J'avoue que je ne connaissait pas non plus Caspar Friedrich avant de trouver cette oeuvre pour mon avatar. C'est un coup de foudre. J'ai passé un bon moment a chercher une image qui représenterait l'esprit du romantisme allemand. Je dois donc à Pianomajeur la découverte de cet homme seul contemplant la beauté, l'immensité, mais aussi la confusion du monde. Je suis ravi si cette oeuvre vous parle.
Mais cela nous éloigne beaucoup d'Albeniz!
Suite Espagnole d'Albeniz
- cumulonimbus
- Messages : 149
- Enregistré le : dim. 15 mars, 2009 12:13
- Mon piano : Hoffmann 1m60 (1970)
- Localisation : Nantes
Re: Suite Espagnole d'Albeniz
J'aime la règle qui corrige l'émotion. J'aime l'émotion qui corrige la règle. (Georges Braque)
- Rubato
- Messages : 2815
- Enregistré le : ven. 29 déc., 2006 8:05
- Mon piano : Erard 1903 2m12 (n°88800)
- Localisation : Périgord Vert
- Contact :
Re: Suite Espagnole d'Albeniz
Je trouve que ce tableau va très bien avec l'esprit du roman de Thomas Mann.
Revenons à Albeniz en effet !
Je reprends posément Asturias de la Suite Espagnole. J'ai depuis mon enregistrement acheté un enregistrement d'Alicia de Larrocha où il y a Ibéria, Navarra et cette suite espagnole. Dans la partie centrale (plus lente), il y a des liaisons et des notes tenues. Je prends l'exemple de la 4ème mesure de cette partie (67 ème mesure du morceau). Quand j'écoute l'enregistrement, j'entends qu'elle arpège légèrement l'accord de la main droite comme une sorte de petit rasgueadode guitare. Ce n'est pas ce qui est expressément indiqué sur la partition mais cela me semble tout à fait convenir à l'esprit de ce passage. Qu'en pensez-vous ?
Revenons à Albeniz en effet !
Je reprends posément Asturias de la Suite Espagnole. J'ai depuis mon enregistrement acheté un enregistrement d'Alicia de Larrocha où il y a Ibéria, Navarra et cette suite espagnole. Dans la partie centrale (plus lente), il y a des liaisons et des notes tenues. Je prends l'exemple de la 4ème mesure de cette partie (67 ème mesure du morceau). Quand j'écoute l'enregistrement, j'entends qu'elle arpège légèrement l'accord de la main droite comme une sorte de petit rasgueadode guitare. Ce n'est pas ce qui est expressément indiqué sur la partition mais cela me semble tout à fait convenir à l'esprit de ce passage. Qu'en pensez-vous ?
Le tempo rubato est comme le vent jouant dans le feuillage d'un arbre dont les branches ne bougent pas.
Franz Liszt.
Franz Liszt.
-
- Messages : 209
- Enregistré le : mer. 26 déc., 2007 12:33
Re: Suite Espagnole d'Albeniz
Bonjour Rubato,
En tous cas même si tu trouves qu'Abeniz ne passionne guère, tu m'as quand même convaincue de m'y intéresser, j'ai pris à la médiathèque un CD d'IBERIA. Suis en train de l'écouter.
Je profite de ce message pour m'excuser d'avoir réduit mon précédent message en pointillé au début de ce post, j'avais vu une faute d'orthographe, j'ai voulu la corriger, j'ai fait une fausse manip et tout s'est effacé, impossible à retrouver... et je me suis découragée pour tenter de le re-écrire !
En tous cas même si tu trouves qu'Abeniz ne passionne guère, tu m'as quand même convaincue de m'y intéresser, j'ai pris à la médiathèque un CD d'IBERIA. Suis en train de l'écouter.
Je profite de ce message pour m'excuser d'avoir réduit mon précédent message en pointillé au début de ce post, j'avais vu une faute d'orthographe, j'ai voulu la corriger, j'ai fait une fausse manip et tout s'est effacé, impossible à retrouver... et je me suis découragée pour tenter de le re-écrire !
- Rubato
- Messages : 2815
- Enregistré le : ven. 29 déc., 2006 8:05
- Mon piano : Erard 1903 2m12 (n°88800)
- Localisation : Périgord Vert
- Contact :
Re: Suite Espagnole d'Albeniz
Iberia, c'est effectivement magnifique. J'écoute actuellement la version d'Alicia de Laroccha : c'est passionnant. Debusy était en admiration devant cette oeuvre et Messiaen en disait le plus grand bien.
Pour l'instant, je reste dans cette Suite Espagnole : Granada, Asturias, Sevillas ...
Pour l'instant, je reste dans cette Suite Espagnole : Granada, Asturias, Sevillas ...
Le tempo rubato est comme le vent jouant dans le feuillage d'un arbre dont les branches ne bougent pas.
Franz Liszt.
Franz Liszt.