Je pense que on peut explioter tout ce qu'on veut si ça apporte quelque chose, mais c'ets vria que les doigts ne devraiement aps trainer sur les cordes , sauf a faire ressortir des harmoniques par un contact léger.
Le cuivre s'oxyde très facilement, le défaut seriat plus esthétique qu'autre chose, et lié au niveua d'acidité et d etranspirtaion de l'interprète.
Les compositeurs ne savent pas mettre des explications sur la façon de préparer le piano sans risque. J'ai aussi vu taper sur le cadre et faire sauter le vernis a cause de mailloches bien trop dures.
Autrement il faut surtout faire attention a ne pas manipuler ou bouscules les étouffoirs, leur réglage et leur fibre est fragile. On peut avoir a insérer des choses entre les cordes (baguettes en bois) mis a part le désaccord du piano, si c'ets fait précautionneusement je ne vois pas vraiment le problème (sauf que je comprend que ça puisse être choquant).
Seulement lors de l'insertion, ou lorsqu'on doit retirer qq chose d'entre les cordes il fuat impérativement avoir les étouffoirs levés (sous peine de les abimer).
QUand aux étouffoirs ils servent souvent de repères et se retrouvent avec des gomettes de couleurs ou autres signes soi disant temporaires. L'expérience montre que malgré les précautions , le départ de la pédale se trouve perturbé soit parce qu'on appuie sur l'étouffoir pour coller la gourmette, soit parce qu'on tire dessus pour la retirer (soit qu'on oublie tout bonnement de ll'oter et que la colle commence a dégrader le vernis de l'étouffoir).
bref je comprend qu'il vaut mieux éviter de prendre le risque sur son propre piano.
Tout ça n'est pas aussi grave que de louer son piano a Dany Boon pour son skechhhe ou il bave dessus. C'est arrivé a un ami ; il a du changer les cordes, quelques mois après, pourtant il les avait huilées par précaution. Ces gens du nord on la salive très acide

(je sens que je vais me faire incendier !)