Musiques de l'enfance
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Musiques de l'enfance
Pour rebondir sur le sujet "les incontournables", ça m'intéresserait de savoir ce que vous écoutiez chez vous dans votre enfance?
Pour ma part, c'était encore du vinyl et donc le choix était très limité..
Comme je le disais dans l'autre sujet, beaucoup de Bach, des cantates de Noël, les Brandebourgeois, la suite en si, et de la musique médiévale: je crois que c'était du Jannequin. De la musique populaire russe, les Ballets de Moïsseïev et les choeurs de l'armée rouge..
Sinon, Wagner, Vivaldi, Beethoven, Dvorak. Il y avait également les planètes de Gustav Holst.
Les petites Liturgies de Messiaen.
Et puis à la radio, les Beatles, qui ne me semblaient pas de la musique très sérieuse, ni même très "correcte"..
Un peu France Musique, mais pas tant que ça.
Pour ma part, c'était encore du vinyl et donc le choix était très limité..
Comme je le disais dans l'autre sujet, beaucoup de Bach, des cantates de Noël, les Brandebourgeois, la suite en si, et de la musique médiévale: je crois que c'était du Jannequin. De la musique populaire russe, les Ballets de Moïsseïev et les choeurs de l'armée rouge..
Sinon, Wagner, Vivaldi, Beethoven, Dvorak. Il y avait également les planètes de Gustav Holst.
Les petites Liturgies de Messiaen.
Et puis à la radio, les Beatles, qui ne me semblaient pas de la musique très sérieuse, ni même très "correcte"..
Un peu France Musique, mais pas tant que ça.
- jean-séb
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Re: Musiques de l'enfance
Pas grand chose. Mes parents n'étaient pas spécialement mélomanes. Ils ne sont, de toute leur vie, pratiquement jamais allé à un concert, alors qu'ils habitaient Paris ou près de Paris. J'ai chanté dans une chorale pendant plus de trente ans et il a fallu qu'un jour je chante à 50m de chez eux pour qu'ils daignent venir m'entendre, une seule fois ! Mais bon, ils m'ont donné l'occasion d'apprendre le piano de bonne heure et je leur en serai toujours reconnaissant et ils ont été mon public béatement admiratif pendant mes jeunes années ! Ils m'avaient aussi inscrit à des concerts dans le cadre de l'école ; c'était très bien.
Ils avaient quand même quelques vinyles de musique "classique", pas beaucoup : ouvertures célèbres (Rossini, Weber, Van Suppé, etc), les morceaux célèbres (adagio d'Albinioni, menuet de Boccherini, etc.), ouvertures de Mozart, les plus belles valses de Vienne, les valses de la Belle Epoque, les danses hongroises de Brahms, et bien sûr, Pierre et le Loup ! Et quelques 45 tours : valse triste de Sibélius, Valse "minute" de Chopin (pour orchestre, pouah !), valse de Faust, ... Bref pas grand chose. J'ai toujours conservé un certain goût pour la musique légère. J'en joue souvent au piano ; c'est d'ailleurs ce qui plaisait le plus à mes parents quand je jouais du piano ; les vrais morceaux classiques sérieux, ils trouvaient que c'était très fort, que ça faisait du bruit ! Des amis de mes parents m'offraient aussi, à chaque Noël, des disques : c'est comme ça que j'ai eu Mozart et Bach raconté aux enfants (cf. un fil de Jean-Luc je crois sur ces merveilleux albums-disques), puis des disques d'orgue de Bach, ce qui a aussi dû déclencher mon affinité pour cet instrument et ce compositeur. Ah oui, aussi, mes parents m'avaient abonné (ou achetaient en kiosque, je ne me rappelle plus), assez tard, à des albums-disques très bien faits "les chefs-d’œuvre de la musique classique" : les disques étaient seulement des 25 cm d'orchestres ou d'artistes souvent peu connus (de moi) mais néanmoins très bons, avec un livret d'assez grand format remarquablement instructif et illustré. De plus, la sélection d’œuvres étaient excellente, tous les genres abordés. J'ai découvert un bon nombre de grandes œuvres comme ça. Le seul défaut de ces albums était que leur taille rendait leur rangement difficile sur les étagères !

Coté radio, c'était pour mes parents Radio Luxembourg (l'ancêtre de RTL), donc plutôt de la variété française, mais que je n'écoutais pas vraiment.
J'ai eu mon propre transistor en 1968, pendant les grèves, parce que l'école était fermée pour des semaines et que j'étais contraint d'être à la maison. C'est là que j'ai découvert France-Musique, et ensuite, j'ai très rapidement converti en nombreux disques vinyles l'argent que je gagnais en donnant des leçons de maths ; à l'époque, il y avait beaucoup d'imports pas chers du tout chez Gibert Jeune, à moins de 5 francs le disque ! À condition bien sûr de s'intéresser aux musiques qui se vendent mal, d'où probablement mon goût pour les musiques de compositeurs inconnus !
Ils avaient quand même quelques vinyles de musique "classique", pas beaucoup : ouvertures célèbres (Rossini, Weber, Van Suppé, etc), les morceaux célèbres (adagio d'Albinioni, menuet de Boccherini, etc.), ouvertures de Mozart, les plus belles valses de Vienne, les valses de la Belle Epoque, les danses hongroises de Brahms, et bien sûr, Pierre et le Loup ! Et quelques 45 tours : valse triste de Sibélius, Valse "minute" de Chopin (pour orchestre, pouah !), valse de Faust, ... Bref pas grand chose. J'ai toujours conservé un certain goût pour la musique légère. J'en joue souvent au piano ; c'est d'ailleurs ce qui plaisait le plus à mes parents quand je jouais du piano ; les vrais morceaux classiques sérieux, ils trouvaient que c'était très fort, que ça faisait du bruit ! Des amis de mes parents m'offraient aussi, à chaque Noël, des disques : c'est comme ça que j'ai eu Mozart et Bach raconté aux enfants (cf. un fil de Jean-Luc je crois sur ces merveilleux albums-disques), puis des disques d'orgue de Bach, ce qui a aussi dû déclencher mon affinité pour cet instrument et ce compositeur. Ah oui, aussi, mes parents m'avaient abonné (ou achetaient en kiosque, je ne me rappelle plus), assez tard, à des albums-disques très bien faits "les chefs-d’œuvre de la musique classique" : les disques étaient seulement des 25 cm d'orchestres ou d'artistes souvent peu connus (de moi) mais néanmoins très bons, avec un livret d'assez grand format remarquablement instructif et illustré. De plus, la sélection d’œuvres étaient excellente, tous les genres abordés. J'ai découvert un bon nombre de grandes œuvres comme ça. Le seul défaut de ces albums était que leur taille rendait leur rangement difficile sur les étagères !

Coté radio, c'était pour mes parents Radio Luxembourg (l'ancêtre de RTL), donc plutôt de la variété française, mais que je n'écoutais pas vraiment.
J'ai eu mon propre transistor en 1968, pendant les grèves, parce que l'école était fermée pour des semaines et que j'étais contraint d'être à la maison. C'est là que j'ai découvert France-Musique, et ensuite, j'ai très rapidement converti en nombreux disques vinyles l'argent que je gagnais en donnant des leçons de maths ; à l'époque, il y avait beaucoup d'imports pas chers du tout chez Gibert Jeune, à moins de 5 francs le disque ! À condition bien sûr de s'intéresser aux musiques qui se vendent mal, d'où probablement mon goût pour les musiques de compositeurs inconnus !
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Re: Musiques de l'enfance
Je ne suis pas née dans un milieu musical... Moi non-plus...Un jour une amie de ma mère m'a offert un disque des bagatelles de Beethoven, un 33 tours, des papillons s'échappaient d'une boîte à musique je crois.... Ce fut un miracle... Je l'écoutais en boucle, c'était mon seul disque, j'avais une dizaine d'années.
Ensuite j'ai moi aussi acheté cette collection à 5 francs.... Le premier concerto de Tchaikovsky... Et les torrents de larmes de l'adolescence précoce.... Support merveilleux.... C'est grâce à ce concerto que je suis devenue pianiste.....
Ensuite j'ai moi aussi acheté cette collection à 5 francs.... Le premier concerto de Tchaikovsky... Et les torrents de larmes de l'adolescence précoce.... Support merveilleux.... C'est grâce à ce concerto que je suis devenue pianiste.....
Sylvie Piano http://courspianocollectif.com/
Re: Musiques de l'enfance
Incontestablement le premier concerto de chopin pour piano et orchestre. je suis tombée par hasard sur une "cassette" de ce concerto à l'âge de 11 ans. J'avais une pneumonie, clouée au lit, je l'ai écouté durant des heures et de heures, j'en était amoureuse
Ce concerto a donc encore aujourd'hui une saveur toute particulière quand je l'écoute.

Ce concerto a donc encore aujourd'hui une saveur toute particulière quand je l'écoute.
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Re: Musiques de l'enfance
Moi j'ai découvert le 1er de Schumann dans une pub, vers l'age de 16 ans. Autre révélation, encore plus grande, au même age: le 1er concerto de Brahms.
Re: Musiques de l'enfance
aaaah les concertos de Brahms, quelle ampleur, j'adore la puissance de cette musique...
Re: Musiques de l'enfance
J'ai écouté en boucle le concerto de Grieg et un des deux de Liszt, parce que sur le même disque vinyle. J'avais 15 ans. Mais avant cela, à la maison il y avait toujours de la musique. Les quatuors de Beethoven, ses concertos pour piano. ..puis j'étais passionnée par les symphonies de Mahler, je devais avoir 17 ans, je ne me souviens plus pourquoi. ..j'adorais la cinquième. Et puis Messiaen, ...Villa Lobos aussi. Mes frères écoutaient les Beatles, Jean Ferra qui chantait Aragon. Un de mes frères était fan de Vivaldi. Ma soeur écoutait Barbara en boucle. ..
j'oublie aussi le disque de France Clida avec les études transcendantes de Liszt et puis Rigoletto de VERDI avec Dietrich Fisher Diskau ....inoubliable et ma préférée jusqu'à aujourd'hui.
j'oublie aussi le disque de France Clida avec les études transcendantes de Liszt et puis Rigoletto de VERDI avec Dietrich Fisher Diskau ....inoubliable et ma préférée jusqu'à aujourd'hui.
Re: Musiques de l'enfance
Ma mère était mélomane et jouait un peu de piano, l'instrument était donc là, c'est en l'observant que j'ai commencé...mon père par contre n'adhérait pas du tout à la musique classique, il n'est venu m'écouter que de rares fois...et n'en écoutait jamais...mes frères et soeurs n'ont jamais écouté de musique classique non plus, donc toutes sortes de musiques finissaient par se mêler à la maison, ce n'était pas silencieux c'est certain 

Re: Musiques de l'enfance
Chez moi, mon père controlait la chaîne de la maison ou de la voiture, et il mettait souvent les mêmes, les concertos de Beethoven, un ou deux oeuvres de Liszt, Mozart, Handel, Dvorak, Paginini. Il fallait attendre presque adolescence de découvrir Chopin, c'était mon premièr achat de musique classique, et puis Rachmaninoff, que j'ai découvert en lisant un livre. Ma mère regardait toujours les opéras à la télé, mais à part Carmen, aucun opéra m'intéressait dans mon enfance.
Je me permets de citer un autre fil (idées pour jeunes enfants) avec ce que Rachmaninoff aimait étant enfant, c'est très intéressant car j'aimerais être comme Rachmaninoff "quand je serai grande"
:
viewtopic.php?f=1&t=14770&p=234150&hilit=enfant#p234150
Je me permets de citer un autre fil (idées pour jeunes enfants) avec ce que Rachmaninoff aimait étant enfant, c'est très intéressant car j'aimerais être comme Rachmaninoff "quand je serai grande"

viewtopic.php?f=1&t=14770&p=234150&hilit=enfant#p234150
Modifié en dernier par Lee le mar. 21 oct., 2014 7:32, modifié 1 fois.
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Re: Musiques de l'enfance
J'ai toujours entendu de la musique classique, surtout chez mon grand père, qui avait suivi l'évolution du disque depuis les 78 tours et les tourne-disques à manivelle! J'avais appris très tôt à reconnaître le mode mineur ( c'était la musique qui "pique les yeux"
Mon père chantonnait souvent du classique, surtout la symphonie avec orgue de Saint-Saens, le Boléro de Ravel ou Espana de Chabrier!
Tout ce qui n'était pas classique ( variétés, jazz) je n'en entendais jamais à la maison, aussi j'appelais ça la "musique des grands-magasins"!
Un peu plus grande ( vers 10 ans?) je me suis passionnée pour les fameux disques "petit Ménestrel" dont on parle souvent, Pierre et le Loup ( avec Gérard Philippe) Piccolo Saxo et Cie.
Et parmi les disques de mes parents, grosse préférence pour Beethoven ( Fantaisie pour Piano choeurs et orchestre, 3 eme concerto piano - avec Lili Kraus-) et Chopin ( les valses par Lipatti , les sonates par Samson François) Je me souviens aussi du Concerto pour flûte et harpe de Mozart , du Magnificat de Bach, de la 9eme symphonie de Schubert. Un peu plus tard vers 15 ans, découverte du Lied romantique avec Schumann ( Dichterliebe) par Fischer Dieskau tout jeune (un déjà vieil enregistrement des années 50 sur vinyle 25 cm )
Mon père chantonnait souvent du classique, surtout la symphonie avec orgue de Saint-Saens, le Boléro de Ravel ou Espana de Chabrier!
Tout ce qui n'était pas classique ( variétés, jazz) je n'en entendais jamais à la maison, aussi j'appelais ça la "musique des grands-magasins"!
Un peu plus grande ( vers 10 ans?) je me suis passionnée pour les fameux disques "petit Ménestrel" dont on parle souvent, Pierre et le Loup ( avec Gérard Philippe) Piccolo Saxo et Cie.
Et parmi les disques de mes parents, grosse préférence pour Beethoven ( Fantaisie pour Piano choeurs et orchestre, 3 eme concerto piano - avec Lili Kraus-) et Chopin ( les valses par Lipatti , les sonates par Samson François) Je me souviens aussi du Concerto pour flûte et harpe de Mozart , du Magnificat de Bach, de la 9eme symphonie de Schubert. Un peu plus tard vers 15 ans, découverte du Lied romantique avec Schumann ( Dichterliebe) par Fischer Dieskau tout jeune (un déjà vieil enregistrement des années 50 sur vinyle 25 cm )
- Armag
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Re: Musiques de l'enfance
Pour moi ce sont les sonates de Scarlatti, jouées au clavecin, les Brandebourgeois, et une sonate de Schubert interprétée par Lily Kraus. J'ai connu également la collection dont parle Jean Seb un peu plus haut, et je lisais et relisais certains commentaires avec délectation.
Re: Musiques de l'enfance
Chez moi il y avait du Mickael Jackson, du Miles Davis, de la bossa, etc, et au regard de vos expériences, j'ai l'impression d'être un extra-terrestre pour le coup...



La différence entre un fou et moi, c'est que je ne suis pas fou. Salvador Dali.
Re: Musiques de l'enfance
J'avais un coffret que m'avait donné mon grand-père , genre " les grandes pages du piano ". J'écoutais en boucle le disque avec les Funérailles de Liszt, et le deuxième concerto de Rachmaninov. Sur un autre disque, il y avait les deux concertos de Chopin.
D'ailleurs, j'ai du à cette période (environ 10 ans) écouter en boucle tout Chopin, car aujourd'hui, dès que je mets un morceau de lui que je crois ne pas connaître, je sais que je l'ai déjà entendu, et souvent, car je me souviens toujours de la suite.
D'ailleurs, j'ai du à cette période (environ 10 ans) écouter en boucle tout Chopin, car aujourd'hui, dès que je mets un morceau de lui que je crois ne pas connaître, je sais que je l'ai déjà entendu, et souvent, car je me souviens toujours de la suite.
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Re: Musiques de l'enfance
J'écoutais les disques qu'il y avait à la maison : Fantaisie de Schumann et Etudes symphoniques, Sonates de Beethoven (pas toutes mais on en avait bien une vingtaine), tout ça dans les enregistrements d'Yves Nat, et aussi le CBT1 par Wanda Landowska (j'avais une partition pour suivre, je ne sais pas pourquoi elle était là), avec quelques Cantates de Bach et la Messe en si mineur. Il y avait aussi des quatuors de Beethoven par le quatuor Pascal, mais je trouvais ça rebutant, et le quintette en ut de Schubert dans l'enregistrement avec Casals au Festival de Prades que je ne me lassais pas d'écouter.
Je n'avais aucune idée de ce qui était connu ou pas (je n'ai entendu que très tard la 5ème de Beethoven pour la première fois). Ensuite, quand j'ai eu à peu près 10-11 ans , la discographie familiale s'est beaucoup enrichie…
Je n'avais aucune idée de ce qui était connu ou pas (je n'ai entendu que très tard la 5ème de Beethoven pour la première fois). Ensuite, quand j'ai eu à peu près 10-11 ans , la discographie familiale s'est beaucoup enrichie…
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Re: Musiques de l'enfance
Quel programme, jp! Et surtout du piano..
Les quatuors sont parait-il fondamentaux et je les connais à peine..
Je ne résiste pas au plaisir de remettre la vidéo de
L'Oiseau de feu
Du sujet cité par lee.
J'en rajoute 2 autres que je trouve très belles aussi:
https://www.youtube.com/watch?v=1GFkN4deuZU
https://www.youtube.com/watch?v=OumHY4gVgTg
Les quatuors sont parait-il fondamentaux et je les connais à peine..
Je ne résiste pas au plaisir de remettre la vidéo de
L'Oiseau de feu
Du sujet cité par lee.
J'en rajoute 2 autres que je trouve très belles aussi:
https://www.youtube.com/watch?v=1GFkN4deuZU
https://www.youtube.com/watch?v=OumHY4gVgTg
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Re: Musiques de l'enfance
Dans l'enfance, si on part de zéro pour aller à plus de 20 ans...
Premiers souvenir une tante qui me gardait écoutait une radio "périphérique", quelques souvenir des tubes des années 60 : Brel (les bonbons), Delpêche, Les Beatles, un peu de tout en fait.
Pas grand chose à la maison, un peu de musique sortant du "tuner" que mon père avait monté lui-même.
Deux trois classiques, un chouia d'Opéra, du Bécaud, et d'autres chanteurs de l'époque. La musique de la garde républicaine.
Du jazz "New Orleans", Sydnet Bechet, Luis Armstrong, etc.
Et même de l'accordéon.
Et ensuite lentement je me suis mis à écouter du rock en plus de la variété. Toujours les Beatles.
Police. Queen etc.
Pink Floyd
Dire Straits
Chet Baker (et Bill Evans)
Un petit faible pour Bach en classique, voire Beethoven (ouf
)
Premiers souvenir une tante qui me gardait écoutait une radio "périphérique", quelques souvenir des tubes des années 60 : Brel (les bonbons), Delpêche, Les Beatles, un peu de tout en fait.
Pas grand chose à la maison, un peu de musique sortant du "tuner" que mon père avait monté lui-même.
Deux trois classiques, un chouia d'Opéra, du Bécaud, et d'autres chanteurs de l'époque. La musique de la garde républicaine.
Du jazz "New Orleans", Sydnet Bechet, Luis Armstrong, etc.
Et même de l'accordéon.
Et ensuite lentement je me suis mis à écouter du rock en plus de la variété. Toujours les Beatles.
Police. Queen etc.
Pink Floyd
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Chet Baker (et Bill Evans)
Un petit faible pour Bach en classique, voire Beethoven (ouf

Re: Musiques de l'enfance
ma famille écoutait peu de musique, et pas du tout de classique (ils devaient me prendre pour une extra terrestre....). J'ai commencé avec une cassette que mon grand-père a eu chez Total et qui reprenait des opéras (je me souviens du lac des cygnes et d'Aïda). Ensuite avec mon argent de poche j'achetais des CDs de musique classique au supermarché (inutile de vous dire que tous n'étaient pas d'excellente qualité), des compilations de piano (ça a toujours été mon instrument de prédilection) avec du Bach, Mozart, Beethoven, Liszt (Liebestraum), etc... Mon préféré était Beethoven avec ses concertos pour piano (un coffret, c'était le comble du luxe pour moi) et La lettre à Elise.
Je me rends compte en repensant à cette époque que je trouvais des CDs de classique en supermarché ce qui ne se fait quasi plus... et après à la FNAC (mais maintenant à part celles de des Halles et celle de Nantes je ne les trouve pas très fournies, bon je ne les connais pas toutes non plus).
Je me rends compte en repensant à cette époque que je trouvais des CDs de classique en supermarché ce qui ne se fait quasi plus... et après à la FNAC (mais maintenant à part celles de des Halles et celle de Nantes je ne les trouve pas très fournies, bon je ne les connais pas toutes non plus).
- sanne
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Re: Musiques de l'enfance
Mais non... on sinon on est extra-terestre tous les deux...Gracou a écrit :Chez moi il y avait du Mickael Jackson, du Miles Davis, de la bossa, etc, et au regard de vos expériences, j'ai l'impression d'être un extra-terrestre pour le coup...![]()
Chez moi pas de musique classique non plus. Mais parents écoutaient la radio à la maison (je ne sais pas trop quoi).
Modifié en dernier par sanne le jeu. 23 oct., 2014 23:16, modifié 1 fois.
Re: Musiques de l'enfance
Mon premier disque (celui de mon frère aîné, plutôt, j'avais trois ans) était un 45 tours de Sœur Sourire (on ne ricane pas, là-bas, au fond!
).
Par la suite, mon père nous avait acheté toute la collection des "Rondes et Chansons de France" avec les quatre barbus. Nous les écoutions tellement qu'ils les a rachetés au bout de quelques années, le microsillon étant devenu un macro-labour.
Et nous avions également l'inénarrable "Piccolo, Saxo et compagnie".
Mais du côté des disques de mes parents eux-mêmes, il y avait pas mal de classique, mais ils ne les écoutaient jamais (je les ai découverts et écoutés moi-même vers 18 ans). Ma mère jouait elle-même du piano, et mon père, bien que grand amateur de Mozart et de Bach, écoutait en boucle tout le répertoire de Jazz à plein tube quand il rentrait le soir ou dans la voiture.
L'autre "madeleine de Proust" musicale vient d'un de mes frères et un cousin qui s'étaient mis au hard rock, qu'il nous servaient à dose émétique. Je n'aimais guère à l'époque, même si, avec le recul, je trouve maintenant qu'ils étaient très créatifs, finalement.

Par la suite, mon père nous avait acheté toute la collection des "Rondes et Chansons de France" avec les quatre barbus. Nous les écoutions tellement qu'ils les a rachetés au bout de quelques années, le microsillon étant devenu un macro-labour.

Mais du côté des disques de mes parents eux-mêmes, il y avait pas mal de classique, mais ils ne les écoutaient jamais (je les ai découverts et écoutés moi-même vers 18 ans). Ma mère jouait elle-même du piano, et mon père, bien que grand amateur de Mozart et de Bach, écoutait en boucle tout le répertoire de Jazz à plein tube quand il rentrait le soir ou dans la voiture.
L'autre "madeleine de Proust" musicale vient d'un de mes frères et un cousin qui s'étaient mis au hard rock, qu'il nous servaient à dose émétique. Je n'aimais guère à l'époque, même si, avec le recul, je trouve maintenant qu'ils étaient très créatifs, finalement.
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Re: Musiques de l'enfance
Moi aussi je crois que j'avais les rondes et chansons, mais les 4 barbus, n'était-ce point les Frères Jâcques??
On avait aussi 2 - 78 tours avec une espèce de manège qu'on fixait au centre du disque, recouvert de glaces qui créaient un dessin animé perpétuel en nous projetant les dessins du milieu du disque!
On avait aussi 2 - 78 tours avec une espèce de manège qu'on fixait au centre du disque, recouvert de glaces qui créaient un dessin animé perpétuel en nous projetant les dessins du milieu du disque!