Je vous laisse imaginer combien cela me fait plaisir !
On se cultive donc à la maison, à notre rythme, grâce aux enregistrement de pièces complètes que l'on peut trouver sur YouTube.
Comme il n'est pas toujours évident d'avoir l'idée d'une œuvre à regarder, ou de trouver un enregistrement qui convient, je rassemble ici les liens pertinents, c'est à dire :
Œuvre complète, qualité vidéo et son correcte, sous-titrage en français (même si l'œuvre est elle-même en français), à la rigueur en anglais.
J'espère que ce sujet intéressera d'autres personnes, auquel cas je rassemblerai tous les liens suggérés, par compositeur, dans le premier message.
Bizet
Carmen Opera de Paris Bastille
Moussorgsky
Boris Godounov Salzburg, 1998, orchestre philharmonique de Berlin
Mozart
La flûte enchantée opera royal de Wallonie
Offenbach
La belle Hélène Paris, Théâtre du Châtelet, 2000, dirigé par Marc Minkowski et dans le rôle titre Félicity Lott
Les brigands diffusé sur France 2 en décembre 2014
La grande duchesse du Gerolstein 2004, dirigé par Marc Minkowski et dans le rôle titre Félicity Lott
Orphée aux Enfers
Festival d'Aix-en-Provence 2009, le lien pointe vers une première partie, les trois suivantes sont à suivre dans YouTube. Non sous-titré mais bien compréhensible.
Tchaïkovsky
La dame de pique Bolshoï, 1983, sous-titré en anglais
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Autres idées
Purcell The King Arthur
Tchaïkovski Anna Karenine
Tatafanfan a écrit : ↑jeu. 19 avr., 2018 8:44 Anna Karénine ! Musique Piotr Ilytch Tchaikovsky, Nous ne sommes plus dans un spectacle de danse mais dans un véritable opéra. Un opéra sans paroles mais dont les attitudes, les regards racontent plus que des mots. Voir Alexis Karénine molester Anna, exercer son autorité « patrimoniale », comme ressentir la douleur d’Anna lorsqu’on la sépare de son fils, la voir malade telle une Traviata agonisante, surprendre son regard halluciné au moment de marcher vers la mort. Longtemps on se souviendra de l’émotion bouleversante de ce geste d’Anna, le bras lancé en avant, la main levée pour refuser le retour de son amant, puis alors qu’il s’éloigne, voir cette même main s’infléchir comme pour un ultime adieu.