
Requiem en ré mineur, KV 626
lafloma a écrit :une petite question : sur la version du lacrymosa de thalberg, la partition porte les indications suivante en italique "md" et "ms". je connaisais "md" = main droite, "mg" = main gauche, mais alors "ms" ???? serait-ce le 3è bras dont parle Gastiflex ???!!!!???![]()
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ms=Mains séparées
"Gagner sa vie en jouant du Piano, c'est savoir compter sur ses doigts."
D. Cowl
D. Cowl
Marmou est enhousiaste, je le suis moins. Du moins ce n'est souvent qu'une transcription justement.La transcription de Klindworth est sublimissime
De ce requiem j'avais fait une adaptation piano et pianistique de quelques épisodes(la moitié), il y a exactement... 30 ans !
Néanmoins j'ai repris l'Allegro finale selon Klindworth, cette fugue très allante qui figure deux fois.
Je crois que je vais l'avoir apprise en qques heures moyennant quelques remaniements plus pianistiques de mon cru, comme quoi c'est pas si mal arrangé (c'est la répartition MG/MD qui est souvent mal vue).
Je vous la conseille, c'est une étude très intéressante et c'est pas long à apprendre.
Pareil...je suis pas fan de cette transcription.Samson a écrit :Marmou est enhousiaste, je le suis moins. Du moins ce n'est souvent qu'une transcription justement.La transcription de Klindworth est sublimissime
Pour moi c'est plus une "adaptation" qu'une transcription.
Je prefere celle de Liszt :p
Nox, je trouve que ces termes sont mal attribués : une transcription (notion d'écriture pure) c'est les notes d'une partition pour instruments autres assemblée sur une répartition clé de fa / clé de sol
sans autre souci qu'être fidèle et complet et pour "soulager" le lecteur,
lui éviter la partition d'orchestre.
Une adaptation c'est ce que fait Liszt : il ré-entend le résultat et le pense pour le son (et avec la technique) du piano. Les registres, les doublures peuvent donc changer, on peut ajouter des notes, en sacrifier au profit du résultat.
Bon mais je voulais pas parler de çà, au fait.
Dans les transcriptions (adaptatives ou pas), on souvent recours à la technique du legato par le POUCE :
ex. dans l'allegro finale du Requiem de Mozart, des enchainements de sixtes avec une tenue centrale, etc...
Je me suis jamais beaucoup attardé sur cette technique : a tempo lent, celà va en simulant du pouce la technique du pédalier de l'orgue (pointe-talon) mais dans un allegro en double croche c'est pas fonctionnel,
on a pas le temps. En fait on maîtrise plus naturellement le legato par le 5 seul (plus fréquent dans le répertoire d'origine).
Avez vous des pistes pour travailler celà ?
sans autre souci qu'être fidèle et complet et pour "soulager" le lecteur,
lui éviter la partition d'orchestre.
Une adaptation c'est ce que fait Liszt : il ré-entend le résultat et le pense pour le son (et avec la technique) du piano. Les registres, les doublures peuvent donc changer, on peut ajouter des notes, en sacrifier au profit du résultat.
Bon mais je voulais pas parler de çà, au fait.
Dans les transcriptions (adaptatives ou pas), on souvent recours à la technique du legato par le POUCE :
ex. dans l'allegro finale du Requiem de Mozart, des enchainements de sixtes avec une tenue centrale, etc...
Je me suis jamais beaucoup attardé sur cette technique : a tempo lent, celà va en simulant du pouce la technique du pédalier de l'orgue (pointe-talon) mais dans un allegro en double croche c'est pas fonctionnel,
on a pas le temps. En fait on maîtrise plus naturellement le legato par le 5 seul (plus fréquent dans le répertoire d'origine).
Avez vous des pistes pour travailler celà ?
Ah ? pour moi c'est l'inverse.Samson a écrit :Nox, je trouve que ces termes sont mal attribués : une transcription (notion d'écriture pure) c'est les notes d'une partition pour instruments autres assemblée sur une répartition clé de fa / clé de sol
sans autre souci qu'être fidèle et complet et pour "soulager" le lecteur,
lui éviter la partition d'orchestre.
Une adaptation c'est ce que fait Liszt : il ré-entend le résultat et le pense pour le son (et avec la technique) du piano. Les registres, les doublures peuvent donc changer, on peut ajouter des notes, en sacrifier au profit du résultat.
D'ailleurs ces compositions de Liszt sont en général désignées sous le nom de transcriptions (je n'ai jamais entendu le terme adaptation pour en parler).
-voir le sujet sur les transcriptions-
Mais encore une fois au-dela des termes nous sommes d'accord. C'est l'essentiel