les ischions !Olek a écrit :
en equilibre sur les eschyons (?)
!
Mal de dos et coussin "ergonomique"
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jean-séb
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- Enregistré le : lun. 16 oct., 2006 20:36
- Mon piano : Yamaha C3
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Re: Mal de dos et coussin "ergonomique"
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jean-séb
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Re: Mal de dos et coussin "ergonomique"
C'est très simple. J'avais vite mal au dos en jouant du piano. J'ai entendu parler de cette banquette, l'argumentaire de vente m'avait convaincu. Je l'ai achetée. Il m'a semblé qu'elle me permettait effectivement d'avoir moins mal au dos. Je n'ai pas constaté de différence sur mon jeu, mais vu mon niveau moyen, ce n'est pas forcément étonnant.isayo a écrit :Bonjour Jean-séb,
pouvez vous dévelloper la ou les raisons qui vous ont fait choisir la banquette Lanzani et les conséquences de ce choix sur votre jeux ? Qu'en ont pensé les personnes qui l'ont essayé ?
"My other half" joue aussi longuement sur le piano sans avoir mal au dos.
Les personnes qui viennent jouer de passage chez moi n'ont pas émis d'opinion particulière, ni en bien ni en mal, ou alors j'ai oublié !
Jean-Séb
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M-Adelaide
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Re: Mal de dos et coussin "ergonomique"
Bonsoir,
Je viens de prendre connaissance de vos interrogations concernant la recherche de solutions à apporter aux problèmes de dos quand on joue du piano et également concernant l’efficacité du coussin ergonomique étudié et mis au point par M. Pierre Tran (http://www.piano-fitness.com/liens.html).
J’ai personnellement suivi le stage de piano de M. Tran cet été. Le soir de mon arrivée, sans explication préalable, j’ai joué une heure sur un tabouret muni de ce coussin. Précédemment, 10 à 15 mn après avoir commencé à jouer, une douleur lancinante située approximativement sous l’omoplate gauche apparaissait pour durer tout le temps du travail au clavier. Cette fois-là, aucune douleur n’est apparue. Après une heure de plaisir pianistique, je me suis levée en pleine forme... et convaincue.
J’ai appris ensuite à « doser » l’utilisation de ce coussin : on peut être plus ou moins incliné en le rapprochant ou en l’éloignant du bord du tabouret, on peut aussi y stabiliser la jambe droite lorsque celle-ci est placée sur la pédale en positionnant le coussin de biais (ce qui bien sûr permet de stabiliser l’ensemble du corps, empêchant ainsi l’appartion de tensions parasites). Ce coussin a donc une souplesse d’utilisation que n’a pas une banquette qui, elle, a toujours la même inclinaison. Or, selon les morceaux et la façon dont on souhaite jouer, il est important de pouvoir adapter sa position.
Par ailleurs, ce coussin conduit imperceptiblement à modifier son jeu en le rendant plus doux, ce qui n’empêche absolument pas de réaliser des « fortissimi » très sonores. Ces derniers sont seulement moins percussifs et donc plus agréables aux oreilles.
Je terminerai en précisant que, grâce à ce coussin ergonomique, je joue beaucoup mieux, tant en terme de musique que de confort physique, et que désormais je ne peux plus m’en passer.
De même que je lis toujours avec intérêt les appréciations des clients sur les sites marchands, j’espère que ce témoignage, qui a la seule valeur d’un ressenti parmi d’autres, pourra être utile en apportant des éléments de réflexion supplémentaires aux interrogations présentes.
Je viens de prendre connaissance de vos interrogations concernant la recherche de solutions à apporter aux problèmes de dos quand on joue du piano et également concernant l’efficacité du coussin ergonomique étudié et mis au point par M. Pierre Tran (http://www.piano-fitness.com/liens.html).
J’ai personnellement suivi le stage de piano de M. Tran cet été. Le soir de mon arrivée, sans explication préalable, j’ai joué une heure sur un tabouret muni de ce coussin. Précédemment, 10 à 15 mn après avoir commencé à jouer, une douleur lancinante située approximativement sous l’omoplate gauche apparaissait pour durer tout le temps du travail au clavier. Cette fois-là, aucune douleur n’est apparue. Après une heure de plaisir pianistique, je me suis levée en pleine forme... et convaincue.
J’ai appris ensuite à « doser » l’utilisation de ce coussin : on peut être plus ou moins incliné en le rapprochant ou en l’éloignant du bord du tabouret, on peut aussi y stabiliser la jambe droite lorsque celle-ci est placée sur la pédale en positionnant le coussin de biais (ce qui bien sûr permet de stabiliser l’ensemble du corps, empêchant ainsi l’appartion de tensions parasites). Ce coussin a donc une souplesse d’utilisation que n’a pas une banquette qui, elle, a toujours la même inclinaison. Or, selon les morceaux et la façon dont on souhaite jouer, il est important de pouvoir adapter sa position.
Par ailleurs, ce coussin conduit imperceptiblement à modifier son jeu en le rendant plus doux, ce qui n’empêche absolument pas de réaliser des « fortissimi » très sonores. Ces derniers sont seulement moins percussifs et donc plus agréables aux oreilles.
Je terminerai en précisant que, grâce à ce coussin ergonomique, je joue beaucoup mieux, tant en terme de musique que de confort physique, et que désormais je ne peux plus m’en passer.
De même que je lis toujours avec intérêt les appréciations des clients sur les sites marchands, j’espère que ce témoignage, qui a la seule valeur d’un ressenti parmi d’autres, pourra être utile en apportant des éléments de réflexion supplémentaires aux interrogations présentes.