Je comprends ton point de vue même si je ne le partage pas. Pendant mon cursus d'ingénieur, sur un campus regroupant 7 écoles, je n'ai pas croisé une proportion d'asiatique extravagante par exemple, pas mal de magrébins par contre, à l'image des flux migratoire français quoi ceci dit ça remonte à 20 ans en arrière. Mais passons, nous ne nous mettrons pas d'accord là-dessus.blyssou a écrit : ven. 29 juil., 2022 18:12Ils finissent leurs études à l'étranger pour suivre l'adage "mieux vaut etre grand chez les petits, que petits chez les grands". Pour eux, obtenir une place en Europe est facile et stratégique car ils sont au dessus du lot. Et les écoles européennes les accueillent bras ouverts car c'est une stratégie pour elles de garder un certain niveau. Par ailleurs, une formation académique de haut niveau comprend souvent un passage international. Et mon point de vue ne se restreint pas à la musique. Ce schéma existe dans toutes les filières universitaires.
Est-ce que de ton côté tu es d'accord sur ça :
Si j'en reviens à mon cas perso, je bosse en direction financière d'un grand groupe bancaire, dans un environnement qui recrute à l'international et je croise peu d'asiatiques ou issus de l'immigration asiatique. Ils viennent juste finir leurs études en Europe et repartent "chez les grands" ensuite ?moi a écrit :je suis le seul à avoir le le sentiment qu'ils lâchent la barre assez rapidement ensuite ? Ou alors ils n'ambitionnent pas de carrière à l'international et se cantonnent à leur pays pour se produire ?
Des nos jeunes aujourd'hui certainement pas, de ceux qui parlent le plus fort sur les réseaux sociaux certainement.blyssou a écrit : ven. 29 juil., 2022 18:12Au même temps il faut être réaliste. La priorité de nos jeunes aujourd'hui, c'est de savoir de quelle couleur est la culotte de Kim Kardashian à 14h, et de retraduire le bescherelle dans une langue politiquement correcte.s.x. à 2a.m.
Et sinon on n'a pas abordé la méthode de travail au piano, j'ai le sentiment qu'ils mettent beaucoup plus d'heure que nous en moyenne dans un carcan où l'élève s'adapte à la méthode et au rythme, s'il ne craque pas.