quid de quasi ?
OK, dès mon retour (le 1er août) je te fais des photocopies. envoie-moi ton adresse postale par mail.quasimodo a écrit :Yannis je suis preneur pour toutes les pièces du Sixième Ordre si ce n'est point trop demander :lol: .
Incroyable, et infiniment beau ! Ça explique les ondulations et les belles courbes de ce morceau. Et quel meilleur hymne à cette partie parmi les plus belles de l'anatomie féminine ?MIDOL-MONNET a écrit :Une version donnée par certains historiens est encore moins idéaliste, car les barricades mystérieuses n'auraient été qu'un terme sophistiqué pour décrire les soutiens-gorge...
J'ai cherché sur google, il y a quelques 12600 pages... dont des documentaires des collections poétiques (aussi bien en français qu'en anglais) et plein de pages très ambiguës. D'où tiens-tu cette référence ?
Es gab eine Zeit, wo ich nur ungern über Schubert sprechen, nur Nächtens den Bäumen und Sternen von ihm vorerzählen mögen. [R. Schumann, 1838]
Voici donc la pièce. C'est pas encore très clean mais ça passe.
(fichier remplacé)
(fichier remplacé)
Modifié en dernier par quasimodo le lun. 22 août, 2005 10:04, modifié 1 fois.
Hmmm, j'avais commencé mais le millimetre d'ongles que j'avais laissé pousser à ma MD m'ont vite géné pour le piano, alors je les ai coupés ce qui m'a ôté toute envie de jouer de la guitare.louna a écrit :l'as tu travaillée à la guitare alors ?
Les ongles sont au quasimodo guitariste ce que les cheveux étaient à Samson (celui de la Bible, pas le notre).
Modifié en dernier par quasimodo le lun. 25 juil., 2005 13:12, modifié 1 fois.
- Marie-france
- Messages : 2752
- Enregistré le : mer. 16 févr., 2005 13:17
Merci, MF, c'est gentil.Marie-france a écrit :Quasimodo, merci pour ces quelques minutes musicales très agréables.
Tu fais des progrès. Ta pédale est très bien mise.
Je ne connaissais pas cette oeuvre, tu pourrais pas me l'envoyer des fois si tu as 5 mn? Merci!
Très bon travail!!
Continue!
Que vas-tu travailler maintenant?
Il y a encore mille choses qui ne plaisent pas dans cet enregistrement : mains lourdes, tempo trop lent, mordants approximatifs, pédale qui flotte un peu à certains endroits, sans parler de deux petites erreurs de lecture. Enfin bref...
Je peux bien sûr te l'envoyer, mets moi ton mail en message privé.
Que vais-je travailler maintenant ? Grande question à vrai dire. Faudrait que je boucle Arietta de Grieg (Pièce Lyrique Op.12 N.1), j'aurais dû finir depuis longtemps mais la pièce ne m'a pas "possédé" comme l'a fait celle de Couperin. Idem pour "... La fille aux cheveux de lin" sur laquelle je suis encore moins avancé
](./images/smilies/eusa_wall.gif)
Puis j'ai mes "Mammouths" toujours sur le feu : Schubert - Impromptu Op.90 N.3 et Rachmaninov - Moment Musical N.5.
J'ai aussi repris Bach - Fugue BWV 846 en Do majeur. Après l'avoir laissée de côté quelques mois.
Mais tout ça me laisse perplexe. Pièces peut-être trop difficiles, temps très limité et concentration totalement inconstante.
Sincèrement, tu la joues très bien !quasimodo a écrit :Voici donc la pièce. C'est pas encore très clean mais ça passe.
En revanche, et cela s'adresse à tous et à toutes:
Je trouve cette petite pièce de Couperin d'une étonnante actualité ! J'entends par là que les harmonies très modernes...
Qu'en pensez-vous ?
Les pianos, c'est comme les chèques: ça ne fait plaisir qu'à ceux qui les touchent. (Erik Satie)
C'est exactement ce qui m'a complètement séduit. Elle contraste assez avec ses autres pièces pour clavecin (du moins celles que je connais), qui sonnent vraiment baroque ; cela dit je les adore toutes. La musique de Couperin mérite d'être jouée bien plus qu'elle ne l'est.ToToF a écrit : Je trouve cette petite pièce de Couperin d'une étonnante actualité ! J'entends par là que les harmonies très modernes...
Qu'en pensez-vous ?
Comme tu m'as lancé sur le sujet, totof, quelques unes de mes analyses sur la pièce.
Malgré sa sonorité étonnament moderne, d'un point de vue strictement harmonique, au sens théorique, la pièce s'en tient à des schémas très traditionnels, si ce n'est cette énigmatique modulation de Mib vers Sib dans le 3ème couplet ainsi que les légères dissonnances dans la séquence qui s'ensuit.
Ce qui est vraiment spécial c'est que les accords ne sont pas "affirmés" mais plutôt suggérés et "ondoient" au gré du contrepoint à quatre voix. C'est pourquoi, dans une approche puriste (au sens où la pièce a été composée explixitement pour le clavecin), il faut veiller à respecter la durée des notes (ce que j'oublie par endroits). Néanmoins, Cziffra, lui, a fait le choix de mettre l'accent sur la mélodie des deux voix supérieures en étant moins rigoureux sur cette durée des notes et c'est tout aussi efficace.
La pièce est écrite en 4 voix mais parfois il me semble en entendre une cinquième. C'est comme une forme géométrique dans l'espace : selon le côté d'où on l'observe, on voit quelque chose de différent, ce qui ouvre au pianiste de multiples possibilités pour l'interpréter.
Malgré sa sonorité étonnament moderne, d'un point de vue strictement harmonique, au sens théorique, la pièce s'en tient à des schémas très traditionnels, si ce n'est cette énigmatique modulation de Mib vers Sib dans le 3ème couplet ainsi que les légères dissonnances dans la séquence qui s'ensuit.
Ce qui est vraiment spécial c'est que les accords ne sont pas "affirmés" mais plutôt suggérés et "ondoient" au gré du contrepoint à quatre voix. C'est pourquoi, dans une approche puriste (au sens où la pièce a été composée explixitement pour le clavecin), il faut veiller à respecter la durée des notes (ce que j'oublie par endroits). Néanmoins, Cziffra, lui, a fait le choix de mettre l'accent sur la mélodie des deux voix supérieures en étant moins rigoureux sur cette durée des notes et c'est tout aussi efficace.
La pièce est écrite en 4 voix mais parfois il me semble en entendre une cinquième. C'est comme une forme géométrique dans l'espace : selon le côté d'où on l'observe, on voit quelque chose de différent, ce qui ouvre au pianiste de multiples possibilités pour l'interpréter.
- Franz Liszt
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Ah çs j'en sais rien, Gastiflex m'a scanné la partition depuis la revue "Pianiste"Dirlopiano a écrit :Quasi,
Pourrais-tu me donner les références bibliographiques du recueil dans lequel figure la partition de "barricades mystérieuses"? Merci
En tout cas ça sort de François Couperin - pièces pour Clavecin - Premier livre - Sixième ordre. Cela devrait suffire je pense pour trouver.
C'est fait, mais je croyais que tu la jouais cette pièce, pour me l'avoir suggéréeFranz Liszt a écrit :Quasi vous avez ordre de m'envoyer le Couperin je vous prie!
franz_liszt2004@hotmail.com
merci!

Heu tu es prié de ne point poster de version susceptible de concurrencer la mienne sur ce forum, lol.
- Franz Liszt
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J'ai tellement de boulot entre les job d'été ke je vais avoir de la peine a trouvé du temps mais ki sait tu me donnes des idéesquasimodo a écrit :C'est fait, mais je croyais que tu la jouais cette pièce, pour me l'avoir suggéréeFranz Liszt a écrit :Quasi vous avez ordre de m'envoyer le Couperin je vous prie!
franz_liszt2004@hotmail.com
merci!.
Heu tu es prié de ne point poster de version susceptible de concurrencer la mienne sur ce forum, lol.

mais de loin pas je pourrais te concurrencer!
Totalement fan de la 2ème Ballade de Chopin...
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Je suis nouvel à ici et j'aime votre endroit, s'il vous plaît excuser mon français pauvre. Ceci est un de mes morceaux préférés que j'ai entendu comme une enfance et alors pas jusqu'à présent dans votre enregistrement, Quasimodo. Donc le bonheur j'était de l'entendre encore, comme c'était la première fois même. Comment avez-vous choisi votre aux ornementations ?
Les meilleurs souhaits, Julia
Les meilleurs souhaits, Julia
J'ai les oeuvres complètes de Couperin en partition (mon passé de claveciniste...), donc si quelqu'un parmi vous le souhaite, qu'il me donne son adresse postale et je lui enverrai des photocopies des pièces qu'il me demandera. J'ai également, sur cédé, certaines de ces pièces jouées par Marcelle Meyer au piano.
J'attends donc vos adresses, chers Franz Liszt, quasimodo, et autres !
J'attends donc vos adresses, chers Franz Liszt, quasimodo, et autres !
Es gab eine Zeit, wo ich nur ungern über Schubert sprechen, nur Nächtens den Bäumen und Sternen von ihm vorerzählen mögen. [R. Schumann, 1838]