Le son de ton piano, ma fois je le trouve plutôt bien, on a vu bien pire

Par contre, tu as toujours ce maudit parasite...
Merci beaucoup AndréAndré Quesne a écrit : dim. 27 mars, 2022 1:33 Salut quazart !
J'ai écouté ton Scherzo et Rondo final de la Sonate D845 de Schubert. Pour des versions de travail comme tu dis, je trouve que c'est déjà bien avancé.
C'est très agréable à écouter et je te dis bravoJe pense que même en jouant avec la partition cela a dû t'occasionner beaucoup de travail. L'articulation de ta MD est superbe et pourtant il me semble que tu as de gros doigs. On entend bien toutes les notes ce qui est essentiel. Je ne sais pas si j'étais plus courageux si je pourrais me hasarder dans cette sonate avec mon 3ème doigt MD qui bloque.
Je ne me suis toujours pas décidé à l'opération redoutant les risques. Je connais un kiné qui m'en a dissuadé mais ce n'est pas un spécialiste. En ce qui te concerne je crois que tu as franchi le pas ?
Encore bravo pour cet excellent travail !![]()
Merci beaucoup Rozennrzn a écrit : dim. 27 mars, 2022 10:15 Je trouve que tu as gagné en aisance et que ça s'entend drôlement : il me semble qu'il y a plus de liberté et de souffle. Je crois que c'est dans cette voie qu'il faut continuer à avancer. Après la 4ème ballade, c'est encore un travail de longue haleine dans lequel tu t'es lancé, un défi ambitieux que tu relèves avec beaucoup d'élégance! Merci de donner à voir ce cheminement !
J'imagine que tu dois jouer souvent avec le tiroir...quazart a écrit:
J'ai de grandes mains et les doigts qui font avec, pas toujours facile de les glisser entre deux touches noires...
Très heureux pour toi quazart !J'ai vite retrouvé l'usage normal de mon annulaire droit, j'ai recommencé à jouer 2 semaines après l'opération du ressaut. Franchement je ne suis pas déçu du tout !
Pas forcément, dans pas mal de configuration le doigt placé de biais arrive à passer tout juste...André Quesne a écrit : lun. 28 mars, 2022 1:10 J'imagine que tu dois jouer souvent avec le tiroir...![]()
J'ai été opéré par une chirurgienne spécialiste de la main/épaule/bras, à St Malo, Clinique de la Côté d'Emeraude. Je recommande !Très heureux pour toi quazart ! J'hésite car il n'y a pas de spécialiste de la main à proximité de chez moi. Ton opération s'est effectuée avec un chirurgien orthopédiste lambda ou un spécialiste de la main ?
C’est une version qui se tient bien, c’est fluide et expressif.quazart a écrit : lun. 20 juin, 2022 22:42 Après beaucoup d'hésitations, je publie une première "vraie" version de la 4è Ballade de Chopin.
Il y a toujours beaucoup de fautes, certains passages ne sonnent pas comme je le souhaite, mais j'ai tenté en enregistrement par coeur ce soir pour me préparer à une rencontre.
J'ai trouvé le résultat plutôt meilleur que ce que j'ai joué mercredi dernier en visio, alors le voici, à titre de jalon sans plus...
Je l'ai reprise juste avant mon stage de mai pour la montrer une nouvelle fois à Natalia, j'ai eu un peu de mal parce que je l'avais complètement lâchée depuis des mois... j'ai bien fait ! Travailler seul a ses limites...Ninoff a écrit : lun. 20 juin, 2022 23:05 Une bien belle version qui montre à quel point tu as bien fait de t’attarder sur cette œuvre.
C'est une oeuvre unique, à bien des égards, celle qui en effet me tient le plus à coeur. Je ne l'ai pas tant retravaillée depuis 2 mois, j'étais à fond dans Schubert et Schumann. Il faut simplement du temps pour mûrir, il va encore en falloir sans aucun doute.elenajalan a écrit : lun. 20 juin, 2022 23:29 On sent que c'est ton Everest à toi, ou ton Cap Horn, si je reprends la métaphore "balladeuse" de Marcel qui évoquait en la travaillant (sans la Coda à l'époque) la métaphore du Navire, avec ses écueils (la Coda) après ce faux calme blanc (le silence magistral et menaçant le précédant...) Cette nouvelle version est tout sauf ennuyeuse.Il y a encore quelques grains à essuyer, mais quel beau chemin parcouru ! J'admire ta ténacité. Vraiment !
Ca manque encore de maitrise ! Le tempo est effectivement un peu en dessous de ce que je veux faire, mon souci était de calmer le jeu par rapport à ce que j'avais joué quelques jours plus tôt et qui était trop nerveux. Il y a un juste équilibre à trouver... et à conserver.Oukee a écrit : mar. 21 juin, 2022 9:12 Ensuite, je trouve que tu précipites dans les passages accelerando : tu perds en précision et l’auditeur rate quelques belles harmonies : interdit de “perdre” quoi que ce soit dans ce morceau, mieux vaut prendre son temps dans un tempo général peut-être un peu plus rapide ?
Pour la coda, je crois qu’il faut se résigner à la prendre bien en dessous du tempo et à n’accélèrer que lorsqu’arrive le trait à la MG. J’aurai tendance à privilégier les crescendo indiqués pour les passages en tierce pour donner du sens à l’enchevêtrement sonore du début de la coda
Merci d'abord Carla de m'avoir tant incité à jouer par coeur, c'est juste indispensable pour bien vivre l'histoire !Carla Rocío a écrit : mar. 21 juin, 2022 10:07 Ta ballade non seulement raconte une histoire qui est cohérente dans l’ensemble, mais en plus cette histoire est bien vivante, et personnelle. Une alchimie entre ta vie, la vie, celle de Chopin, l’univers et la musique.
Tu as atteint ce point hors temps où tout prend une signification, cette dimension spéciale de la musique, thérapeutique, à laquelle peu on accès (cherche pas, je sais que tu le perçois pasmais tu la respires)
Les accrocs sont à emplacements et géométrie variableMarcel Patulacci a écrit : mar. 21 juin, 2022 10:27 Tu sais prendre le temps et faire respirer ce morceau ! Quelques petits accrocs, mais tu préserves le chant !
C'est ce point qui me fait le plus plaisir dans tous les commentaires reçus, c'est juste l'essentielfritz a écrit : mar. 21 juin, 2022 11:32 Pas de conseils spécifiques à te donner mais si on met de côté les petits couacs elle commence à avoir de la gueule cette ballade, tu nous racontes une belle histoire![]()