En ce jour date anniversaire de la naissance de W.A. Mozart (et je ne me permettrai pas les "Wolfie" et autres fariboles de Milos Forman, quoi de plus beau que de ré-ré-ré- écouter l'Andante du concerto pour piano n° 21, Daniel Barenboïm dirigeant du piano !
"It makes my day" comme diraient nos amis(?) anglo-saxons), et allez- je suis sympa, pour les non-pratiquants de cette langue" Ca embellit ma journée" !!!!!
Les aliens nous ont apporté la musique. Fox Mulder
Tatafanfan a écrit : jeu. 27 janv., 2022 9:04
En ce jour date anniversaire de la naissance de W.A. Mozart (et je ne me permettrai pas les "Wolfie" et autres fariboles de Milos Forman, quoi de plus beau que de ré-ré-ré- écouter l'Andante du concerto pour piano n° 21, Daniel Barenboïm dirigeant du piano !
"It makes my day" comme diraient nos amis(?) anglo-saxons), et allez- je suis sympa, pour les non-pratiquants de cette langue" Ca embellit ma journée" !!!!!
Tatafanfan a écrit : jeu. 27 janv., 2022 9:04"Wolfie" et autres fariboles de Milos Forman
J'avais eu un échange rapide sur le sujet sur le forum, pour rendre justice à Milos Forman il n'a fait que porter au cinéma une pièce de théâtre elle-même inspirée de Shaffer elle-même inspirée d'une pièce de Pouchkine. Et au-delà de ça, Forman n'a pas eu l'intention de porter à l'écran une biographie fidèle de Mozart même si c'est teinté d'éléments réels (son côté scatophile notamment).
Le personnage qui l'intéresse le plus dans le film est à mon avis celui de Salieri, amoureux de musique et limité par un esprit commun comparé à celui de Mozart. Pour accentuer ce contraste il prend la licence poétique d'accentuer le côté vulgaire et désinvolte de Mozart face au sérieux de Salieri dont la jalousie ne trouve de sortie qu'en tuant l'idole. Le thème de l'enfermement/oppression qu'il/elle soit physique et/ou psychologique est d'ailleurs un fil rouge de sa filmographie.
Tatafanfan a écrit : jeu. 27 janv., 2022 9:04"Wolfie" et autres fariboles de Milos Forman
J'avais eu un échange rapide sur le sujet sur le forum, pour rendre justice à Milos Forman il n'a fait que porter au cinéma une pièce de théâtre elle-même inspirée de Shaffer elle-même inspirée d'une pièce de Pouchkine. Et au-delà de ça, Forman n'a pas eu l'intention de porter à l'écran une biographie fidèle de Mozart même si c'est teinté d'éléments réels (son côté scatophile notamment).
Le personnage qui l'intéresse le plus dans le film est à mon avis celui de Salieri, amoureux de musique et limité par un esprit commun comparé à celui de Mozart. Pour accentuer ce contraste il prend la licence poétique d'accentuer le côté vulgaire et désinvolte de Mozart face au sérieux de Salieri dont la jalousie ne trouve de sortie qu'en tuant l'idole. Le thème de l'enfermement/oppression qu'il/elle soit physique et/ou psychologique est d'ailleurs un fil rouge de sa filmographie.
En tant que psy (ex maintenant) j’avais parfaitement compris tout ça mais il se trouve que c’est Mozart et sa musique qui m’intéressent, me touchent profondément et quant à Mozart lui-même, la lecture de son immense correspondance nous en apprend plus sur l’être que ce que d’autres veulent dire à sa place !
Les aliens nous ont apporté la musique. Fox Mulder