Jouishy a écrit : mar. 30 janv., 2018 22:23
pianojar a écrit : mar. 30 janv., 2018 16:19
La difficulté c'est que les progrès se font imperceptiblement...
À cela, je trouve que d'avoir des archives vidéos ou audios est très aidants!
Quand je suis découragée du non-progrès de mes pièces, je réécoute un enregistrement pris 2 mois plus tôt et je relativise!
Tiens, faudrait que je fasse ça moi aussi...
Sinon, Lee, comment rendre des exercices rébarbatifs amusants, la réponse, tu l'as peut être sous le nez: en les abordant comme ton fils, avec un étonnement, une curiosité et un émerveillement constants

Je fais des gammes et du Czerny et ce genre d'exercices (j'ai pas le Hanon, je peux venir à une soirée dédiée??

) mais ça ne m'a jamais paru ennuyeux car le simple fait de produire un son me paraît déjà un petit miracle (sur un instrument à cordes, faire des gammes c'est déjà beaucoup moins miraculeux

), et même une pauvre gamme de Do M, l'écouter sonner m'enchante (en plus je suis sure que ton beau Pleyel peut faire chanter n'importe quel exercice pénible!

)
Sinon l'autre solution, c'est de garder ton objectif en ligne de mire: peler des pommes, ça n'est guère passionnant, mais quand tu sais que c'est pour obtenir une délicieuse tarte, cela ne te coûte plus tant... (bon, métaphore pourrie, ok...

)
La perspective du but à atteindre rend 'indolore' les chemins pierreux qu'il faut traverser pour y arriver...