tblb a écrit : jeu. 15 août, 2019 14:02
On est dans un dialogue de sourd , je pense qu’on ne parle pas de la même chose quand on parle de la MAO.
Pour moi la MAO , c’est comme la CAO, c’est un ensemble d’outils et ça s’arrête là, ça ne remplace personne.
En effet, j'ai modifié mon message en terminant par :
Alors si tout enregistrement est un traitement du son, oui, je suis d'accord, si vous tenez à parler de MAO pour un enregistrement, je veux bien mais c'est limite, pour moi la MAO c'est surtout de la séquence.
Par ailleurs, j'entends des enregistrements analogiques qui sont vraiment nickels, même anciens, c'est quelques fois surprenant.
Un truc que j’ai remarqué c’est la compression au fils des années qu’est ce que la dynamique a baissé !! Avant ils n’ Y allait pas aussi fort sur le compresseur je trouve.
tblb a écrit : jeu. 15 août, 2019 14:22
Un truc que j’ai remarqué c’est la compression au fils des années qu’est ce que la dynamique a baissé !! Avant ils n’ Y allait pas aussi fort sur le compresseur je trouve.
Tu parles d'enregistrements de piano en particulier ? D'orchestre ?
Parce qu'en effet c'est dans la musique classique que les dynamiques sont le plus étendues (du pianissimo au fortissimo), et donc c'est très sensible à la compression, logique !
Même ce qui est pop, mais le plus flagrant c’est la musique classique oui, et bien au fil du temps ça devient de plus en plus plat comme si la norme. ‘Etait De jouer du compresseur .
Cela doit dépendre de l'ingénieur du son, en tout cas je remarque la compression à la radio plus que dans les CD, avec surtout l'effet des limiteurs qui est flagrant !
Avec les mp3 on peut confondre compression et limite des fréquences dans les aigus.
Jacques Béziat a écrit :
Justement, je n'y crois pas.
Un sample n'est qu'un petit et pauvre échantillon (!) de la réalité.
Les instruments virtuels enregistrent de nos jour typiquement chaque notes du début à la fin pour une dizaine de nuances minimum. (Voire 60 à 100 chez VSL)
On est loin d’un petit échantillons comme on a dans les pianos numériques (encore de nos jours). Ou comme en MAO du temps des PC avec 64Mo de mémoire.
Les résonances sympathiques pédales forte enfoncées sont parfois enregistrées séparément. Reste les résonances sympathiques entre notes des accords où c’est plus délicat (modélisation plus ou moins réussie).
On en a des tonnes d'exemple : écoute un vrai orgue dans une église, et compare avec les orgues numériques même de dernière génération, grave la chute !
Je veux bien le croire, mais les orgues d’église se caractérisent par une présence dans les grave que peu de caisson de basses peuvent produire. Est-ce un problème de passage au numérique ? Ou de transducteurs ? (NB : Je ne connais pas trop le domaine, comment se compare ces orgues numériques avec Hauptwerk qui est la référence sur PC).