de Munich pour y suivre des études de philosophie, d'esthétique et d'histoire de l'art. La même année il assiste à une représentation de Parsifal à Bayreuth en compagnie de son père qui joue dans l'orchestre. Malgré l'aversion de ce dernier pour la musique de Wagner, Richard Strauss est attiré par cette musique.
En 1883, année anniversaire de la mort de Wagner, plusieurs de ses œuvres sont jouées, dont la Sonate pour violoncelle à Dresde et Berlin. En 1884, il dirige sa Suite pour vents à Munich et la Symphonie en fa mineur est donnée à New York.
Il rencontre le chef d'orchestre Hans von Bülow en 1884, qui fera beaucoup pour propager ses œuvres en public. Il dirige cette année-là sa Sérénade pour instruments à vent (opus 7) et l'invite l'année suivante à Meiningen au titre de second chef d'orchestre. À Meiningen, il fait la connaissance de Brahms et d'Alexandre Ritter, premier violon de l'orchestre qui lui ouvre les univers de Liszt et de Wagner.
Après le départ de Hans von Bülow de Meiningen, Richard Strauss est à partir du 1er novembre 1885, directeur de la musique de la cour. Sa sonate pour piano opus 13 reçoit un prix. Il abandonne ce poste en 1886.
Il effectue son premier voyage en Italie en 1886, obtient le poste de troisième chef d'orchestre à l'Opéra de Munich, fait un second voyage en Italie en 1887. Il compose ses premiers poèmes symphoniques : Aus Italien (opus 16) et Don Juan (opus 20) et rencontre la cantatrice Pauline de Ahna qu'il épousera.
Il est quelques temps assistant à l'Opéra de Bayreuth, puis il est nommé en automne 1889, sur l'intercession de Hans von Bülow, second chef d'orchestre au théâtre de la cour. Il est de nouveau à Bayreuth comme chef de chant.
Je continue...
La même année il est nommé second chef d'orchestre à l'Opéra de Munich, puis en 1896 il succède à Lévi comme premier chef. Parallèlement, il succède à son protecteur Hans von Bülow à la tête de l'Orchestre Philharmonique de Berlin. Il fait de nombreuses tournées en Europe, et met régulièrement ses œuvres au programme. Son fils Franz naît en 1897.
En 1898, il succède à Felix von Weingartner à la direction de l'Opéra de Berlin.
C'est pas fini !
En 1907 il s'installe à Vienne, où il dirige des concerts populaires.
Il accumule les fonction. En 1908, il est nommé à la tête de la chapelle de la cour de Berlin.
De 1917 à 1920 il donne des cours de composition à l'Académie des arts, continue les tournée avec l'orchestre philharmonique de Berlin et crée une association de musiciens pour la protection de leurs droits d'auteur.
(ps : il aurait aussi composé... quand il avait le temps !)
En 1917, il contribue avec Hofmannsthal, à la création du festival de Salzbourg. Il prend en 1919, la co-direction de l'Opéra de Vienne aux côtés de Franz Schalk.
Il abandonne toutes ses fonctions en 1924 pour se consacrer à la composition. Hofmannsthal meurt en 1929, laissant Strauss assez désemparé. Il fait alors appel à Stefan Sweig qui signe ne 1931 le livret de La Femme silencieuse.
Ben oui, il y a des jours comme ça ! ! !
En fait, le jeudi, j'ai du mal. C'est le jour de ma leçon de piano. Le matin je découvre les questions, mais... pas question de m'en occuper, je dois me préparer pour mon cours ; il y a toujours des choses à mettre au point. (Ha ! Ces arpèges... les doigtés ! ! !) vers 13h15, je pars, cours à 14h30 à Toulouse. (J'habite à la campagne)Une heure et demi minimum non stop pour ma leçon et retour à la maison... arrivée vers 17h. Crevé ! donc pas de réponse possible aux questions du matin.
Le vendredi, en revanche, la forme revenant... voilà.
Comme quand j'étais gamin, le jeudi est réservé aux loisirs. (mais pour moi maintenant, c'est jeudi 7jours sur 7 ! une chance !)
Et puis, il ne faut pas que les questions soient trop difficiles... enfin pour moi.