
L'orgue
- Jacques Béziat
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Re: L'orgue
Ce grand orgue de tribune est classé depuis 1972.piano bien tempéré a écrit : dim. 12 mars, 2023 9:21 Ne pas trop se biler pour l’orgue de Lisieux ! Si il est classé c’est à peu près toujours les mêmes qui feront la restauration !
La musique est la langue des émotions. (Kant)
Voler, c'est voir le monde avec les yeux de Dieu !
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Re: L'orgue
Années tangentes pour les classements d'orgues qui ont parfois donné lieux à des transformations abusives dont la plus emblématique est saint Léon de Nancy : Cavaillé passé à la moulinette néo-classique ...
- H.Selmer
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Re: L'orgue
Arras : l’orgue de l’ancien couvent des Augustines désormais en l’église Saint Jean-Baptiste !
https://www.lavoixdunord.fr/1302238/art ... lise-saint
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Re: L'orgue
Les cors anglais ou les clarinettes en 16 sont assez rares chez Cavaillé-Coll (y en a un sur l'orgue de St Ouen); même sur le mastodonte de St Sulpice, il n'y en a pas; ils permettent des effets symphoniques intéressants et c'est bien qu'il y en ait un sur cet orgue; il me semble qu'on en trouve plus souvent sur les Puget.Jacques Béziat a écrit : sam. 11 mars, 2023 20:31mieux vaut un Cor Anglais (Basson ?) de 16' au Récit que rien du tout, c'était sans doute le but de la dernière recomposition.Dufay a écrit : mer. 08 mars, 2023 17:01
Il semblerait qu'ils souhaitent revenir à la composition d'origine lors de la prochaine restauration. Pas sûr que ce soit une bonne idée de supprimer les pleins-jeux classiques
Oui, un Piccolo au Récit, la lubie d'un titulaire ?
.
Vous avez pu comparer les deux ?Personnellement, je préfère ce CC à celui de Caen.
Je n'ai pu comparer Lisieux et Caen que sur des enregistrements (dans d'excellentes conditions) qui donnent quand-même une idée assez précise de la couleur des orgues (et l'acoustique de ces églises).
Re: L'orgue
Bonjour, je viens poster ici car je souhaiterai des conseils de la part d'organistes/facteurs d'orgue et d'amateurs d'orgue.
J'ai découvert l'existence d'une formation BAC PRO pour devenir facteur d'orgue en Alsace, la seule formation française dans ce domaine.
J'ai 28 ans, ce qui signifie que je vais bientôt atteindre un âge où accéder à cette formation ne sera légalement plus possible, d'où mes interrogations.
Concernant ma personne, je suis titulaire d'un baccalauréat littéraire ainsi que d'une licence de droit (domaine qui m'intéresse que très moyennement et dans lequel je n'ai pas aimé travaillé). J'ai également environ 7 ans de pratique de violoncelle (commencé à 18 ans) dont 5 ans au conservatoire (je ne suis cependant pas allé jusqu'au bout).
Il y a un peu plus d'un an, j'ai abandonné toute ma vie professionnelle (que j'estimais non-épanouissante) pour me consacrer entièrement à la musique et notamment à l'apprentissage du piano. Un choix que beaucoup ont critiqué mais j'en assume les risques et je continue de penser que mourir dans la mendicité est préférable au destin d'automate auquel le salariat me prédestinait.
Je sais déjà que cette affirmation va certainement agacer certains d'entre vous, mais toutes les âmes ne s'accommodent pas de l'aliénation engendrée par la civilisation industrielle avec la même facilité. Je n'ai pas choisi d'être incapable de m'épanouir dans ces conditions.
Je n'ai à ce jour, jamais joué sur un orgue. Et je vais même être sincère, je préfère le piano. Bien que j'aime beaucoup la musique pour orgue, le piano me semble plus riche en ce qui concerne les différents styles possibles et l'étendue du répertoire envisageable. Beaucoup de morceaux pour orgue peuvent être joués, ou adaptés relativement aisément sur un piano. L'inverse n'est pas vrai.
J'en viens au coeur du sujet : a-t-on besoin de moi ?
Je suis conscient que le métier de facteur d'orgue est un métier difficile, qui demande beaucoup de sacrifices pour une rémunération très modeste. Et, si je devais choisir, il est évident que je m'embarrasserais pas à apprendre un métier aussi exigeant quand j'ai la possibilité de vivre et de jouer du piano librement sans jamais avoir à travailler (du moins pour le moment, car mes parents ont la bienveillance de subvenir à mes besoins). Qui plus est sur un quart de queue Gaveau qui sonne très bien. Et il est évident que si je devais devenir facteur d'orgue, j'aurais beaucoup moins la possibilité de pratiquer mon instrument préféré et que je devrais donc revoir à la baisse mes ambitions dans ce domaine.
Mais je suis inquiet, inquiet car je vois (ou je crois voir), dans beaucoup de domaines, la disparition de nombreuses compétences. J'ai été, par exemple, profondément attristé d'apprendre que la plupart des fabricants de piano français avaient délocalisé.
Alors, je ne suis pas stupide, je sais que, s'il devait ne plus y avoir de facteur d'orgue français, on ira embaucher les allemands, du moins jusqu'à ce que l'Etat décide que le financement de ces vieilleries ne fait plus partie de ses priorités. Mais j'ai peur que l'instrument disparaisse, que plus personne n'ait les compétences pour les entretenir ou les restaurer.
J'imagine que, comme tout être humain, je ressens le désir d'être utile à la société et je pense être capable de triompher de la paresse, pour peu que cela poursuive un objectif noble et productif. Préserver notre patrimoine devrait être le devoir de tous.
Mes inquiétudes sont-elles fondées, ou bien mon pessimisme est-il paranoïaque ?
A-t-on besoin de personnes prêtes à se dévouer pour "reprendre le flambeau", ou bien, au contraire, je suis sur le point de m'engager dans une voie qui ne manque pas de candidats passionnés et pour laquelle il y a déjà une rude concurrence ?
La réponse que j'apporterai à cette question conditionnera grandement ma décision, c'est pourquoi je viens poser la question ici à des personnes passionnées d'orgue, qui, par leur parcours, ont une meilleure vision d'ensemble sur la situation actuelle de cette profession.
Merci beaucoup à ceux qui ont lu, et pardonnez le côté "impudique" de mon message, j'ai une personnalité étrange, et la discussion chez moi s'accompagne souvent de malaises, autant pour moi que pour mes interlocuteurs, ce n'est pas volontaire.
J'ai découvert l'existence d'une formation BAC PRO pour devenir facteur d'orgue en Alsace, la seule formation française dans ce domaine.
J'ai 28 ans, ce qui signifie que je vais bientôt atteindre un âge où accéder à cette formation ne sera légalement plus possible, d'où mes interrogations.
Concernant ma personne, je suis titulaire d'un baccalauréat littéraire ainsi que d'une licence de droit (domaine qui m'intéresse que très moyennement et dans lequel je n'ai pas aimé travaillé). J'ai également environ 7 ans de pratique de violoncelle (commencé à 18 ans) dont 5 ans au conservatoire (je ne suis cependant pas allé jusqu'au bout).
Il y a un peu plus d'un an, j'ai abandonné toute ma vie professionnelle (que j'estimais non-épanouissante) pour me consacrer entièrement à la musique et notamment à l'apprentissage du piano. Un choix que beaucoup ont critiqué mais j'en assume les risques et je continue de penser que mourir dans la mendicité est préférable au destin d'automate auquel le salariat me prédestinait.
Je sais déjà que cette affirmation va certainement agacer certains d'entre vous, mais toutes les âmes ne s'accommodent pas de l'aliénation engendrée par la civilisation industrielle avec la même facilité. Je n'ai pas choisi d'être incapable de m'épanouir dans ces conditions.
Je n'ai à ce jour, jamais joué sur un orgue. Et je vais même être sincère, je préfère le piano. Bien que j'aime beaucoup la musique pour orgue, le piano me semble plus riche en ce qui concerne les différents styles possibles et l'étendue du répertoire envisageable. Beaucoup de morceaux pour orgue peuvent être joués, ou adaptés relativement aisément sur un piano. L'inverse n'est pas vrai.
J'en viens au coeur du sujet : a-t-on besoin de moi ?
Je suis conscient que le métier de facteur d'orgue est un métier difficile, qui demande beaucoup de sacrifices pour une rémunération très modeste. Et, si je devais choisir, il est évident que je m'embarrasserais pas à apprendre un métier aussi exigeant quand j'ai la possibilité de vivre et de jouer du piano librement sans jamais avoir à travailler (du moins pour le moment, car mes parents ont la bienveillance de subvenir à mes besoins). Qui plus est sur un quart de queue Gaveau qui sonne très bien. Et il est évident que si je devais devenir facteur d'orgue, j'aurais beaucoup moins la possibilité de pratiquer mon instrument préféré et que je devrais donc revoir à la baisse mes ambitions dans ce domaine.
Mais je suis inquiet, inquiet car je vois (ou je crois voir), dans beaucoup de domaines, la disparition de nombreuses compétences. J'ai été, par exemple, profondément attristé d'apprendre que la plupart des fabricants de piano français avaient délocalisé.
Alors, je ne suis pas stupide, je sais que, s'il devait ne plus y avoir de facteur d'orgue français, on ira embaucher les allemands, du moins jusqu'à ce que l'Etat décide que le financement de ces vieilleries ne fait plus partie de ses priorités. Mais j'ai peur que l'instrument disparaisse, que plus personne n'ait les compétences pour les entretenir ou les restaurer.
J'imagine que, comme tout être humain, je ressens le désir d'être utile à la société et je pense être capable de triompher de la paresse, pour peu que cela poursuive un objectif noble et productif. Préserver notre patrimoine devrait être le devoir de tous.
Mes inquiétudes sont-elles fondées, ou bien mon pessimisme est-il paranoïaque ?
A-t-on besoin de personnes prêtes à se dévouer pour "reprendre le flambeau", ou bien, au contraire, je suis sur le point de m'engager dans une voie qui ne manque pas de candidats passionnés et pour laquelle il y a déjà une rude concurrence ?
La réponse que j'apporterai à cette question conditionnera grandement ma décision, c'est pourquoi je viens poser la question ici à des personnes passionnées d'orgue, qui, par leur parcours, ont une meilleure vision d'ensemble sur la situation actuelle de cette profession.
Merci beaucoup à ceux qui ont lu, et pardonnez le côté "impudique" de mon message, j'ai une personnalité étrange, et la discussion chez moi s'accompagne souvent de malaises, autant pour moi que pour mes interlocuteurs, ce n'est pas volontaire.
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Re: L'orgue
Une seule solution pour toi : prendre ton bâton de pèlerin et frapper à la porte des facteurs d’orgue en activité de France et de Navarre ... 

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Re: L'orgue
Oui, et leur demander s'ils veulent bien te prendre en stage.
Quelques références qui t'intéresseront peut-être: Le blog de Régis Vermorel qui a construit un orgue chez lui:
http://orgue-vermorel.over-blog.com/
Le livre de Dom Bedos qui était une référence quand j'étais en classe d'orgue (une amie se l'était fait offrir pour ses 18 ans), mais c'était il y a longtemps: https://www.laflutedepan.com/livre/5001 ... gues-.html
Sinon plus près de nous, j'ai beaucoup aimé le livre de Jean Guillou: "L'orgue souvenir et avenir",
Quelques références qui t'intéresseront peut-être: Le blog de Régis Vermorel qui a construit un orgue chez lui:
http://orgue-vermorel.over-blog.com/
Le livre de Dom Bedos qui était une référence quand j'étais en classe d'orgue (une amie se l'était fait offrir pour ses 18 ans), mais c'était il y a longtemps: https://www.laflutedepan.com/livre/5001 ... gues-.html
Sinon plus près de nous, j'ai beaucoup aimé le livre de Jean Guillou: "L'orgue souvenir et avenir",
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Re: L'orgue
Je serais du même avis que piano bien tempéré. Facteur d'orgue est un très beau métier et en temps qu'organiste j'ai eu l'occasion de discuter avec des facteurs d'orgue lors des entretiens car j'essaie d'être présent. Cela me permet de connaître mieux l'orgue sur lequel je joue et les discussions sont passionnantes avec ces professionnels. Donc je pense qu'il est important de prendre contact avec eux et de leur faire part de tes projets. Ensuite il serait de prendre contact avec des organistes qui pourraient vous présenter leur orgue. De toute façon ce sont tous des passionnés qui pourront vous transmettre leur passion. Après à vous de vous documenter afin de connaître toutes les particularités de ce fabuleux instrument. En effet il ne suffit pas de savoir en jouer mais il est utile de connaître la composition des jeux et de se familiariser avec leur sonorité de façon à pouvoir les associer. Cela peut paraître compliqué au départ mais après cela devient fascinant. Voilà quelques indications mais prenez vraiment votre bâton de pèlerin cela vaut la peine d'autant que c'est un métier qui besoin d'artisans.
Salutations musicales
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Re: L'orgue
Vos interrogationssur le métier de facteur d'orgue étaient très pertinentes et nous avons été quelques-uns à essayer d'apporter des réponses mais c'est un peu dommage que vous n'ayez pas réagi à nos réponses. Ce n'est certes pas obligatoire de continuer à dialoguer mais c'est toujours sympathique d'avoir des nouvelles de celui qui a suggéré un sujet et une certaine forme de respect pour ceux qui prennent le temps de répondre.naolyeil a écrit : dim. 09 avr., 2023 22:12 Bonjour, je viens poster ici car je souhaiterai des conseils de la part d'organistes/facteurs d'orgue et d'amateurs d'orgue.
J'ai découvert l'existence d'une formation BAC PRO pour devenir facteur d'orgue en Alsace, la seule formation française dans ce domaine.
J'ai 28 ans, ce qui signifie que je vais bientôt atteindre un âge où accéder à cette formation ne sera légalement plus possible, d'où mes interrogations.
Concernant ma personne, je suis titulaire d'un baccalauréat littéraire ainsi que d'une licence de droit (domaine qui m'intéresse que très moyennement et dans lequel je n'ai pas aimé travaillé). J'ai également environ 7 ans de pratique de violoncelle (commencé à 18 ans) dont 5 ans au conservatoire (je ne suis cependant pas allé jusqu'au bout).
Il y a un peu plus d'un an, j'ai abandonné toute ma vie professionnelle (que j'estimais non-épanouissante) pour me consacrer entièrement à la musique et notamment à l'apprentissage du piano. Un choix que beaucoup ont critiqué mais j'en assume les risques et je continue de penser que mourir dans la mendicité est préférable au destin d'automate auquel le salariat me prédestinait.
Je sais déjà que cette affirmation va certainement agacer certains d'entre vous, mais toutes les âmes ne s'accommodent pas de l'aliénation engendrée par la civilisation industrielle avec la même facilité. Je n'ai pas choisi d'être incapable de m'épanouir dans ces conditions.
Je n'ai à ce jour, jamais joué sur un orgue. Et je vais même être sincère, je préfère le piano. Bien que j'aime beaucoup la musique pour orgue, le piano me semble plus riche en ce qui concerne les différents styles possibles et l'étendue du répertoire envisageable. Beaucoup de morceaux pour orgue peuvent être joués, ou adaptés relativement aisément sur un piano. L'inverse n'est pas vrai.
J'en viens au coeur du sujet : a-t-on besoin de moi ?
Je suis conscient que le métier de facteur d'orgue est un métier difficile, qui demande beaucoup de sacrifices pour une rémunération très modeste. Et, si je devais choisir, il est évident que je m'embarrasserais pas à apprendre un métier aussi exigeant quand j'ai la possibilité de vivre et de jouer du piano librement sans jamais avoir à travailler (du moins pour le moment, car mes parents ont la bienveillance de subvenir à mes besoins). Qui plus est sur un quart de queue Gaveau qui sonne très bien. Et il est évident que si je devais devenir facteur d'orgue, j'aurais beaucoup moins la possibilité de pratiquer mon instrument préféré et que je devrais donc revoir à la baisse mes ambitions dans ce domaine.
Mais je suis inquiet, inquiet car je vois (ou je crois voir), dans beaucoup de domaines, la disparition de nombreuses compétences. J'ai été, par exemple, profondément attristé d'apprendre que la plupart des fabricants de piano français avaient délocalisé.
Alors, je ne suis pas stupide, je sais que, s'il devait ne plus y avoir de facteur d'orgue français, on ira embaucher les allemands, du moins jusqu'à ce que l'Etat décide que le financement de ces vieilleries ne fait plus partie de ses priorités. Mais j'ai peur que l'instrument disparaisse, que plus personne n'ait les compétences pour les entretenir ou les restaurer.
J'imagine que, comme tout être humain, je ressens le désir d'être utile à la société et je pense être capable de triompher de la paresse, pour peu que cela poursuive un objectif noble et productif. Préserver notre patrimoine devrait être le devoir de tous.
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La réponse que j'apporterai à cette question conditionnera grandement ma décision, c'est pourquoi je viens poser la question ici à des personnes passionnées d'orgue, qui, par leur parcours, ont une meilleure vision d'ensemble sur la situation actuelle de cette profession.
Merci beaucoup à ceux qui ont lu, et pardonnez le côté "impudique" de mon message, j'ai une personnalité étrange, et la discussion chez moi s'accompagne souvent de malaises, autant pour moi que pour mes interlocuteurs, ce n'est pas volontaire.
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Re: L'orgue
Si l'église désacralisée Saint Nicaise a bien été transformée en brasserie (la décoration est magnifique), l'orgue est toujours en place !H.Selmer a écrit : sam. 27 nov., 2021 21:44 A Rouen, l'orgue de l'église désacralisée Saint Nicaise qui sera transformée en brasserie suite à sa vente, sera démonté et transféré pour être installé en l'église du Saint Esprit à Paris.
https://actu.fr/normandie/rouen_76540/r ... 41901.html

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Re: L'orgue
Pendant les vacances de Pâques je suis allé rencontrer Frédéric Munoz à Saint-Guilhem-le-Désert, après avoir déjeuné ensemble nous avons joué l'orgue, ce fut un moment très agréable et très instructif !
C'est un instrument de 28 jeux, à 3 manuels et un petit pédalier à la française, sans 16 pieds, mais aux belles couleurs d'origine, sauf le Positif qui est moderne et qui sonne trop fort et trop clair, se mélangeant de ce fait mal avec le reste.
Ce Positif va bientôt être réharmonisé par Formentelli, ce dernier ayant pris la suite de l'entretien de cet instrument, une bonne chose !
Sur la photo le buffet fait penser à un gros instrument, mais en réalité il est plutôt petit.
Je n'ai pas pensé à prendre une photo des claviers, trop occupé à écouter mon ami me parler de l'instrument.
Il est prévu que je teste l'orgue de la cathédrale d'Alès (ou du temple ?) avec Frédéric lors de ma prochaine visite, je vous en parlerai
!

C'est un instrument de 28 jeux, à 3 manuels et un petit pédalier à la française, sans 16 pieds, mais aux belles couleurs d'origine, sauf le Positif qui est moderne et qui sonne trop fort et trop clair, se mélangeant de ce fait mal avec le reste.
Ce Positif va bientôt être réharmonisé par Formentelli, ce dernier ayant pris la suite de l'entretien de cet instrument, une bonne chose !
Sur la photo le buffet fait penser à un gros instrument, mais en réalité il est plutôt petit.
Je n'ai pas pensé à prendre une photo des claviers, trop occupé à écouter mon ami me parler de l'instrument.
Il est prévu que je teste l'orgue de la cathédrale d'Alès (ou du temple ?) avec Frédéric lors de ma prochaine visite, je vous en parlerai


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Re: L'orgue
A Vichy (Allier), l’orgue Aubertin (Bernard Aubertin) de l’église Saint-Louis bénéficiera d'un relevage.
https://www.lamontagne.fr/vichy-03200/a ... _14305517/
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Re: L'orgue
Merci pour tes nouvelles de visites musicales. Intéressé par ta prochaine visite à Alès. J'ai de la famille proche là bas.Jacques Béziat a écrit : dim. 07 mai, 2023 22:57 Il est prévu que je teste l'orgue de la cathédrale d'Alès (ou du temple ?) avec Frédéric lors de ma prochaine visite, je vous en parlerai!

Nick Borderline https://www.youtube.com/channel/UC2DNVl ... y2w/videos
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Re: L'orgue
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Re: L'orgue
Demain, si vous êtes près de Bourges : https://www.leberry.fr/bourges-18000/lo ... _14312206/
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Re: L'orgue
Des nouvelles des tuyaux du grand orgue de Notre-Dame de Paris !
https://actu.fr/occitanie/vayrac_46330/ ... 14988.html
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Re: L'orgue
Merci pour toutes ces nouvelles sur le monde de l'orgue. C'est un patrimoine très précieux qui représente également un savoir faire artisanal et qu'il est important de préserver.
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Re: L'orgue
A vos agenda si vous êtes dans la région bordelaise les 26 & 27 mai !
https://www.sudouest.fr/gironde/bordeau ... 281468.php
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Re: L'orgue
Les Heures d'Orgue, comprenant concerts et mini-concerts, fleurissent au printemps et en été, il y a mille occasions d'aller écouter les instruments dans toute la France
!
Il y en a dans ma région en Haute-Savoie, à Annecy et au Grand-Bornand.
L'année prochaine j'aurai l'honneur d'y participer au Grand-Bornand, même si c'est pour un seul morceau ce sera déjà pour moi énorme
, le fruit d'un travail acharné, tout mon temps libre étant consacré désormais à l'orgue
.
https://www.musiqueorguequebec.ca/orgue ... ndnda.html

Il y en a dans ma région en Haute-Savoie, à Annecy et au Grand-Bornand.
L'année prochaine j'aurai l'honneur d'y participer au Grand-Bornand, même si c'est pour un seul morceau ce sera déjà pour moi énorme


https://www.musiqueorguequebec.ca/orgue ... ndnda.html
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