Cela correspond souvent aux temps forts, par définition ces derniers mettent en avant les notes importantes, par opposition aux temps faibles et/ou aux notes de passage.
Les accents peuvent aussi, bien entendu, être en syncopes ou en contretemps.
Le tout lié aux dynamiques dont l'interprète doit toujours tenir compte.
La
mélodie est au départ donnée pour la
voix, et l'interprète doit en effet toujours avoir à l'esprit, au piano comme au violon ou à la flûte ou avec un quelconque instrument, que la référence doit être la
voix, ce qui implique notes accentuées, dynamiques, et respirations, et c'est ce qui donne vie à l'instrument et à la musique produite, notion essentielle dans l'interprétation.
Comme je le dis souvent à mes élèves,
il ne faut pas jouer du piano au piano 
, il faut que ça chante, que ça parle, et donc que ça vive.