En ce qui concerne la fantaisie en Fa mineur, je viens d'en trouver une version deux pianos, réalisée par Kabalevsky.dominique a écrit :Oui, mais L. Descaves la range dans les oeuvres à 2 pianos !
Je viens de vérifier sur le livre. À la page 237, dans piano à 4 mains, elle met bien la fantaisie op.103. Mais à la page 241, dans musique à 2 pianos, elle remet aussi la fantaisie op.103. Erreur ? Ou bien existe-t-il une version 2 pianos ?
Piano 4 mains
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Oui il y a "l'ami des enfants" de Wolfhart, édition panthéon des pianistes. C'est très classique.AnneB a écrit :Quelqu'un connait un recueil de pieces tres tres faciles a 4 mains?
C'est pour jouer avec ma fille qui joue du violon depuis 3 ans et qui vient juste de commencer le piano (pour l'instant le prof de piano c'est moi, j'ai ressorti la ma vieille methode Rose, si elle arrive a bosser les 2 instruments en meme temps j'essaierai de lui trouver un vrai prof de piano l'année prochaine!)
Merci
Anne
En plus cela permet de commencer sans la clé de fa.
Ou Diabelli, ou les pièces de Caplet que j'ai mis... Exactement le même principe, mais vraiment revu musicalement.Koll a écrit :Oui il y a "l'ami des enfants" de Wolfhart, édition panthéon des pianistes. C'est très classique.AnneB a écrit :Quelqu'un connait un recueil de pieces tres tres faciles a 4 mains?
C'est pour jouer avec ma fille qui joue du violon depuis 3 ans et qui vient juste de commencer le piano (pour l'instant le prof de piano c'est moi, j'ai ressorti la ma vieille methode Rose, si elle arrive a bosser les 2 instruments en meme temps j'essaierai de lui trouver un vrai prof de piano l'année prochaine!)
Merci
Anne
En plus cela permet de commencer sans la clé de fa.

- dominique
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C'est bien sûr juste pour t'embêter !louna a écrit :Les 2 dernières sont longues.
Je dois finir de les scanner pour moi de toute façon...
J'en refais une tout de suite, et la dernière demain, car là, je pars bientôt.
Si tu demands les autres, c'est que tu les trouves interessantes, ou c'est pour m'embêter avec mon scanner ?

caminante, no hay camino, se hace camino al andar.
Veritas odium parit, obsequium amicos
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Bon je vais me faire des ami(e)s aujourd'hui...
Dominique tu écrivais concernant le thème "usage privé" :
En l'occurence, Le recueil de Caplet est disponible à 22 euros, les pièces séparées à 5 ou 3 euros et qques sur di-arezzo. Est-ce réservé aux nantis ?
Mais non, c'est encore trop cher, sans doute, même pour ceux qui vont gagner de l'argent avec (les profs)... et oui, au fait !
22 euros téléchargé 47 fois hier, parfois dans la perspective d'atelier de la rentrée (impressions multiples prévisibles donc ) :
faites le calcul du manque à gangner pour le marché !
Moi, je m'en fiche, faites comme vous voulez, mais je cherche la cohérence entre les grandes idées annoncées et cette piraterie gratuite.
Bon 4 mains quand même.
Dominique tu écrivais concernant le thème "usage privé" :
Ah ! le souci des pauvres !Oui, Samson, ce n'est pas parce qu'il faut protéger les droits d'auteurs et d'éditeurs qu'il faut que l'accès aux oeuvres soient réservées aux "nantis".
de même, ce n'est pas parce qu'il faut protéger les droits de propriété des médicaments qu'il faut que l'accès en soit interdit aux malades pauvres.
En l'occurence, Le recueil de Caplet est disponible à 22 euros, les pièces séparées à 5 ou 3 euros et qques sur di-arezzo. Est-ce réservé aux nantis ?
Mais non, c'est encore trop cher, sans doute, même pour ceux qui vont gagner de l'argent avec (les profs)... et oui, au fait !
22 euros téléchargé 47 fois hier, parfois dans la perspective d'atelier de la rentrée (impressions multiples prévisibles donc ) :
faites le calcul du manque à gangner pour le marché !
Moi, je m'en fiche, faites comme vous voulez, mais je cherche la cohérence entre les grandes idées annoncées et cette piraterie gratuite.
Bon 4 mains quand même.
Je n'ai pas d'opinion bien ferme sur la question, mais je voudrais ajouter mon grain de sel:
Sur ces 22euros, combien touchera ce fameux Caplet (que je ne connais pas, le malheureux,
est-il toujours vivant ?)
A titre personnel, je telecharge pas mal de partitions, mais j'achete tres vite celles que
je j'utilise.
Tout simplement parce que j'adore les partitions, comme les livres. Ca a quand meme
plus de gueule qu'un papier sorti de l'imprimante.
Et parce que j'adore farfouiller dans les magazins de partitions.
En fait, je dirais meme plus, telecharger me fait decouvrir des trucs que j'achete, et
que j'aurais jamais achete sinon.
Mais quand meme, je t'accorde, Samson, qu'il y a un vrai probleme.
Sur ces 22euros, combien touchera ce fameux Caplet (que je ne connais pas, le malheureux,
est-il toujours vivant ?)
A titre personnel, je telecharge pas mal de partitions, mais j'achete tres vite celles que
je j'utilise.
Tout simplement parce que j'adore les partitions, comme les livres. Ca a quand meme
plus de gueule qu'un papier sorti de l'imprimante.
Et parce que j'adore farfouiller dans les magazins de partitions.
En fait, je dirais meme plus, telecharger me fait decouvrir des trucs que j'achete, et
que j'aurais jamais achete sinon.
Mais quand meme, je t'accorde, Samson, qu'il y a un vrai probleme.
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Crois-tu vraiment que les 47 qui ont téléchargé l'auraient acheté?Samson a écrit :Bon je vais me faire des ami(e)s aujourd'hui...
Ah ! le souci des pauvres !
En l'occurence, Le recueil de Caplet est disponible à 22 euros, les pièces séparées à 5 ou 3 euros et qques sur di-arezzo. Est-ce réservé aux nantis ?
Mais non, c'est encore trop cher, sans doute, même pour ceux qui vont gagner de l'argent avec (les profs)... et oui, au fait !
22 euros téléchargé 47 fois hier, parfois dans la perspective d'atelier de la rentrée (impressions multiples prévisibles donc ) :
faites le calcul du manque à gangner pour le marché !
Moi, je m'en fiche, faites comme vous voulez, mais je cherche la cohérence entre les grandes idées annoncées et cette piraterie gratuite.
Bon 4 mains quand même.
Et que le manque à gagner serait donc de 47 fois 22, c'est à dire 1034 euros?
D'ailleurs les éditeurs ou les vendeurs proposent de plus en plus des extraits (musique, partitions etc.) sur leur site afin de se faire une idée.
Si vraiment on doit s'en servir, on l'achète après.
Cela me rappelle certains artistes de variété qui ne voulaient pas que leurs chansons passent à la radio à cause du manque à gagner...
- zarathoustra
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Je ne suis pas du tout d'accord avec toi Samson. Sur tout ce que je télécharge je n'achète pas tout (je serai complètement fauché sans ca). En revanche je fais certainement parti à titre privé des plus gros consommateurs de disque. De même, il m'arrive souvent de faire découvrir certaines œuvres que d'autres achètent âpres.
Le téléchargement portera ses fruits d'une façon ou d'une autre sur l'industrie de la musique en bien. D'ailleurs tout style confondu, il n'y a jamais eu autant de monde dans les concerts que depuis ces dernières années et le l'augmentation du public ne cesse de grimper.
Le téléchargement portera ses fruits d'une façon ou d'une autre sur l'industrie de la musique en bien. D'ailleurs tout style confondu, il n'y a jamais eu autant de monde dans les concerts que depuis ces dernières années et le l'augmentation du public ne cesse de grimper.
Zara, je vois pas le rapport entre tes généralités approximatives sur l'industrie du disque, la fréquentation des concerts et d'autre part l'édition de partitions musicales dont il est question ici.
(Tu sais, quand j'avais moins de 10 ans, les salles étaient aussi pleines, et pas "tous styles confondus", pour le classique, mais la différence : il y avait des concerts partout, des orchestres symphoniques en nombre... on a pas attendu les pitreries de Monsieur Lang ! )
Ce que je sais bien plus concrètement - j'ai travaillé chez Leduc avant 1980 - c'est que depuis 30 ans les éditeurs ont fermé les uns après les autres, les fonds français sont en grande partie, partis à l'étranger (Durand). Ce qui se voit moins c'est qu'au passage, bien des répertoires jugés non rentables sont partis au pillon.
Maintenant on change de paradigme économique : très bien. Mais la viabilité du système reste à prouver . Aucun d'entre nous n'ira monter sa boite d'édition musicale aujourd'hui ; dommage quel beau métier qui nous fille entre les doigt - encore un de plus.
Bon, tout celà ne m'explique pas en quoi le piratage de partition sur le net va amener les jeunes des banlieues à jouer du Mozart - ou Caplet... puisqu'on parlait des pauvres et des grandes causes, celle là me turlupine.
Mais il est vrais que s'il s'agit de se clouer le bec, mon cher Jypé, c'est p'tet que c'est la musique - la culture et les moeurs des banlieues qui prend finalement le dessus !
(Tu sais, quand j'avais moins de 10 ans, les salles étaient aussi pleines, et pas "tous styles confondus", pour le classique, mais la différence : il y avait des concerts partout, des orchestres symphoniques en nombre... on a pas attendu les pitreries de Monsieur Lang ! )
Ce que je sais bien plus concrètement - j'ai travaillé chez Leduc avant 1980 - c'est que depuis 30 ans les éditeurs ont fermé les uns après les autres, les fonds français sont en grande partie, partis à l'étranger (Durand). Ce qui se voit moins c'est qu'au passage, bien des répertoires jugés non rentables sont partis au pillon.
Maintenant on change de paradigme économique : très bien. Mais la viabilité du système reste à prouver . Aucun d'entre nous n'ira monter sa boite d'édition musicale aujourd'hui ; dommage quel beau métier qui nous fille entre les doigt - encore un de plus.
Bon, tout celà ne m'explique pas en quoi le piratage de partition sur le net va amener les jeunes des banlieues à jouer du Mozart - ou Caplet... puisqu'on parlait des pauvres et des grandes causes, celle là me turlupine.
Mais il est vrais que s'il s'agit de se clouer le bec, mon cher Jypé, c'est p'tet que c'est la musique - la culture et les moeurs des banlieues qui prend finalement le dessus !