Cétait une après midi de détente, pas un rodage de programme!

PS: bien evidemment, il est toujours tentant de voir nos grands amateurs, davsad et consorts, nous preparer et nous jouer des morceaux virtuoses


Je constate depuis quelques temps (sur plusieurs fils) que certains prénoms apparaissent de plus en plus souvent en clair... Est-ce bien souhaité ? Mais sans doute t'es-tu laissée emporter par un enthousiasme totalement justifié à l'écoute d'Oupsi...strumpf a écrit :![]()
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Xxxxxx !
J'adore !!!! Je vais réécouter !
J'ai rien compris dans tout cet histoire, je l'ai vu plutôt comme un encouragement d'aller plus loin, voilà aussi la différence entre une maman qui est admirable (Caralire) ou mauvaise (moi).Wandarnok a écrit :je trouve completement hors-sujet d'adresser des "critiques" à Davsad
Par ma part, ici, j'ai copié un texte avec les prénoms, et en copiant j'ai loupé remplacer quelques pseudos.mieuvotar a écrit :Je constate depuis quelques temps (sur plusieurs fils) que certains prénoms apparaissent de plus en plus souvent en clair... Est-ce bien souhaité ?
Je crois qu'il transparaît des différences radicales de conceptions de la musique au piano, du travail et de la facillité/difficulté en général, qu'il aurait été intéressant d'explorer, mais tant pis, n'allons pas plus loin.Okay a écrit :Blue, je ne dis pas que tu fais exprès de ne pas comprendre ce qu'aurait souhaité Caralire, mais sans rien enlever à ce qu'a fait Davsad dans cette pièce, ce qu'elle exprime peut se légitimer. Il y avait très peu de notes dans cette Sarabande, c'est une pièce extrêmement minimaliste et Davsad y a réalisé l'air de rien un petit tour de force de créativité, car c'est typiquement le genre de pièce qui peut vite devenir interminable, et samedi je crois qu'on était tous suspendus à chaque note.
Ceci étant dit, on sait aussi tous que Davsad sait faire bien d'autres choses avec un piano. Et on peut avoir envie de l'entendre dans de la musique plus charnue, qui tire parti des ressources de l'instrument, ce que la musique de Bach ne parvient à faire de manière que parcellaire, puisqu'elle n'a de toute façon pas été composée sur un piano.
Ne crois pas non plus que cela m'avait échappé à l'auditiondavsad a écrit : Simplement elle s'est bien rendu compte que la sarabande que j'ai joué n'était pas travaillée à la manière du programme que j'avais joué au concours l'année dernière. Si j'avais vraiment préparé, j'aurais joué toute la suite et non seulement la sarabande qui comme par hasard est la pièce la plus simple techniquement de la suite, la plus lente etc.
BluePhoenix05 a écrit :Mais tu as su déceler un certain manque de travail
Certains ne se rendent pas compte qu'on ne dispose pas tous des conditions qui permettraient de fournir le travail tel qu'on aimerait pouvoir être en mesure de fournir.Wandarnok a écrit :Avec un peu de recul je trouve completement hors-sujet d'adresser des "critiques" à Davsad, voire même de simples remarques sur ses choix, aussi bien de type d'intrerpretation que du fait de jouer "à la cool" un morceau non travaillé à mort.
Alors là Lee tu me déçois. Après toutes tes tirades sur le rôle de la femme voilà que tu te situes en tant que maman! Celle de Davsad?Lee a écrit :voilà aussi la différence entre une maman qui est admirable (Caralire) ou mauvaise (moi).
Red Rose Rendez vous de Martha Mier, dans Jazz, Rags & Blues, chez Alberta, volume 2.chris76 a écrit :La partition est tirée de quel livret ? Ça m' intéresse... pour plus tard !
C'est en effet très bien édité, très lisible et les morceaux sont très sympas. Ma prof m'a fait acheter le volume 2 aussi, je suis en train d'apprendre "Wild Honeysuckle Rag"...c'est très joyeux, très plaisant.Oupsi a écrit :Red Rose Rendez vous de Martha Mier, dans Jazz, Rags & Blues, chez Alberta, volume 2.chris76 a écrit :La partition est tirée de quel livret ? Ça m' intéresse... pour plus tard !
En tout 5 volumes, par niveaux.
J'ai déchiffré les 8 morceaux de ce petit recueil, c'est bien écrit et bien édité.