
Quelle tristesse

C'est de ce fait à l'opposé de mon ressenti sur mon lieu de travail, mais c'est un lieu particulier certes.Abegg63 a écrit :Je ne sais pas si on vous l'a déjà dit mais le classique "c'est de la musique de bouffon" paraît!il
Je n'ai pas écouté cette interview, mais effectivement si l'objectif était de se mettre en valeur en citant du répertoire, le résultat est plutôt malheureuxludoain01 a écrit :@julien84: non pour moi l'erreur n'est pas acceptable, que ce soit pour la musique classique ou tout autre domaine, le fait d'être amateur ou non n'excuse rien.
Sinon 2+2 font 5 et tu pourras toujours dire que seul les "matheux" se rendront compte de l'erreur et qu'importe pour les autres...
Après tout, on ne l'a pas obligé (hanouna) à en parler, alors s'il veut se rendre intéressant autant le faire correctement.
C'est une erreur un peu plus excusable...Il a confondu avec les Schumann. Mais évidemment , si le but de Nelson Monfort était d'étaler sa brillante culture...chantal313 a écrit :J’ai bien entendu un jour, sur Radio Classique, ce puits de culture (ou d’inculture) qu’est Nelson Monfort parler de la femme de Mendelssohn… Fanny !
Malheureusement, il n’y avait pas de journaliste en face de lui. C’était une émission (qui a disparu depuis) du samedi matin, au cours de laquelle Monsieur Monfort faisait étalage de sa vaste culture musicale (acquise sans doute lors de ses reportages sur le patinage artistique). Là toute l’émission (1 heure) était consacrée à la vie et à l’œuvre de Mendelssohn. S’il avait tant soit peu « préparé » son émission, il n’aurait pas confondu Fanny avec l’épouse de Mendelssohn. L’erreur n’est pas excusable.Arabesque44 a écrit : Le journaliste de Classique a-t-il rectifié au moins? A-t-il osé reprendre Nelson?
L'erreur n'a rien de choquant : on peut se tromper, ou être inculte dans tel ou tel domaine, il n'y a pas de mal à ça.Julien84 a écrit :Je ne vois rien de choquant pour ma part dans l'erreur d'Hanouna, en tout cas tel que tu la relates ludoain01. J'ai dans ma famille quelqu'un de très attaché à cette culture faite de références, de grandes dates, de chef-d'oeuvres "obligatoires" pour ce qui concerne le domaine de la musique classique, cités avec une admiration de pure conformisme, et qui n'écoutera pas de lui-même les dites oeuvres. C'est un rapport à la culture qui me laisse de marbre.
Et puis beaucoup de gens ressentent un respect intimidé pour la musique classique, certains de mes collègues de travail par exemple, et pointer du doigt ces erreurs d'attribution ne sert pas notre cause de mélomanes, à mon avis
C'est de ce fait à l'opposé de mon ressenti sur mon lieu de travail, mais c'est un lieu particulier certes.Abegg63 a écrit :Je ne sais pas si on vous l'a déjà dit mais le classique "c'est de la musique de bouffon" paraît!il
Quoi de plus banal que de préférer des morceaux que l'on connait (et apprécie) à des morceaux que l'on entend pour la 1ère fois ?Abegg63 a écrit :Vous est§il déjà arrivé d'assister à un concert où il y avait des oeuvres connues mélangées à des oeuvres moins connues? Vous remarquerez comme cela s'est produit plusieurs fois pour moi que à la sortie on entend des réflexions du genre : "j'ai mieux aimé la deuxième partie" évidemment c'était des oeuvre de CHOPIN que tout le monde a entendu au moins une fois alors que la première partie était constituée de pièces moins grand public.
Vous pouvez faire pareil avec votre bibliothèque, il existe tellement de mauvais livres...chris76 a écrit :Vous avez la télé ? Et vous regardez ; c'est de votre choix et de votre responsabilité.
J'ai balancé tout çà il y a quelque temps, et çà ne me gène pas outre mesure. A vous de jouer...
Un grand classique, avec une variante: "la culture, c'est comme un parachute, quand on n'en a pas, on s'écrase", mais je suis aussi d'un naturel indulgent, tout dépend d'où ça vient et comment ça vient. Venant d'un cuistre infatué comme Julien Lepers, c'est insupportable. Hanouna ne prétend être qu'un amuseur, à ma connaissance. Errare humanum est.Julien84 a écrit : Ça me fait penser à cette expression: la culture c'est comme la confiture, moins on en a plus on l'étale. Je suis d'un naturel indulgent, et je ne la reprends pas à mon compte, mais elle est ici appropriée.