Au programme, Schubert, Beethoven, Bach, et pour finir le fameux Andantino de la Sonate D959 de Schubert.
Joué sur un Bösendorfer, au son boisé caractéristique qui sied bien au programme.
Ce petit bonhomme rondouillard, à l'aspect fragile quand il fait face au public pour le saluer, est devenu une légende vivante.
Quelle science, quelle émotion, quel artiste

Que pensez-vous de Schiff avec Schubert et Beethoven, par rapport à d'autres noms prestigieux de pianistes vivants ?
Il y a quelque chose de Horowitz dans ses triple piano, il n'est jamais dans la froideur.
Hier soir j'ai passé une soirée délicieuse à regarder cette vidéo.