Il existe d'autres villes que Paris en France, sais-tu ? Et certaines ont même la chance d'avoir un périphérique, limité en général à 90
(cela dit je ne savais pas pour le changement, mais de toutes façons si je me souviens bien, la limite à Paris était de 80 non ?)
A Nantes aussi (en partie du moins...)
Ou alors tu te fais tous les autres périphs de France pour braver la mort à 90 km/h, sur ton tricycle (celui en photo), cheveux au vent, Marlena Shaw à fond les manettes dans les oreilles ?
(Pardon Lee pour le squatt momentané de ton fil )
Zerom a écrit :Ouais bon d'accord, mais c'est juste sur les ponts au-dessus de la Loire.
Depuis la limitation, c'est même pire , bien plus accidentogène. J'en ai fait très vite le constat, on se sent moins en sécurité , c'est un comble!
Une petite minorité de conducteurs la respectent, et ralentissent , mais les poids lourds refusent de ralentir au pied du pont, par crainte de ne pouvoir terminer l'ascension . Alors si ça ralentit à 70 sur la file de droite, ils se déportent à G pour prendre de l'élan en doublant. Très dangereux!
mieuvotar a écrit :
(Pardon Lee pour le squatt momentané de ton fil )
Et tu, Brute ? Parti aussi en Noxicisme ? Je te pardonne si tu sors au moins un morceau de voyage, et je suis désolée, niveau voyage, tu n'as pas d'excuse !!!
Modifié en dernier par Lee le dim. 23 nov., 2014 8:26, modifié 1 fois.
“Wrong doesn't become right just because it's accepted by a majority.” - Booker Washington
pour un voyage avec départ en douceur, je choisirais les Danses Gitanes op 84 de Joaquim Turina http://youtu.be/EbFJl7a4xtA
ou du même compositeur le trio n°2 pour piano violoncelle et violon http://youtu.be/f96Ni8s__MA
Lee a écrit :Je te pardonne si tu sors au moins un morceau de voyage, et je suis désolée, niveau voyage, tu n'as pas d'excuse !!!
Je serai donc puni par où j'ai péché, dans le droit fil du sujet de ma pollution (avec en prime quelques reproductions de Gauguin pour se laisser aller vers quelque horizon exotique...)
Sinon, j'ai ce quintette de Schubert qui très vite me transporte. D'une part en raison de sa profonde beauté, mais aussi car il avait servi de BO à ce film, tiré du magnifique livre éponyme de Tabbuchi qui retrace l'histoire d'une quête d'identité au cœur de l'Inde. Et qu'un tel voyage est toujours l'un des plus beaux, à défaut d'être des plus faciles et des plus sereins...
[Edit: correction d'une erreur typo...]
Modifié en dernier par mieuvotar le dim. 23 nov., 2014 9:08, modifié 2 fois.
Je laisse Bach conduire son fil sans que je l'entache (il va encore prendre star compositeur demi-finals CGAP ce vendredi soir) mais ce matin sur le rameur les deux dernières interventions me sont revenues :
bigrounours a écrit :Autre anecdote en relation : savez vous qu'écouter de la musique en courant est interdit dans les compétitions de marathon et/ou athlétisme ? Cela est considéré comme une forme de triche, une espèce de dopage mentale, car on peut se concentrer sur autre chose que sa course, et aussi prendre un certains rythme (à vérifier tout de même, je tiens cela d'une discussion autour de la machine à café )
BM607 a écrit :Pas la peine de vérifier, je confirme, c'est interdit en compétition.
Je me suis dit, dommage que c'est impossible d'écouter de la musique sous l'eau, parce que j'aime nager mais souvent je m'ennuie, s'il y avait de la musique, je pourrais nager plus longtemps !
Bon, je me contente de mon rameur, si vous avez encore des belles oeuvres qui suggèrent l'eau, la musique aquatique, je suis preneuse.
“Wrong doesn't become right just because it's accepted by a majority.” - Booker Washington
Lee a écrit :
Je me suis dit, dommage que c'est impossible d'écouter de la musique sous l'eau, parce que j'aime nager mais souvent je m'ennuie, s'il y avait de la musique, je pourrais nager plus longtemps !
Merci Pianojar, il semble par les critiques que ce n'est pas tout à fait au point, pour certains ça fonctionnent seulement 15 minutes, pour d'autres c'était cassé après juste quelque semaines.
Pour l'instant je vais me contenter des impressionistes, qui ont beaucoup d'oeuvres aquatiques...
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Dans la première année de pèlerinage de Liszt, tu as ces deux sublimes pièces (prise de son un peu pourrie mais j'aime beaucoup cette interprétation de Kempff)
Et dans l'opus 67 de Grieg, le lied "Ved gjaetle-bekken " ("Près du ruisseau de Gjætle") dans lequel le narrateur veut tout d'abord se reposer auprès du ruisseau, puis y rêver, puis se "rappeler", puis "oublier", pour enfin y "somnoler", progression métaphorique de la vie vers la mort. (Bon c'est peut être pas l'idéal pour faire du rameur, ok )
Merci Kât, déjà j'ai un coup de coeur pour le lied que tu as indiqué, je vais écouter le reste de l'opus depuis le début demain...en plus avec le Liszt, c'est la longueur parfaite pour la séance !
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Felix Blumenfeld, élève de Rimski-Korsakov a composé pleins de jolies morceaux. Outre son étude pour main gauche op36 assez connu, j'ai découvert récemment son étude de concert op.24 https://www.youtube.com/watch?v=_XzxSJB ... tml5=False
à la 1m20s on entend bien l'âme du piano russe
sa symphonie 'To the Dear Beloved' est aussi exceptionnelle.
En ce qui me concerne, je voyage à chaque fois que j'écoute l'une des sonates pour piano de Brahms... Une alternance de climats incroyable, une multitude de couleurs et de paysages tous plus beaux les uns que les autres. Et malgré la profusion d'idées et d'éléments musicaux, le tout garde une cohérence remarquable ; de vrais univers à elles toutes seules, quoi.
Schumann, après avoir entendu le jeune Brahms (20 ans à peine !) les interpréter lui-même, évoquait des "contrées magnifiques", " des cercles enchantés".
Pour moi l'un des sommets de la littérature pianistique (même si comme le disait Schumann il s'agit plus de symphonies que de sonates, tant l'écriture est orchestrale).
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