Comme Rodolphe, je pense qu'il faut bien choisir le piano, sinon il y aura pas mal de travaux d'insonorisation a faire, des pbs d'acouphene, etc... C'est déjà le cas avec des droits très puissants.
Si c'est un queue moderne, ça pourrrait être mieux de prendre un petit modele. Quazart a fait le choix d'un "petit" c1x et, de ce que j'en ai compris, il en est tres content. J'ai eu la chance tester son (tres beau) petit piano, ça envoie déja la patate

Si c'est un queue ancien, il n'y a aucun pb même pour les grands modeles. J'ai un 2m50 de 1886 dans une piece de taille peut etre equivalente à la votre (??) et je joue le piano grand ouvert, meme pour les exercices (carrelage au sol sans moquette, murs recouverts de bois).
Au niveau de la puissance et des années, il y a les cadres serruriers avant 1900, les cadres en fonte pleine de plus en plus lourd apres 1900, pleyel qui recouvre le sommier pour passer du 3bis au F en 1926, parallellelement les aciers des cordes evoluent pour supporter plus de tension .... Je n'ai pas connaissance d'evolution technologique vers plus de puissance apres la 2eme guerre.
Plus de puissance veut aussi dire moins de couleurs. Erard (qui etait pourtant tres en avance sur tous les brevets possibles) freinait au maximum et a integré tres tard les evolutions pour la puissance car Erard privilégiait les couleurs.
Si vous aimez les pianos anciens, c'est plutôt une chance d'avoir une petite pièce, car vous pouvez avoir à la fois les couleurs des pianos anciens et la dynamique suffisante pour remplir pleinement l'espace sonore. Ceux qui ont des pieces plus grandes doivent faire un compromis entre puissance et couleurs, le beurre ou l'argent du beurre.