D'accord avec cela, quand il s'agit d'une transcription d'un autre instrument vers le piano, ou de la voix vers le piano.jean-séb a écrit : ven. 08 juin, 2018 14:59Et je l'explique par le caractère abstrait et architectural de sa musique qui ne se soucie finalement pas du medium choisi pour la jouer.
Mais ca n'explique pas le pourquoi des transcriptions de pièces déjà faites pour des claviers (à cordes frappées, je ne parle pas de l'orgue qui rentre pour moi dans le 1er cas) vers des claviers, puisqu'on peut les jouer tels quels sur la partition d'origine, dès le départ? Comme dans le cas du Dubé, ou du Siloti (prélude en si bémol), ou d'autres. Ce n'est plus vraiment le même objectif il me semble. Dans un cas c'est effectivement la transcription sur un autre médium, tout pour rendre la pièce accessible à ceux qui pratiquent ces autres instruments, mais dans le second cas, c'est une sorte d'adaptation dont je ne m'explique pas le vraiment le propos. Si ce n'est, pour le cas de Dubé, de démontrer une prouesse technique. Moins celle de l'interprète que celle du transcripteur/adaptateur.