Ou alors, c'est le même phénomène d'assimilation qui amène les gens à parler de "frigidaire" (au lieu de réfrigérateur), de "mp3" (pour parler d'un fichier), et bien sûr de l'ubiquitaire "carte bleue" (au lieu de "carte bancaire" alias CB) ...
Donc, "Yamaha" au lieu de piano...
Oui, j'avais vu cette annonce.
Pour un piano qui a connu Chopin, il est bien conservé !
Bizarrement, plus personne depuis Debussy n'a touché ce piano !
Extraordinaire ! Et dire que j'ai eu le même, enfin presque, le mien était en finition merisier. mais je n'ai jamais croisé Frédéric ou Claude dans mon salon.......
ET SI NOUS VALIONS MIEUX QUE LE BONHEUR ? - Franz Liszt.
Eh bien moi, à l'époque, j'avais bien essayé ce modèle, et tombais tout de suite amoureux avec Frédéric. C'était un amour énorme pour lequel j'avais décidé de prendre son modèle demi queue P-190 sans aucun regret. Vive Frédéric!
Je n'ai pas gardé le P118 droit longtemps. Il est devenu clinquant, avec un son bien trop agressif et une mécanique lourde. Pas une réussite..... Mais c'est vrai que les pianos à queue étaient largement meilleurs.
ET SI NOUS VALIONS MIEUX QUE LE BONHEUR ? - Franz Liszt.
Le piano Chopin de l’annonce perlée n’est pas un P-118 mais un P-124, une grande réussite. Il est très beau, surtout ceux en finitions bois marquetés (noyer, merisier)
J'avais fait le même constat avec le P124..... Pianos "agressif" en dépit d'harmonisations successives par un bon technicien, en particulier au niveau des médiums, mais surtout des aigus fatigants ! Rien à voir avec les vrais Pleyel.
ET SI NOUS VALIONS MIEUX QUE LE BONHEUR ? - Franz Liszt.