Ma combinaison : 16-12-19-18-22-3-5-10-23-8- et on entame les plus calmes : 14-17-11-1-21- et les carrément lents 15-7-2-6-4-13-9-20 et pour la fin le passionné, celui que je préférais, ado, le 24.
caminante, no hay camino, se hace camino al andar. Veritas odium parit, obsequium amicos
Oui, le 24 est magnifique. Pogorelich le joue très bien. Ce côté très passionné qui flambe de partout avec les grands traits qui semblent sortir de la brume de la main gauche.
je n'aime pas de combinaison particulière mais c'est vrai que le 16 em prélude en premier c'est un bon choix. Cela dit le 14 n'est pas particulièrement Dominique.
J'ai l'impression que mes préférés sont en général les pairs... Je crois d'ailleurs parce que c'est les tonalités mineurs... Par contre dans les impairs mes préférés sont le 1-19.
Ceux que je rêvais de jouer étaient les 1 8 et 14, je les écoutais en boucle...
J'ai travaillé le 20 il y a quelque temps. Pas fantastiquement génial à écouter, mais un trés bon exercice, il m'a permis de faire des progrés énormes.
egtegt a écrit :J'ai travaillé le 20 il y a quelque temps. Pas fantastiquement génial à écouter, mais un trés bon exercice, il m'a permis de faire des progrés énormes.
Les accords bien forts ils pètent trop
Quoique y'a une ou deux superbes nuances à faire...
"Gagner sa vie en jouant du Piano, c'est savoir compter sur ses doigts."
D. Cowl
Dans ces préludes comme dans d'autres oeuvres de Chopin, je regarde les indications de Koczalski. Pour le 1er, il indique le mouvement agitato et la dynamique mezzo forte sont erronés. Chopin, aurait voulu, d'après Mikuli, donner l'expression de ce morceau mais non le mouvement. Je le joue ainsi. J'aime bien aussi le premier de l'opus 45 (n°25). Il fait bien ressortir la palette sonore du piano.
Le tempo rubato est comme le vent jouant dans le feuillage d'un arbre dont les branches ne bougent pas.
Franz Liszt.
Je viens d'enregistrer le Premier Prélude de Chopin. (Je ne suis pas tout à fait les indications juste au-dessus). C'est sur le numérique : c'est samedi, je laiisse dormir tout le monde !
Le tempo rubato est comme le vent jouant dans le feuillage d'un arbre dont les branches ne bougent pas.
Franz Liszt.
Attention, tout ça reste un peu brouillon: agitato ne veut pas dire trop pressé!
Normalement, on doit quand même entendre toutes les notes, avec un accent et legato sur les 2 notes de la mélodie à chaque mesure (Sol-La)
Et-ce que tu as travaillé lentement et les doubles notes bien ensemble? (sinon c'est quand même un bon début)
J'avais l'intention de m'enregistrer jouer car c'est un des seuls morceaux que je garde constament dans mon répertoire sans avoir à le retravailler tout le temps (il faut dire, il ne fait qu'une page )
Je re-pourrais m'enregistrer bientôt je pense, ça dépend du travail d'apple store (pour la réparation); et je m'enregistrerais dans l'intro de la ballade comme je te l'avais promis (en + les vacs c'est pour bientôt)
Moi, pressé ? Mais je l'ai joué en 34 secondes et Jerzy Godziszewski le joue en 35 secondes. Mais tu as raison, Mac, tout cela reste à travailler , lentement (cela va sans dire), mais c'est cela qui me plait dans le piano : aller toujours plus loin, plus loin....
Le tempo rubato est comme le vent jouant dans le feuillage d'un arbre dont les branches ne bougent pas.
Franz Liszt.
J'ai enfin à réussi à mettre mes vidéos en ligne.
J'ai donc, entre deux variations Goldberg, réenregistré le 15ème Prélude de Chopin
et enregistré le 17ème.
Le tempo rubato est comme le vent jouant dans le feuillage d'un arbre dont les branches ne bougent pas.
Franz Liszt.
Ce matin, spontanément, j'ai joué le premier prélude de Chopin que je n'avais pas travaillé depuis des semaines.
L'enregistreur était prêt sur mon piano numérique et cela a donné ceci sans répétition.
(j'ai enlevé cet enregistrement depuis)
Le tempo rubato est comme le vent jouant dans le feuillage d'un arbre dont les branches ne bougent pas.
Franz Liszt.