Re: [Fil Christof] Postlude ou la blessure des songes (version du 30 avril 2025)

[Spianissimo]

Tu es un vrai artiste Christof ! Et on dirait que tu es devenu l'instrument... Et c'est comme ça que ça fonctionne non ?
En plus tu présentes tes enregistrements de manière poétique, ça fait beaucoup de talents

Je n'aurais pas pu dire mieux, donc, je reprends ces propos à mon compte en rajoutant que c'est très bien de ne pas savoir comment ça fonctionne, ça s'appelle être intuitif et ça donne de la fraîcheur à tout ce que tu fais...ne change rien Christof !! J'ai écouté la première version de "je pense à toi" qui m'a déjà offert un beau voyage, merci !!

[lullablue]

Bravo, c'est très joli! un bel ensemble musique,poésie et peinture

[Philippe Le French]

Comment cela fonctionne ? Voici ci dessous une belle explication encore bien plus poétique que technique :

Marcher, poser des empreintes dans un monde qui voit trop souvent les choses en noir et blanc. Donner de la couleur, le clavier ne demandant qu'à être pétri, les doigts encore et toujours animés de la passion dévorante. Comme un chant déchirant.
Tenter d’entretenir le divin avec l'art sur lequel il faudrait se pencher, inlassablement. Quiétude heureuse.
Exhumer de soi ces cahiers inédits. Espérer qu'il ressemble à l'enfant qui fait des coloriages en sifflant des comptines, eau qui dort à côté de la gouache lumineuse. Renverser sa boîte de jeux pour bâtir un coin charmant. Des cubes, de toutes les couleurs, d'un bel ocre jaune, de terre de sienne brûlée, des pays chauds. Et puis là, du bleu océan. Un coin où il fait bon s'y promener, dans des avenues de bric et de broc, tricotées dans la poésie des images.

Images, musique, et maintenant du texte....Effectivement, derrière chaque artiste doit se cacher un gamin, ou encore mieux, une âme d'enfant.

[Christof]

Un souffle à la Keith Jarrett, c’est marrant il y a une dualité Soleil/lune, tel un langage entre les deux ou le masculin et le féminin s’alternent et finissent par trouver un équilibre..
Du grand Art …..

Merci beaucoup Ninoff ! Oui, je crois qu'il y a ici une dualité profonde et c'est extrêmement touchant pour moi que tu la ressentes dans ma musique. Tu lis en moi comme dans un livre ouvert.

Tu es un vrai artiste Christof ! Et on dirait que tu es devenu l'instrument... Et c'est comme ça que ça fonctionne non ?
En plus tu présentes tes enregistrements de manière poétique, ça fait beaucoup de talents

Merci beaucoup Marie-Hélène. Très touché par ton message, et de savoir que ma musique vit en vous grâce à pianomajeur.

Tu es un vrai artiste Christof ! Et on dirait que tu es devenu l'instrument... Et c'est comme ça que ça fonctionne non ?
En plus tu présentes tes enregistrements de manière poétique, ça fait beaucoup de talents

Je n'aurais pas pu dire mieux, donc, je reprends ces propos à mon compte en rajoutant que c'est très bien de ne pas savoir comment ça fonctionne, ça s'appelle être intuitif et ça donne de la fraîcheur à tout ce que tu fais...ne change rien Christof !! J'ai écouté la première version de "je pense à toi" qui m'a déjà offert un beau voyage, merci !!

Merci beaucoup Spiani et ravi de t'avoir emmené en voyage. Laissons toujours faire l'intuition, cette petite voix intérieure qui nous dirige si bien.

Bravo, c'est très joli! un bel ensemble musique,poésie et peinture

Merci beaucoup pour ton écoute lullablue !

Comment cela fonctionne ? Voici ci dessous une belle explication encore bien plus poétique que technique :

Marcher, poser des empreintes dans un monde qui voit trop souvent les choses en noir et blanc. Donner de la couleur, le clavier ne demandant qu'à être pétri, les doigts encore et toujours animés de la passion dévorante. Comme un chant déchirant.
Tenter d’entretenir le divin avec l'art sur lequel il faudrait se pencher, inlassablement. Quiétude heureuse.
Exhumer de soi ces cahiers inédits. Espérer qu'il ressemble à l'enfant qui fait des coloriages en sifflant des comptines, eau qui dort à côté de la gouache lumineuse. Renverser sa boîte de jeux pour bâtir un coin charmant. Des cubes, de toutes les couleurs, d'un bel ocre jaune, de terre de sienne brûlée, des pays chauds. Et puis là, du bleu océan. Un coin où il fait bon s'y promener, dans des avenues de bric et de broc, tricotées dans la poésie des images.

Images, musique, et maintenant du texte....Effectivement, derrière chaque artiste doit se cacher un gamin, ou encore mieux, une âme d'enfant.

Merci Roulroul. Derrière chaque adulte il y a un enfant qui se demande vraiment comment il en est arrivé là

[Christof]

Concert en solitaire, un peu comme un marin d'eau douce qui prend la mer.
Si beau quelquefois, âpre au mélancolique, qui nous prend dans ses rets aux premières notes.
Mais l'horizon est-il aussi étendu lorsqu'on joue juste pour soi-même ?

Je ferme les yeux, j'imagine alors un public bercé par cette musique.
Cette extrême présence, moment de grâce, celui qui vous peuple à tout jamais l'âme et le cœur.
Les secondes de bonheur que l'on ne saisit pas forcément sur l'instant. Et ce qui ravit dans ce miracle, ce scintillement, c'est peut-être ce moment de densité.
S'accrocher à ces grains, entre lumière et ombre roide, qui soudain devient si nette, directe qu'on croit pouvoir la toucher presque. Grouillement de particules autour d'une frontière imaginaire. C'est là qu'on peut rêver.
Dans ce rai de lumière se donne à voir un espace différent, inséré dans le nôtre, l'univers de l'ailleurs. Quelque chose qui malgré toutes les blessures, n’est jamais blessé.

Comment serait le monde si l'on voyait scintiller la lumière, partout, interminablement ?
N'y a-t-il pas tout le temps une strate à la fois invisible et présente, un pan que l'on pourrait atteindre, un autre espace emboîté dans celui que nous connaissons ? La création est-elle la place où s'absente le monde pour se représenter ?

Pianomajeur comme une bibliographie des imaginations, les contrechants qui mûrissent dans nos têtes, aussi précieux que l'amour, murmurant avec tendresse. Des musiciens et musiciennes rassemblés pour coudre ensemble les vies, les réunir en un tissage mordoré, une étoffe de réalité.


Merci pour votre passage sur ma page.

[fritz]

Je crois que je découvre "le soleil s'est couché dans tes yeux", je suis exténué par le boulot donc à fleur de peau, n'empêche que les larmes sont très vite arrivées aux miens. Compliqué de mettre des mots dessus mais c'est à la fois lumineux, mélancolique et réconfortant, ça m'a fait l'effet d'un gros câlin. Merci beaucoup j'en avais besoin

[Ninoff]

Tu es sacrément inspiré ces jours-ci, on perçoit ton envie et une forme de liberté qui coule dans les mélodies..
Bravo …

[Pos]

Tu écris aussi bien que tu ne joues ma parole ! Finalement ce concert en solitaire n’est plus si solitaire que ça. Il y a sa diffusion ici évidemment mais aussi le fait que tu nous imagines nous public, lorsque tu joues et ça donne une telle présence à ton son, que lorsque je t’écoute, c’est comme si tu étais vraiment là à jouer, devant moi. Il y a dans la musique des choses inexplicables « si je joue comme si un public était là dans ma pièce, alors le public m’entendra comme si je jouais dans son salon » .
Je ne sais quelle est la part de laisser aller et la part de préparation dans le choix et l’ordre des pièces de ton concert solitaire. Toujours est il que tout coule de source. Le soleil s’est couché dans tes yeux est une invitation à la rêverie et la gavotte aurait été le bis que je t’aurais réclamé !

Merci pour ce moment de partage sublime
Chapeau l artiste !

[Hey-J]

C'est très joli. La fin à des accents classiques. Toujours ma sale manie de trouver des ressemblances partout
Mais ca n'est pas pour me déplaire

Merci à toi oh ! travailleur acharné

[Christof]

Je crois que je découvre "le soleil s'est couché dans tes yeux", je suis exténué par le boulot donc à fleur de peau, n'empêche que les larmes sont très vite arrivées aux miens. Compliqué de mettre des mots dessus mais c'est à la fois lumineux, mélancolique et réconfortant, ça m'a fait l'effet d'un gros câlin. Merci beaucoup j'en avais besoin

Merci beaucoup Fritz pour ton message qui me va droit au cœur.
Il faut que je te dise : j'ai composé ce morceau au tout début janvier de cette année à la suite d'un appel d'une amie. Son neveu, Louis, la quarantaine, venait de se noyer à la Guadeloupe. Elle ma demandé si je pouvais composer un morceau qu'on pourrait entendre pendant la cérémonie, et qui devait accompagner ce texte écrit par son père :

" A Louis

Derrière ton arbre
d'où de ses branches
Ta souffrance a glissé lentement.
Le soleil s'est couché dans tes yeux.
La mer a aspiré ton dernier souffle et lavé ton visage meurtri,
comme pour purifier l'envol de ton âme.
Tu es parti dans le silence, qui toujours me sera comme une blessure.
Je t'aimais mon fils

Ce 6 janvier 2024."

Alors tu vois, les larmes c'était cela.

Tu es sacrément inspiré ces jours-ci, on perçoit ton envie et une forme de liberté qui coule dans les mélodies..
Bravo …

Merci Ninoff. Il faut dire qu'ayant été super mal foutu, je n'avais pas joué de piano pendant dix jours. Le retrouver m'a fait le plus grand bien.

Tu écris aussi bien que tu ne joues ma parole ! Finalement ce concert en solitaire n’est plus si solitaire que ça. Il y a sa diffusion ici évidemment mais aussi le fait que tu nous imagines nous public, lorsque tu joues et ça donne une telle présence à ton son, que lorsque je t’écoute, c’est comme si tu étais vraiment là à jouer, devant moi. Il y a dans la musique des choses inexplicables « si je joue comme si un public était là dans ma pièce, alors le public m’entendra comme si je jouais dans son salon » .
Je ne sais quelle est la part de laisser aller et la part de préparation dans le choix et l’ordre des pièces de ton concert solitaire. Toujours est il que tout coule de source. Le soleil s’est couché dans tes yeux est une invitation à la rêverie et la gavotte aurait été le bis que je t’aurais réclamé !

Merci pour ce moment de partage sublime
Chapeau l artiste !

Merci beaucoup Pos pour ton message.
En fait, je n'avais rien préparé. Mais selon les tonalités des morceaux, les enchaînements me sont venus comme des évidences.
La seule chose que je savais, c'est que je voulais finir sur une touche un peu "classique".

C'est très joli. La fin à des accents classiques. Toujours ma sale manie de trouver des ressemblances partout
Mais ca n'est pas pour me déplaire

Merci à toi oh ! travailleur acharné

Merci beaucoup Hey Jo pour ton message et ton écoute. Le morceau de fin est en fait le thème de la Gavotte de Rameau

[elenajalan]

Poésie et philosophie dans les mots comme au piano. Quel bel hommage que son âme a sans doute perçu à travers au-delà, dans cette éternité inconnue de nous tous tant que nous faisons encore partie de ce monde terrestre...

[Philippe Le French]

D'un haut niveau, mélodieux, bien tourné, on ne se lassera jamais des morceaux de Christof. Seulement 15"03 c'est un peu trop long pour écouter comme ça d'un trait. Je vais le riper dans la voiture, pour apprécier encore davantage. Ce ciel bleu, quelle sobriété. J'adore !

[Hey-J]

Merci beaucoup pour la précision sur le thème de la Gavotte de Rameau.

[Christof]

Poésie et philosophie dans les mots comme au piano. Quel bel hommage que son âme a sans doute perçu à travers au-delà, dans cette éternité inconnue de nous tous tant que nous faisons encore partie de ce monde terrestre...

Merci beaucoup Elena pour ton message. A chaque fois que je joue ce morceau, j'ai l'impression qu'il est à côté de moi.

D'un haut niveau, mélodieux, bien tourné, on ne se lassera jamais des morceaux de Christof. Seulement 15"03 c'est un peu trop long pour écouter comme ça d'un trait. Je vais le riper dans la voiture, pour apprécier encore davantage. Ce ciel bleu, quelle sobriété. J'adore !

Merci pour ton message Roulroul !

Merci beaucoup pour la précision sur le thème de la Gavotte de Rameau.

Morceau tellement moderne !

[Christof]

J'avais commencé à regarder ce morceau, découvert grâce à Ninoff, mais l'avais abandonné car je l'avais trouvé trop difficile.
Mais finalement, il m'a toujours turlupiné ce Mélancolie. J'ai toujours gardé un contact avec lui, en toile de fond, j'en jouais des petits bouts par ci par là.
Aujourd'hui, j'aimerais vraiment arriver à le jouer en entier. J'ai repris le travail un peu plus sérieusement.

Il y a dans ce morceau une science incroyable de la mélodie et de l'harmonie.
Cela module tellement dans tous les coins que je m'astreint à chiffrer petit à petit tous les accords. Beaucoup de passages qui ne tombent pas facilement sous les doigts.
C'est bizarre que ce morceau ne soit pas plus joué (entre autre dans les concours), un bijou qui n'est pas si connu.

Y aurait-il des Pmistes qui aimerait le travailler ? On pourrait s'échanger des tuyaux....

Je vous mets ici juste le début (cela représente une page et demi), seule partie actuellement qui se tient à peu près, et donc un peu présentable..
En fait, j'en suis aujourd'hui à trois pages, plus des fragments, grapillés un peu partout, mais cela ne tient pas du tout la route.
C'est vraiment un travail de très longue haleine mais ne sais si finalement, j'ai la bonne méthode de travail. Pour l'instant, je travaille par bouts, je fais des patchworks, en espérant qu'à un moment, tout va pouvoir se rassembler (le morceau fait 9 pages).

Merci pour votre écoute.
(PS : je viens de m'apercevoir que dès le départ, il y a une erreur de durée sur la toute première note.... )

[Ninoff]

Bonsoir Christophe,

Ça me fait plaisir de t’entendre dans ce répertoire ou ton ressenti musical fera merveille.
Si tu veux bien je suivrais avec attention ta progression, travaillant aussi cette œuvre, cela me permettra de mettre le doigt sur des détails sur ma propre vision de l’œuvre.comme tu l’as dit, ce n’est pas si évident que cela, notamment avec d’énormes variantes de tonalités, des changements soudains, rythmiques, de structure, de phase de transition paradoxale.
C’est d’ailleurs ce qui fait le charme de cette œuvre.

Tout d’abord, Francis Poulenc avait le désir qu’il y ait le moins de rubato possible, Gabriel Tacchino l’a rappelé assez souvent.
Je trouve déjà ton jeu très sensible et dans le sens de la composition, ton tempo est idéal même si de mon côté je le joue plus rapidement.
Attention fin de mesure 3 à la main droite le ré est bécarre.
Mesure 4 ton sib md est trop marqué, et bien réalisé le soufflet jusqu’au mib md très délicat qui annonce le 2e mib de la 2e exposition du thème.
À la mesure 10 faire le mib à la mg (milieu de mesure clé de sol), il ne ressort pas assez.
13e mesure md do#/sol 1er temps faire attention altération
Et 14e mesure il est stipulé « céder à peine »
Ce sont juste des détails mais plus vite c’est mis en place meilleur c’est.
Bien dissocier toutes les notes des chants md et mg et tout l’accompagnement joué sans articulation.
Je te souhaite beaucoup de plaisir à déchiffrer et découvrir cette merveille.

[Aurele27]

C’est super beau Christophe, vraiment ravie de t’entendre dans ce répertoire.
J’essaye d’écouter demain avec la partition pour voir si je peux donner des conseils utiles.

[Christof]

Ça me fait plaisir de t’entendre dans ce répertoire ou ton ressenti musical fera merveille.
Si tu veux bien je suivrais avec attention ta progression, travaillant aussi cette œuvre, cela me permettra de mettre le doigt sur des détails sur ma propre vision de l’œuvre.comme tu l’as dit, ce n’est pas si évident que cela, notamment avec d’énormes variantes de tonalités, des changements soudains, rythmiques, de structure, de phase de transition paradoxale.
C’est d’ailleurs ce qui fait le charme de cette œuvre.

Mon cher Ninoff
Bien sûr que je veux bien, c'est un véritable cadeau de ta part. Tu vas me guider et je me sens épaulé.
Merci déjà pour toutes tes indications. C'est dingue comme parfois on a de merdouille dans les yeux : ce ré bécarre.... De l'importance d'être hyper vigilant au départ parce que ce n'est pas si évident que cela ensuite de corriger, le pli ayant été pris.
Oui, je vais faire bien plus attention à ne pas mettre trop de rubato...
Oui mesure 13 c’est do# sol (et pas do# la), inattention de ma part)


Je suis tombé en amour avec ce morceau. C'est passionnant à travailler, monter chaque partie si différentes dans un tout, essayer de sentir les intentions du compositeurs. Se laisser guider par la musique. J'aime beaucoup les indications de Francis Poulenc sur sa partition, par exemple ce "céder à peine", et en même temps pour la MG : doucement en dehors" ; "soutenu", "Presser un peu", et tout de suite après "Céder un peu", mais aussi "Céder à peine", "Un peu plus vite, "Animer beaucoup, mais très progressivement"... etc., etc. Un véritable voyage.

Merci pour ton conseil de "Bien dissocier toutes les notes des chants md et mg et tout l’accompagnement joué sans articulation".
J'ai tendance à encore trop articuler l'accompagnement... Pour l'instant, si je n'articule pas un peu, certaines notes ne s'entendent pas... Mais je sais que cela va venir

C’est super beau Christophe, vraiment ravie de t’entendre dans ce répertoire.
J’essaye d’écouter demain avec la partition pour voir si je peux donner des conseils utiles.

Merci beaucoup Aurèle ! Je suis très touché et c'est avec plaisir que je prendrai tous tes conseils, qui vont me donner encore plus de courage.

Je te vois bien jouer cette pièce. Peut-être lors d'un concours l'année prochaine ?

[Christof]

Cher Ninoff
J'ai essayé de tenir compte de tes conseils, avec notamment essai de moins d'articulation sur l'accompagnement pour mieux faire ressortir encore la mélodie. C'est une début et je devrais pouvoir rendre l'accompagnement encore plus éthéré (cela demande une concentration folle).

Merci de m'avoir indiqué cela car je dois en tenir compte sur tout le morceau et cela va m'éviter des erreurs dès le départ. C'est tellement rapide de prendre un mauvais pli.

Encore merci !

NB : ne fais pas attention aux fausses notes et erreurs par rapport à la partition, je sais exactement où elles sont.

[Spianissimo]

Très beau Christof , j'espère que tu auras le courage d'aller jusqu'au bout de cette belle composition, je serai bien incapable de te faire un retour détaillé comme Ninoff car Poulenc, j'aime beaucoup l'écouter mais ses partitions ont toujours agi comme un repoussoir chez moi, c'est un compositeur français dont la musique m'échappe sur le clavier, je la trouve difficile à déchiffrer et à jouer....un jour peut-être, je m'y pencherai avec plus de volonté, car au final, même s'il n'y a aucun rapport apparent entre les 2, je ne vois pas pourquoi je pourrais jouer du Scriabine et pas du Poulenc....