J'ai figé mes intentions musicales, ça respire mieux plus qu'à gratter un peu en assurance et ce sera bien. Prendre une belle respiration avant d'attaquer mesure 9 et redescendre d'un cran en nuance, ne pas confondre crescendo et stretto à partir de la mesure 13, mesure 17 y aller sur le stretto et bien prendre son temps sur le climax mesure 21 puis respirer avant de reprendre et clôturer mes 25
Ah oui, en phase avec tout ce que tu écris, et que tu arrives à reproduire !
Je tombe aussi dans le piège de confondre stretto et crescendo, tellement tentant, mais ce n'est pas le texte.
On pourrait le découper en fait sous une forme de 4 carrures de 8 mesures suivies par une coda de 2 mesures.
En tout cas, bravo pour cette évolution, j'aime beaucoup la direction que tu lui donnes.
Perso, j'ai encore de mal avec la simultanéité de la double note ....
Merci ! J'étais passé à côté de cette Tribune !
Je suis content car la version de Pollini est encensée, et il fait dans le premier prélude exactement ce que j'avais en tête Y'a plus qu'à avoir les capacités pianistiques de Pollini
J’ai écouté les 6 versions du prélude 1 et ça n’a fait que confirmer mon ressenti sur ce prélude. J’aime la voix intérieure de Pollini justement parcequ’elle est mouvante, ce sont des pouces qui prennent progressivement leur place mais qui ne sont pas LA voix.
Ma version préférée de cette tribune pour le prélude en Do M est celle de Blechacz (version C, que je ne connaissais pas), et dont j’aime le côté fugace, en passant, qui emporte et qui disparaît sans laisser de trace, à peine un sillage.
J’ai trouvé le discours des critiques très bons en particulier dans la nécessité d’une recherche et une proposition artistique globale dans ces préludes. (Au moins par 2, poke Poppotame !) Ils s’apprécient dans leur globalité et je crois que c’est d’ailleurs la force de Pollini (plus que son interprétation du 1er)