DIDIER25 a écrit :Non, pas d'accord. Il faut savoir que les grosses boutiques d'internet éclusent des "stocks B", produits déclassés et susceptibles de présenter des défauts. J'en détiens des preuves tangibles en ce qui concerne deux "grandes" maisons.[...]
Oui, enfin, il ne faut pas se leurrer. Les fabricants eux-mêmes écoulent également ce que tu appelles les stocks B, des instrument qui sont revenus en SAV et qui ont été réparés, et ces instruments arrivent invariablement soit chez les vendeurs du net, soit également chez les magasins de pianos...
DIDIER25 a écrit :Enfin, encore une fois, A PRIX EGAL OU QUASIMENT EGAL il faut faire vivre l'artisanat et le petit commerce. C'est une question de survie d'un monde où l'on pourra encore échanger entre être humains et pas seulement avec des écrans et des claviers.
Oui, là, ça tient de la morale quasiment. Alors soit, je peux être d'accord avec toi, mais on ne peut pas se baser uniquement là-dessus pour choisir son fournisseur. SI les magasins ne parviennent pas à être meilleurs, ce n'est pas parce qu'on peut y parler avec un vendeur de piano qu'ils survivront...
DIDIER25 a écrit :Autre argument : de très nombreux pianistes commencent sur un numérique puis un jour sont en mesure d'acquérir un modèle supérieur ou un acoustique. Tous les bons vendeurs de piano proposent une reprise de leur numérique, souvent plus que symbolique. Qu'en est t'il sur internet où les numériques d'occasion sont difficilement vendables ?
Alors sur ce point, tu as parfaitement raison, et en effet, c'est un argument de poids pour aller choisir son instrument dans un magasin réel. Et en effet, les pianos, chez "mon" vendeur, sont repris au prix d'achat, c'est donc loin d'être symbolique.
DIDIER25 a écrit :Nous ne cessons de prévenir et d'informer des clients indécis pour qu'ils évitent ce piège et nous ne cessons de revoir des clients qui n'ont que des regrets de ne pas nous avoir écouté.
Oui, là, je parie que des exemples inverses sont légions également...