Moi aussi, et on ne m'accusera plus de l'avoir tué.

Moi aussi, et on ne m'accusera plus de l'avoir tué.
Oui, magnifique, et "Angélus, prière aux anges gardiens" qui est encore plus accessible, et de toute beauté.nox a écrit : jeu. 24 août, 2017 10:43 [Sinon dans la 3ème année, il y a de très belles choses aussi, par exemple les 2 "Cyprès de la Villa d'Este".
A coup de message féministe je pense que tu finiras par m'avoir. Ne te décourage pas !
Tout le 3ème cahier est baigné dans une ambiance très "grise" et diffuse, dans laquelle surnagent deux rayons de soleil : cet Angélus, et les célèbre Jeux d'eau à la villa d'Este.quazart a écrit : jeu. 24 août, 2017 23:03 Oui, magnifique, et "Angélus, prière aux anges gardiens" qui est encore plus accessible, et de toute beauté.
Des gros os, y'en a même 3 juste avantPresto a écrit : jeu. 24 août, 2017 23:19 oui, peu de notes, mais ... c'est du dense ...
Et pis j'ai choisi, dans une dizaine je jouerai Eglogue à mon prof, et ensuite on descendra peut-être le livre, je dis descendre car juste avant il y a un gros os qui ne pardonne rien![]()
Au risque de passer pour béotien, j'ignorais que les claviers de l'époque étaient aussi différents des nôtres sur ce point !
Personnellement ce qui m'a le plus marqué/déstabilisé quand j'ai joué sur un piano ancien (un Erard du milieu du XIXème), c'est la légèreté du clavier ! Avec en plus la différence de résonance avec la pédale tonale, c'est sûr qu'on voit Chopin différemment !quazart a écrit : sam. 26 août, 2017 18:14 C'est quand même pas rien comme différence !
En soi, ça ne change peut-être pas grand chose pour les doigtés, mais pour passer d'un clavier moderne à un ancien, je suppose que ça doit être un peu déroutant. (Voire problématique du fait de la réduction de l'intervalle entre deux touches noires ?)
nox a écrit : lun. 28 août, 2017 11:17Je viens d'écouter les Mazurkas de Chopin par Cor de Groot sur un Pleyel de 1847... C'est déroutant pour une oreille non habituée à ces sonorités !quazart a écrit : sam. 26 août, 2017 18:14 Personnellement ce qui m'a le plus marqué/déstabilisé quand j'ai joué sur un piano ancien (un Erard du milieu du XIXème), c'est la légèreté du clavier ! Avec en plus la différence de résonance avec la pédale tonale, c'est sûr qu'on voit Chopin différemment !
Pour le toucher, il m'est arrivé étant jeune de jouer sur des antiquités à cadre en bois, je mettais la faiblesse du clavier sur le compte du très mauvais état mécanique, sans me douter qu'à l'époque de leur fabrication ils n'étaient pas forcément si différents...
Juste pour le fun : dans les Paganini Liszt enchaînait des 10e comme des octaves sans considération de positions et que je crois inatteignables, même pour de très grandes mains dans la grande 10e : mi-sol# et qu'au tempo l'accaciature ne me semble pas tenable...Wladyslaw a écrit : mar. 05 sept., 2017 0:32 Mais c'est assez rapide ........... j'arrive a peu près à jouer les 10emes sur touches blanches, mais à cette vitesse, pfiouuu !!!! C'est redoutable.
Mouais... moi je crois que je préfère encore tenter l'accord. Je vais les bosser jusqu'à plus soif.Okay a écrit : mar. 05 sept., 2017 10:18 D'où le "en rasant le clavier sans crisper", des tout petits gestes vifs et précis, arpéger sans jamais s'engluer le 5e dans la touche...