
J'ai mis 4 propositions de doigtés, la dernière est donnée dans l'édition Dover, il s'agit d'un doigté-relique écrit par Liszt lui-même sur la partition d'un élève.
Le doigté à tenter serait celui qui me tenterait...
Qu'en pensez-vous ?
chutttt..........!
En retravaillant sur le C3 depuis j'ai "définitivement" opté pour le doigté de Liszt, il est excellent à travailler, ça permet de bien timbrer les octaves sur les notes du haut alors que du poignet j'équilibre plus avec les pouces et c'est moche. Et sait-on jamais, peut-être le doigté indiqué apparaîtra au final comme le plus facile... Et ne pas suivre un doigté de Liszt ou de Chopin me chagrine toujours grandement !nox a écrit : mer. 23 août, 2017 14:39 Pour la 6ème étude de Paganini (gros challenge !), je l'ai pas mal bossée au CNR jadis (dans une autre vie...).
Je pense que le risque de mettre le doigté en rouge, c'est de ne pas jouer assez avec les doigts, et de tomber dans une utilisation exagérée du poignet. Ce ne sont pas les octaves de la sonate, la technique est différente. Il faut du molto leggiero, et ça va assez vite (sinon c'est chiant).
J'avais déjà lu ça et c'est resté gravé dans ma cervelle... Phrase très rassurante quand on cherche ses doigtés !nox a écrit : mer. 23 août, 2017 14:39 Une citation de Cortot que j'aime beaucoup : "Pour choisir entre plusieurs doigtés, il faut les connaître tous".
Je ne sais pas, ... C'est en stand-by, ça me prend trop de temps et sur l'ensemble du morceau je n'arrive qu'à des solutions bancales avec les passages de pouce, et si je suis Liszt j'ai un très gros hiatus au moment de l'extension 4-5, je me cherchais un Liszt pas virtuose mais j'attends le prof. Je crois que je vais commencer par la 2e année au début plus commodenox a écrit : mer. 23 août, 2017 14:39 Pour le Lac de Wallenstadt, je ne l'ai pas bossé, mais je suis persuadé qu'en travaillant - en y croyant ! - le doigté de Liszt, ce sera payant, et évitera des difficultés sonores pénibles (dur dur de conserver la légèreté d'un miroitement à la surface de l'eau en collant un pouce là-dedans ! Et encore plus de conserver cette égalité sonore du début à la fin !).
Je pense que Okay a donné quelques clés intéressantes pour y parvenir (ne pas chercher à lier par les doigts à tout prix).
Oui , et ça fait bien plaisir!
Oui cette pièce n'est pas si facile qu'elle en a l'air. D'une manière générale d'ailleurs ces années de pèlerinage renferment pas mal de pièges (Au bord d'une source ! Magnifique mais que c'est dur !).Presto a écrit : mer. 23 août, 2017 21:36 Je ne sais pas, ... C'est en stand-by, ça me prend trop de temps et sur l'ensemble du morceau je n'arrive qu'à des solutions bancales avec les passages de pouce, et si je suis Liszt j'ai un très gros hiatus au moment de l'extension 4-5, je me cherchais un Liszt pas virtuose mais j'attends le prof. Je crois que je vais commencer par la 2e année au début plus commode![]()
Pour ce doigté je suppose qu'il est prévu pour descendre en continuant 12345 sur mi si sol# mi si dans le bug d'éviter un passage du pouce. Ca devait paraître très naturel à Liszt.
Je fais exactement ça... d'un point de vue sonore et gestuel, ça se rejoint en effet naturellement bien.JPS1827 a écrit : jeu. 24 août, 2017 11:14 Pour ce doigté je suppose qu'il est prévu pour descendre en continuant 12345 sur mi si sol# mi si dans le bug d'éviter un passage du pouce. Ca devait paraître très naturel à Liszt.
10 ans...Ca ne me rajeunit pas...Okay a écrit : jeu. 24 août, 2017 11:30 Nox nous a snobés pour ne pas avoir à fêter ses 10 ans sur PM, il faut lui trouver un gage.
Là pour le coup j'ai un doute, je ne sais plus si je mets 4 ou 5 sur le mib.Presto a écrit : jeu. 24 août, 2017 11:36 J'y ai aussi trouvé un doigté sympa qui là je crois est à remettre dans le contexte des claviers de l'époque :
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arf je comprends mieux comment Liszt dans ses premières versions pouvait enfiler des 10e du tac au tac comme des octaves, euuh, c'est un peu vite ditEn 1840, Graf a donné comme cadeau un de ses pianos à queue à la jeune virtuose du piano Clara Wieck (la fille de Friedrich), à l'occasion de son mariage avec Robert Schumann. Lorsque Schumann est mort en 1856, Clara a donné l'instrument à son ami Johannes Brahms, qui l'a utilisé pour son travail jusqu'en 1873. Il en a ensuite fait don à la Gesellschaft der Musikfreunde ; aujourd'hui exposé au Kunsthistorisches Museum de Vienne24.