Intéressant.Serge a écrit :Bonjour, le clavier lourd du kg2 peut mettre en évidence certaines faiblesses techniques. En particulier une inefficacité énergétique que l'on peut compenser plus facilement sur un clavier léger.
Par exemple, des mouvements incontrôlés des phalangines, falangettes ou poignets qui vont amortir l'action de la phalange, et par conséquences réduire la vitesse d'enfoncement de la touche malgré l'énergie que l'on peut y mettre.
C'est d'ailleurs la problématique qu'on retrouve quand un élève quitte son piano numérique pour un acoustique.
Mais sans doute y aurait-il le même souci d'un piano numérique à un autre, surtout que le volume sonore des numériques est souvent mis sur « faible » par leurs utilisateurs, empêchant d'entendre toutes les nuances et les résonances.
J'ai tendance à faire travailler plus tôt qu'auparavant l'attaque des notes, l'énergie, le jeu staccato étant une façon d'y parvenir, et moi-même je travaille cela lors de mes répétitions.
On parle bien en effet d'efficacité optimale dans l'énergie déployée dans les doigts, sans qu'elle ne se dissipe dans des gestes inutiles.
De même que la souplesse des poignets est essentielle, j'arrive à de bons résultats même avec des débutants.
Bon, je suis hors-sujet, mille excuses.

Question lourdeur des claviers, mon droit Kawai est assez léger, et avec la pédale douce la sensation de légèreté est grisante, mais attention quand on migre sur un queue, la donne sera différente avec cette pédale qui a une action différente comme chacun sait, et dans les graves on a souvent un clavier plus lourd.
Il faut donc travailler la puissance dans les doigts, les poignets, je suis un homme mais j'ai des poignets fins, au poignet gauche j'ai une tendinite chronique qui se réveille quand je répète plusieurs heures.