Je n'ai pas trouvé de sujet dédié là-dessus, peut-être simplement parce que ce n'est pas un sujet mais au cas où : voyez vous des choses spécifiques sur lesquelles mettre l'accent en passant d'une mécanique de piano droit à une mécanique de piano à queue ? Je me disais que reprendre la 25/2 de Chopin pouvait être une bonne idée par exemple pour se faire au double échappement, ou des pièces avec beaucoup de répétition, comme je ne sais plus quelle sonate de Scarlatti.
pour ma part je travaillerais des pièces lentes pour gouter la sonorité du piano à queue , son timbre , une pièce avec beaucoup de diversité de pédale :enfin une pédale una corda digne de ce nom !
Pas vraiment de consensus visiblement, je vais continuer d'entretenir mon répertoire du moment pour avoir du prêt à jouer du coup et certainement mettre quelques préludes lents de Chopin au programme aussi histoire de profiter des nouvelles basses
Oukee a écrit : ven. 22 mars, 2024 16:30
Ce n’est pas vraiment un sujet : il faut te familiariser, avec les morceaux que tu travailles au moment où tu changes.
Je suis d'accord avec ça, par contre, tu verras qu'au bout d'un moment, une fois que tu auras maîtrisé ton nouveau copain, tu auras envie de réinterpréter des morceaux que tu as déjà travaillé sur ton droit, en essayant de leur apporter la plus-value que le piano à queue ne va pas manquer de t'offrir....
Pipus a écrit : ven. 22 mars, 2024 16:57
Moi j'aurais tendance à travailler mon saut en longueur, pour la poussière
Sinon, pour revenir au sujet, j'ai vu la différence entre mon Rameau et un queue quand j'ai pu mettre en valeur le travail pianissimo et crescendo de la m.g. du Prélude 15 de Chopin, avec des basses somptueuses. En passant à mon droit actuel, idem, méga différence avec le Rameau (car toucher léger et basses puissantes).
Sinon je dirais, pour la répétition et profiter du double échappement : Scarbo !!!!