Empan idéal
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Re: Empan idéal
Alors pour Paganini, les sources, toutes deux en anglais:
- http://inmozartsfootsteps.com/1032/paga ... -syndrome/
- http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1071620/ (soit Marfan ou Ehlers-Danlos syndrome)
Le syndrome d'Ehlers-Danlos connait 6 déclinaisons dont celle-ci: type arthro-chalasique . C'est une maladie génétique humaine rare provoquant une hyper mobilité des articulations et des luxations et subluxations répétitives. Ce qui pourrait convenir au cas "Rachmaninoff" (qui se plaignait souvent de douleurs aigües et chroniques aux mains). Je n'ai pas connaissance de tels douleurs chez Paganini.
- http://inmozartsfootsteps.com/1032/paga ... -syndrome/
- http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1071620/ (soit Marfan ou Ehlers-Danlos syndrome)
Le syndrome d'Ehlers-Danlos connait 6 déclinaisons dont celle-ci: type arthro-chalasique . C'est une maladie génétique humaine rare provoquant une hyper mobilité des articulations et des luxations et subluxations répétitives. Ce qui pourrait convenir au cas "Rachmaninoff" (qui se plaignait souvent de douleurs aigües et chroniques aux mains). Je n'ai pas connaissance de tels douleurs chez Paganini.
Modifié en dernier par Kreisler le lun. 03 août, 2015 18:17, modifié 1 fois.
Re: Empan idéal
D'après ces articles, on reste sur de l'hypothèse
(en même temps je ne vois pas comment il pourrait en être autrement).
On ne peut que spéculer d'après ce que l'on sait de la vie de ces compositeurs et des anecdotes rapportées sur eux.

On ne peut que spéculer d'après ce que l'on sait de la vie de ces compositeurs et des anecdotes rapportées sur eux.
Re: Empan idéal
Il me semble que Rachmaninoff était un adepte de Hanon, ça explique ses douleurs. 

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Re: Empan idéal
"Hanon" le mot trollesque est lâché, ce que craignait à juste titre Okay
Alors si Rachmaninoff avait des douleurs à cause du Hanon, c'est un Hanon transposé dans les 23 autres tonalités, avec rythmes différents et staccato, accents. D'ailleurs, juste comme ça, je m'amuse en ce moment avec le 1er exo d'Hanon en ut dièse majeur. C sympa de rencontrer des touches noires (enfin!) et finalement c'est pas si mal que ça
TROLL éteint ----- retour au sujet initial ----- Empan idéal

Alors si Rachmaninoff avait des douleurs à cause du Hanon, c'est un Hanon transposé dans les 23 autres tonalités, avec rythmes différents et staccato, accents. D'ailleurs, juste comme ça, je m'amuse en ce moment avec le 1er exo d'Hanon en ut dièse majeur. C sympa de rencontrer des touches noires (enfin!) et finalement c'est pas si mal que ça

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Re: Empan idéal
A propos d'Alicia, je me suis amusé à déchiffrer Eritana, je crois que c'est la première fois que je vois des accords de grande 10e à jouer en piqué
Je n'ai pas écouté comment la madame les négociait mais le mystère reste entier

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Re: Empan idéal
Sauf erreur le Hanon precinise dès l'introduction de travailler tous les exercices ds toutes les tonalites.Kreisler a écrit :"Hanon" le mot trollesque est lâché, ce que craignait à juste titre Okay![]()
Alors si Rachmaninoff avait des douleurs à cause du Hanon, c'est un Hanon transposé dans les 23 autres tonalités, avec rythmes différents et staccato, accents. D'ailleurs, juste comme ça, je m'amuse en ce moment avec le 1er exo d'Hanon en ut dièse majeur. C sympa de rencontrer des touches noires (enfin!) et finalement c'est pas si mal que ça![]()
TROLL éteint ----- retour au sujet initial ----- Empan idéal
Le boeuf est lent mais la terre est patiente ... (Proverbe Chinois)
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Re: Empan idéal
Pas vu ! ... http://imslp.org/wiki/The_Virtuoso_Pian ... s-Louis%29 (évidemment, les pages sur les gammes, 50 et plus présentent toutes les tonalités)Wladyslaw a écrit :Sauf erreur le Hanon precinise dès l'introduction de travailler tous les exercices ds toutes les tonalites.
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Re: Empan idéal
en tous cas on ma toujours dit qu'il fallait bosser dans toutes les tonalités voir deux tonalités différentes à chacune des mains, et en rythmes
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Re: Empan idéal
Je ne me souviens pas qu'il soit évoqué quelque part de jouer tous les exercices dans tous les tons (grand Dieu...), par contre je me souviens d'un petit paragraphe, tout à la fin, après le dernier exercice, disant qu'il fallait jouer le volume entier chaque jour, et apparemment ça se fait en une heure.
Mais effectivement, faire des rythmes ou quelques autres tonalités sur deux ou trois exercices chaque jour, ça peut être bien.
Tout dépend de la personne qui travaille (ce n'est pas une manière de travailler qui convient à tout le monde), de comment elle le travaille, d'où elle est en dans son apprentissage, de quels sont ses objectifs avec ce travail etc...
Selon ces critères, Hanon peut, ou ne peut pas, être la réponse.
Mais effectivement, faire des rythmes ou quelques autres tonalités sur deux ou trois exercices chaque jour, ça peut être bien.
Tout dépend de la personne qui travaille (ce n'est pas une manière de travailler qui convient à tout le monde), de comment elle le travaille, d'où elle est en dans son apprentissage, de quels sont ses objectifs avec ce travail etc...
Selon ces critères, Hanon peut, ou ne peut pas, être la réponse.
Re: Empan idéal
Ho ouiiiiiiii, une discussion sur le Hanoooon ! 

La différence entre un fou et moi, c'est que je ne suis pas fou. Salvador Dali.
Re: Empan idéal
C'est gentil, ça aide ceux qui ont du mal à déconnecter pendant les vacances d'enfin couper en toute tranquilité. 

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Re: Empan idéal
Georges Cziffra avait, lui aussi, de grandes mains. Son ami Adolphe Böhm
prend une leçon de piano. Il joue le troisième nocturne des Rêves d’Amour, de
Franz Liszt. Böhm et Cziffra sont chacun devant un piano :m
Nous jouons ensemble les deux premières pages du nocturne. Si vous
saviez comme cela est grisant de jouer à deux pianos avec Gyorgy
Cziffra ! Vous avez l’impression qu’il vous passe un peu de son génie en
vous enlevant beaucoup de votre médiocrité.
S’arrêtant tout à coup, il me demande :
« Êtes-vous obligé d’arpéger l’accord de la main gauche, mi-bécarre –
sol-dièse ; ne vous est-il pas possible de le plaquer ? »
À sa question, je réponds par une autre :
« Voudriez-vous dire que vous le plaquez, vous ? »
« Évidemment ! » (Böhm, 1995 : 146-147)
Arpéger l’accord, c’est jouer une note après l’autre : le mi-bécarre d’abord, le
sol-dièse à la dixième majeure ascendante tout de suite après, avec un jeu de
pédale qui permet à la corde de mi de continuer à vibrer alors que le doigt a
déjà quitté la touche. Ce que fait Adolphe Böhm. Mais Cziffra, lui, n’a pas
besoin d’arpéger : il plaque l’accord de main gauche, ce qui veut dire que, de sa
main gauche, il joue les deux notes simultanément. Entre elles : une distance
de vingt-trois centimètres et demi avec une torsion du poignet du côté de
l’auriculaire qui appuie une touche blanche alors que le pouce est sur une
touche noire, ce qui complique la tâche4 et force l’admiration : nul doute que
les mains de Cziffra sont à ranger du côté de ces mains « d’une conformation
exceptionnelle, rarissime, faites pour la pratique intense du clavier », dont
parlait plus haut Heinrich Neuhaus.
Lisons cet autre témoignage dévotionnel d’Adolphe Böhm, qui voit Cziffra
répéter le Scherzo en si bémol mineur op. 31 de Chopin juste avant son
concert :
Ce Scherzo, une des œuvres les plus jouées de Chopin, se termine par
une redoutable appogiature : il s’agit en l’occurrence d’un accord arpégé
à la main droite, écrit en petites notes, sorte de tremplin pour la note
finale située une dixième au-dessus. Cette note finale est un « fa » dont
l’exécution percutante doit suivre immédiatement l’accord arpégé
précédent. Or, aucune main humaine n’étant assez grande pour atteindre
ce « fa » à la vitesse demandée, aucun pianiste à ce jour, n’a voulu
prendre le risque de le rater et chacun prend plus ou moins son temps
afin d’éviter la fausse note. À l’exception naturellement de Cziffra qui,
non seulement sur son enregistrement, mais aussi en public, a l’insigne
témérité de prendre sur lui un risque d’accrochage quasi total. (Il faudra
attendre l’arrivée du jeune pianiste prodigieux Cyprien Katsaris pour
réaliser le même exploit) (Böhm, 1995 : 90).
prend une leçon de piano. Il joue le troisième nocturne des Rêves d’Amour, de
Franz Liszt. Böhm et Cziffra sont chacun devant un piano :m
Nous jouons ensemble les deux premières pages du nocturne. Si vous
saviez comme cela est grisant de jouer à deux pianos avec Gyorgy
Cziffra ! Vous avez l’impression qu’il vous passe un peu de son génie en
vous enlevant beaucoup de votre médiocrité.
S’arrêtant tout à coup, il me demande :
« Êtes-vous obligé d’arpéger l’accord de la main gauche, mi-bécarre –
sol-dièse ; ne vous est-il pas possible de le plaquer ? »
À sa question, je réponds par une autre :
« Voudriez-vous dire que vous le plaquez, vous ? »
« Évidemment ! » (Böhm, 1995 : 146-147)
Arpéger l’accord, c’est jouer une note après l’autre : le mi-bécarre d’abord, le
sol-dièse à la dixième majeure ascendante tout de suite après, avec un jeu de
pédale qui permet à la corde de mi de continuer à vibrer alors que le doigt a
déjà quitté la touche. Ce que fait Adolphe Böhm. Mais Cziffra, lui, n’a pas
besoin d’arpéger : il plaque l’accord de main gauche, ce qui veut dire que, de sa
main gauche, il joue les deux notes simultanément. Entre elles : une distance
de vingt-trois centimètres et demi avec une torsion du poignet du côté de
l’auriculaire qui appuie une touche blanche alors que le pouce est sur une
touche noire, ce qui complique la tâche4 et force l’admiration : nul doute que
les mains de Cziffra sont à ranger du côté de ces mains « d’une conformation
exceptionnelle, rarissime, faites pour la pratique intense du clavier », dont
parlait plus haut Heinrich Neuhaus.
Lisons cet autre témoignage dévotionnel d’Adolphe Böhm, qui voit Cziffra
répéter le Scherzo en si bémol mineur op. 31 de Chopin juste avant son
concert :
Ce Scherzo, une des œuvres les plus jouées de Chopin, se termine par
une redoutable appogiature : il s’agit en l’occurrence d’un accord arpégé
à la main droite, écrit en petites notes, sorte de tremplin pour la note
finale située une dixième au-dessus. Cette note finale est un « fa » dont
l’exécution percutante doit suivre immédiatement l’accord arpégé
précédent. Or, aucune main humaine n’étant assez grande pour atteindre
ce « fa » à la vitesse demandée, aucun pianiste à ce jour, n’a voulu
prendre le risque de le rater et chacun prend plus ou moins son temps
afin d’éviter la fausse note. À l’exception naturellement de Cziffra qui,
non seulement sur son enregistrement, mais aussi en public, a l’insigne
témérité de prendre sur lui un risque d’accrochage quasi total. (Il faudra
attendre l’arrivée du jeune pianiste prodigieux Cyprien Katsaris pour
réaliser le même exploit) (Böhm, 1995 : 90).
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Re: Empan idéal
Très intéressant. En effet Cziffra avait de grandes mains et était un "spécialiste" de la prise de risque, il faut voir son Grand galop chromatique.
Par contre sur le 2ème Scherzo de Chopin, il me semble que c'est la MG qui est arpégée non ? Et sur la 10ème, j'ai remarqué que d'autres pianistes prennent l'accord une octave en dessous, soit un saut de 18ème ! Il est bien sûr plus difficile alors de le jouer rapidement.
Sur différentes éditions, l'accord MD apparaît en bas ou en haut, mais dans le premier cas j'ai du mal à voir si l'8va s'y applique. Mais ça nous fait sortir de la question de l'empan.
Par contre sur le 2ème Scherzo de Chopin, il me semble que c'est la MG qui est arpégée non ? Et sur la 10ème, j'ai remarqué que d'autres pianistes prennent l'accord une octave en dessous, soit un saut de 18ème ! Il est bien sûr plus difficile alors de le jouer rapidement.
Sur différentes éditions, l'accord MD apparaît en bas ou en haut, mais dans le premier cas j'ai du mal à voir si l'8va s'y applique. Mais ça nous fait sortir de la question de l'empan.
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Re: Empan idéal
Ca y est : tous les problêmes sont résolus
Plus besoin d'arpéger ........ et les clusters je vous dis pas !
https://www.youtube.com/watch?v=0XgIZSu ... re=related
Plus besoin d'arpéger ........ et les clusters je vous dis pas !

https://www.youtube.com/watch?v=0XgIZSu ... re=related
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Re: Empan idéal
Déplaçons la discussion donc.Arabesque44 a écrit :Evidemment la main ne grandit plus, mais elle s'assouplit, en particulier au niveau de l'articulation du pouce, ce qui élargit l'empan ( j'atteins maintenant un "petit" 22 cm des 2 côtés, Il me semble que j'étais avant à 21cm à D et 21.5 à G, la différence entre les 2 mains a donc pratiquement disparu)Jouishy a écrit :Je me permets un certain scepticisme... mais peut-être. ^^
J'expliquerais bien cette différence entre MD et MG par le fait qu'un droitier non pianiste fait travailler sa MD d'une façon qui raccourcit les muscles et réduit la souplesse. Avec le travail au piano( sans chercher particulièrement à "tirer" sur les doigts en ce qui me concerne! Pas de torture surtout!) cette différence s'atténue en douceur.
Progrès aussi sur l'écart des 3 doigts médians qui me facilitent les accords, notes tenues etc...
Nous sommes HS, autant revenir sur ce fil Empan idéal
Et sur celui-ci, ou l'inégalité MD/MG a déjà été abordée
( mon expérience rejoint plutôt l'hypothèse de Oupsi que celle d'Okay)

Je n'avais jamais pensé à mesurer tient!
Et bien, du coup, je fais 19 cm avec les deux mains. Si je m'aide de la gravité (en mettant ma main dessus et en appuyant sur la règle pour que les doigts glissent doucement), je monte à 20 cm des deux mains. Donc quand même un peu en-dessous de toi.
Enfin, on verra bien si je finis par arriver à plaquer des neuvièmes. Pour l'instant, je les joue en sortant du clavier, mais j'arrive à bien enchaîner (faut dire, sur une pièce lente comme l'est le premier mouvement de la moonlight sonata, c'est plus facile). Je pense surtout au passage «la+fa# - si - ré# - la+si - si - ré# - sol#+mi ...». Je suis même étonnée d'arriver à appliquer la même technique avec une neuvième de touche noire (fa#+sol#), en sortant sur le bord des touches noires, sans accrocher les touches blanches (je reste par-dessus).
Mon parcours musical, du jour 1 (février 2016), avec ses hauts et ses bas. ;)
Re: Empan idéal
Au cas où tu n'as pas vu les messages récent sur un autre fil :
viewtopic.php?f=1&t=15523&start=20#p296357
(Je n'ai aucune idée de mes mesures, je rêve juste pouvoir un jour plaquer les dixièmes.)
viewtopic.php?f=1&t=15523&start=20#p296357
(Je n'ai aucune idée de mes mesures, je rêve juste pouvoir un jour plaquer les dixièmes.)
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- Christof
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Re: Empan idéal
Je connais un exercice pour cela (enfin pas un il faut aussi pratiquer d'autres choses). Mais pas à expliquer comme ça... Je te le montrerai le 9 octobre, car il faut faire très très très attention avec ça...Lee a écrit :(Je n'ai aucune idée de mes mesures, je rêve juste pouvoir un jour plaquer les dixièmes.)
Re: Empan idéal
Merci Christof, j'aimerais bien. Peut-être qu'on peut faire un petit vidéo pour Jouishy et d'autres absents...?
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Re: Empan idéal
J'ai lu après je crois. Mais comme le sujet était sur une méthode particulière et que mon sujet était plus spécifique, j'ai préféré remonter ce fil (datant de cet hiver, ce n'était pas trop de la nécromancie de sujetLee a écrit :Au cas où tu n'as pas vu les messages récent sur un autre fil :
viewtopic.php?f=1&t=15523&start=20#p296357
(Je n'ai aucune idée de mes mesures, je rêve juste pouvoir un jour plaquer les dixièmes.)

Pour ce qui est de plaquer des intervalles, j'ai besoin des neuvièmes avant les dixièmes.

Comme quoi, on rêve toujours de faire le petit plus encore inatteignable. T_T
Mon parcours musical, du jour 1 (février 2016), avec ses hauts et ses bas. ;)
Re: Empan idéal
Arrêtez avec vos histoires d'empan,
Je ne parle pas de la gauche qui est passée au programme 90° essorage à 8000 tours minute et a un peu rétréci mais de la droite qui, elle, fait facile la 11e*

Et ça ne fait pas de moi un pianiste
* un carambar à celui qui trouve l'erreur
Je ne parle pas de la gauche qui est passée au programme 90° essorage à 8000 tours minute et a un peu rétréci mais de la droite qui, elle, fait facile la 11e*


Et ça ne fait pas de moi un pianiste

* un carambar à celui qui trouve l'erreur
"Vivi felice" Domenico Scarlatti,