les oeuvres qui rassurent, qui reconstruisent.
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les oeuvres qui rassurent, qui reconstruisent.
Avez-vous certains d'entre vous une ( ou plusieurs) mais surtout une pièce qui vous rassure, qui vous permet de poser, là, derrière vous, toutes les tensions du quotidien?
Un texte que vous connaissez au plus profond, celui vers lequel vous vous tournez à chaque moment difficile. Celui qui vous nourrit, qui vous habite depuis de longues années. Une oeuvre qui peut-être même vous a sauvé. ...
Et un jour, un autre surgit, non pas pour le remplacer, plutôt pour le compléter, ou pour l'introduire.Proche et différent, vous avez mûri, les années ont passé. Ils forment petit à petit les perles de votre vie.
Comme c'est doux, comme c'est rassurant ! Un baiser du matin, une caresse... Le coeur se calme, l'équilibre revient.
Et ce texte si intime, si privé, qui vous révèle tellement, c'est votre secret, juste à vous.
Un texte que vous connaissez au plus profond, celui vers lequel vous vous tournez à chaque moment difficile. Celui qui vous nourrit, qui vous habite depuis de longues années. Une oeuvre qui peut-être même vous a sauvé. ...
Et un jour, un autre surgit, non pas pour le remplacer, plutôt pour le compléter, ou pour l'introduire.Proche et différent, vous avez mûri, les années ont passé. Ils forment petit à petit les perles de votre vie.
Comme c'est doux, comme c'est rassurant ! Un baiser du matin, une caresse... Le coeur se calme, l'équilibre revient.
Et ce texte si intime, si privé, qui vous révèle tellement, c'est votre secret, juste à vous.
Sylvie Piano http://courspianocollectif.com/
Re: les oeuvres qui rassurent, qui reconstruisent.
Quand l'hôpital m'a forcé de déclencher la naissance de mon fils (qui finalement a prouvé un gros erreur de leur part), j'étais obligée d'être la veille à l'hôpital. Sans parler du lendemain, c'était cauchemardesque, avec une voisine dans ma chambre qui finalement a naturellement commencé son travail, je n'ai pas dormi avec les lumières et les interventions...
Ce qui m'a frappé pendant ce moment difficile était les lectures de fréquence cardiaque. L'infirmière ou la sage femme m'a branché sur la machine, je m'ennuyais à mort pour un moment, donc j'ai sorti mon MP3 et j'ai écouté le concerto pour violon de Beethoven et Sara McLachlan. Elle est rentrée, elle a lu ces fréquences, et elle m'a montrée un changement dans les ondes, en disant, "Ah, là, vous avez commencé à écouter la musique, c'était bien pour vous et le bébé" ça m'a visiblement apaisé d'une façon qu'on pouvait montrer scientifiquement, je ne l'aurais pas imaginé.
Ce qui m'a frappé pendant ce moment difficile était les lectures de fréquence cardiaque. L'infirmière ou la sage femme m'a branché sur la machine, je m'ennuyais à mort pour un moment, donc j'ai sorti mon MP3 et j'ai écouté le concerto pour violon de Beethoven et Sara McLachlan. Elle est rentrée, elle a lu ces fréquences, et elle m'a montrée un changement dans les ondes, en disant, "Ah, là, vous avez commencé à écouter la musique, c'était bien pour vous et le bébé" ça m'a visiblement apaisé d'une façon qu'on pouvait montrer scientifiquement, je ne l'aurais pas imaginé.
“Wrong doesn't become right just because it's accepted by a majority.” - Booker Washington
Re: les oeuvres qui rassurent, qui reconstruisent.
J'ai aussi écouté de la musique pendant la nuit qui a précédé ma dernière opération. Je n'ai pas eu peur du tout.
Sinon, aucune musique n'a pour moi un effet aussi régénérateur que la musique de chambre.
Et le compositeur auquel je pense alors c'est Haydn, ses quatuors et trios.
Sinon, aucune musique n'a pour moi un effet aussi régénérateur que la musique de chambre.
Et le compositeur auquel je pense alors c'est Haydn, ses quatuors et trios.
Re: les oeuvres qui rassurent, qui reconstruisent.
je me souviens que les jours qui ont entourés la naissance d'Eliette j'écoutais tout le temps deux œuvres différentes: Les Variations Goldberg jouées par Rosalyn Tureck et puis Le Voyage d'Hiver chanté par Dietrich Fischer Diskau, au piano Hermann Reuter....Après sa naissance , tous les après midi pendant des semaines j'ai savouré avec elle les Variations Goldberg.
Re: les oeuvres qui rassurent, qui reconstruisent.
As-tu chanté pour elle Strumpf ?strumpf a écrit :Après sa naissance , tous les après midi pendant des semaines j'ai savouré avec elle les Variations Goldberg.

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Re: les oeuvres qui rassurent, qui reconstruisent.

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Re: les oeuvres qui rassurent, qui reconstruisent.
J'évoquais les oeuvres que l'on joue. Même si bien sûr certains moments de nos vies ont pu être accompagnés par des musiques prégnantes.
Et puisque vous faîtes référence à ces instants cruciaux de la vie d'une femme, je dirais presque un" morceau doudou ".......
Les doigts se posent instinctivement sur le clavier, déjà le premier son calme la respiration, la tierce mineure qui suit, comme un souffle, la tonalité dans toute sa splendeur. Raconte.... Dis encore.... les vibrations rassurantes, de la corde, aux doigts, aux bras, au ventre, enfin au cerveau qui libère doucement sa dopamine bienfaisante...
Et puisque vous faîtes référence à ces instants cruciaux de la vie d'une femme, je dirais presque un" morceau doudou ".......

Les doigts se posent instinctivement sur le clavier, déjà le premier son calme la respiration, la tierce mineure qui suit, comme un souffle, la tonalité dans toute sa splendeur. Raconte.... Dis encore.... les vibrations rassurantes, de la corde, aux doigts, aux bras, au ventre, enfin au cerveau qui libère doucement sa dopamine bienfaisante...
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Re: les oeuvres qui rassurent, qui reconstruisent.
Tu poses des questions difficiles. Pour moi ce serait plutôt la Gavotte variée de Rameau, pour la facilité avance laquelle elle me revient dans les doigts, le premier impromptu de Schubert en fa mineur de l'op 142 (je ne sais plus le numéro en D), et les 32 variations en ut mineur de Beethoven
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Re: les oeuvres qui rassurent, qui reconstruisent.
C'est ce que j'avais compris aussi!J'évoquais les oeuvres que l'on joue.
Pour moi c'est sans hésiter l'Arabesque op18 de Schumann, qui a inspiré mon pseudo . Le dernier morceau travaillé avec ma prof en...1972!
Que j'ai ensuite beaucoup écoutée avec d'autres pièces de Schumann.( Horowitz)
Elle m'est revenue assez vite dans les doigts plus de 40 ans après, et j'adore la jouer même si je ne la maîtrise pas parfaitement sur le plan technique, et que je ne suis pas fichue d'en jouer par cœur les passages lents.( curieux, et c'est la même chose avec "Le poète parle" ou la "Rêverie" . Plus ca semble simple, plus c'est difficile à retenir)
ET après X plantages au même endroit dans du Bach ( par exemple) , je laisse dérouler son charmant refrain sous mes doigts et je me dis: c'est joli tout de même... et je ne suis pas si nulle

Re: les oeuvres qui rassurent, qui reconstruisent.
C'est une question terriblement exigeante pour ma part, elle l'est tellement que j'ai simplement envie de répondre qu'aucune oeuvre musicale n'a pu exercer un tel pouvoir sur moi. Parce que curieusement, et aussi incompréhensible que ça ait l'air, la musique ne m'est d'aucun soutien dans les moments vraiment très difficiles, j'ai plutôt l'impression qu'elle permet de magnifier ce qui va bien en moi.
En me concentrant sur les parties moins exigeantes de la question et me restreignant au piano et à ce que je joue, je peux tout de même isoler quelques oeuvres, qui reviennent selon certains cycles et qui ont une place spéciale pour moi.
Tout d'abord 2 oeuvres complètes, et il se trouve que c'est 2 concertos : le 4e de Beethoven et le 1er de Chopin.
Le 1er concerto de Chopin est le tout premier concerto que j'ai absolument voulu jouer, en raison de l'impression définitive qu'à eue sur moi son premier solo quand l'orchestre revient (si sol la si ...). Il me suit de près depuis l'âge de 11 ans, il m'est unique. Beethoven est venu un petit peu plus tard. Je crois que son 4e concerto est l'oeuvre musicale la plus humaine à laquelle je puisse penser, il y a absolument tout à l'intérieur, je pourrais en parler des heures. En quelques mots brefs, c'est l'alliance merveilleuse du Beethoven napoléonien et du tendre poète qui en font pour moi l'alpha et l'oméga. Je ne le joue plus très souvent, mais c'est toujours une traversée intense.
Et puis il y a une myriade de petites choses. Chez Chopin, peu de choses me saisissent autant que la mazurka opus 17 n°4 (je ne la joue plus), et le trio du Scherzo de sa sonate pour violoncelle. Je suis si frustré de devoir reconnaître que Chopin n'a pas confié au piano ce qui est pour moi le thème le plus beau qu'il n'ait jamais créé.
Il y a des thèmes Schumaniens qui me hantent depuis la première fois où je les ai entendus, et à commencer par le 2e thème du finale de sa 3e sonate, qui est un leitmotiv indéracinable sous mon crâne depuis bien trop longtemps. Je lui pardonne d'avoir écrit un finale beaucoup trop long, je suis sûr qu'il n'arrivait pas non plus à lâcher son 2e thème, et avait un besoin pas possible de le réitérer jusqu'à plus soif...
En me concentrant sur les parties moins exigeantes de la question et me restreignant au piano et à ce que je joue, je peux tout de même isoler quelques oeuvres, qui reviennent selon certains cycles et qui ont une place spéciale pour moi.
Tout d'abord 2 oeuvres complètes, et il se trouve que c'est 2 concertos : le 4e de Beethoven et le 1er de Chopin.
Le 1er concerto de Chopin est le tout premier concerto que j'ai absolument voulu jouer, en raison de l'impression définitive qu'à eue sur moi son premier solo quand l'orchestre revient (si sol la si ...). Il me suit de près depuis l'âge de 11 ans, il m'est unique. Beethoven est venu un petit peu plus tard. Je crois que son 4e concerto est l'oeuvre musicale la plus humaine à laquelle je puisse penser, il y a absolument tout à l'intérieur, je pourrais en parler des heures. En quelques mots brefs, c'est l'alliance merveilleuse du Beethoven napoléonien et du tendre poète qui en font pour moi l'alpha et l'oméga. Je ne le joue plus très souvent, mais c'est toujours une traversée intense.
Et puis il y a une myriade de petites choses. Chez Chopin, peu de choses me saisissent autant que la mazurka opus 17 n°4 (je ne la joue plus), et le trio du Scherzo de sa sonate pour violoncelle. Je suis si frustré de devoir reconnaître que Chopin n'a pas confié au piano ce qui est pour moi le thème le plus beau qu'il n'ait jamais créé.
Il y a des thèmes Schumaniens qui me hantent depuis la première fois où je les ai entendus, et à commencer par le 2e thème du finale de sa 3e sonate, qui est un leitmotiv indéracinable sous mon crâne depuis bien trop longtemps. Je lui pardonne d'avoir écrit un finale beaucoup trop long, je suis sûr qu'il n'arrivait pas non plus à lâcher son 2e thème, et avait un besoin pas possible de le réitérer jusqu'à plus soif...
Modifié en dernier par Okay le sam. 20 sept., 2014 13:23, modifié 1 fois.
Re: les oeuvres qui rassurent, qui reconstruisent.
En général j'ai très rarement de problèmes, mais si je devais en avoir je pense que je leur demanderais (aux problèmes) de sortir gentiment de chez moi sur la pointe des pieds.
Une musique qui conviendrait parfaitement en la circonstance serait le "Tip-toe dancer" (danseur ou danseuse sur pointe) de Karen Marie Garrett.
En voici le lien :
http://www.youtube.com/watch?v=ZimVfP1tor0
Quand on arrive au piano, avec la pointe de ses doigts, à inviter les problèmes à sortir de chez soi sur la pointe de leurs pieds, la partie est gagnée.
Une musique qui conviendrait parfaitement en la circonstance serait le "Tip-toe dancer" (danseur ou danseuse sur pointe) de Karen Marie Garrett.
En voici le lien :
http://www.youtube.com/watch?v=ZimVfP1tor0
Quand on arrive au piano, avec la pointe de ses doigts, à inviter les problèmes à sortir de chez soi sur la pointe de leurs pieds, la partie est gagnée.
Re: les oeuvres qui rassurent, qui reconstruisent.
Bienheureux sois tu !
Re: les oeuvres qui rassurent, qui reconstruisent.
Le bonheur est comme une rose dans un vase posé sur une table.
http://www.youtube.com/watch?v=wcud7eE6vIw
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Re: les oeuvres qui rassurent, qui reconstruisent.
Quel choix magnifique ( pour moi aussi, bien que hélas ces pièces n'aient pas la chance d'être dans mon grenier beaucoup trop étroit.... !!!!).JPS1827 a écrit :Tu poses des questions difficiles. Pour moi ce serait plutôt la Gavotte variée de Rameau, pour la facilité avance laquelle elle me revient dans les doigts, le premier impromptu de Schubert en fa mineur de l'op 142 (je ne sais plus le numéro en D), et les 32 variations en ut mineur de Beethoven
C'est curieux tout ceci m'évoque l'opus 110 que vous connaissez bien... Peut-être parce ce que elle.....elle sommeille tout au fond de mon grenier... Endormie comme la belle au bois dormant...
Sylvie Piano http://courspianocollectif.com/
Re: les oeuvres qui rassurent, qui reconstruisent.
JPS 1827 a écrit : ".........................et les 32 variations en ut mineur de Beethoven"
Puisque l'on parle de Beethoven et de variations j'avoue que j 'ai la chance d'avoir un DVd avec les 33 variations sur une valse de Anton Diabelli interprétées par Piotr Anderszewski, lors d'une audition filmée et enregistrée en été 2000 à Lugano en Suisse.
Laissez-moi vous dire que je suis fasciné par la 31ème variation que Piotr Anderszewski a interprété en 6 minutes et demie, en respectant à merveille son caractère largo et molto expressivo.
Il faut que j'attende d'avoir suffisamment progressé au piano pour aborder cette oeuvre musicale qui est une de celles qui me font le plus rêver.
Assez parlé, je saute à mon piano !
Puisque l'on parle de Beethoven et de variations j'avoue que j 'ai la chance d'avoir un DVd avec les 33 variations sur une valse de Anton Diabelli interprétées par Piotr Anderszewski, lors d'une audition filmée et enregistrée en été 2000 à Lugano en Suisse.
Laissez-moi vous dire que je suis fasciné par la 31ème variation que Piotr Anderszewski a interprété en 6 minutes et demie, en respectant à merveille son caractère largo et molto expressivo.
Il faut que j'attende d'avoir suffisamment progressé au piano pour aborder cette oeuvre musicale qui est une de celles qui me font le plus rêver.
Assez parlé, je saute à mon piano !
Re: les oeuvres qui rassurent, qui reconstruisent.
Cette 31ème variation de Diabelli interprétée par Piotr Anderszewski, vous pouvez l'écouter si le coeur vous en dit à partir de la 50ème minute et 5 sec. sur le lien vuivant :
http://www.youtube.com/watch?v=sHWkmBd0Mko
Vous verrez c'est magique.
http://www.youtube.com/watch?v=sHWkmBd0Mko
Vous verrez c'est magique.
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Re: les oeuvres qui rassurent, qui reconstruisent.
En effet...LetMePlay a écrit :Cette 31ème variation de Diabelli interprétée par Piotr Anderszewski, vous pouvez l'écouter si le coeur vous en dit à partir de la 50ème minute et 5 sec. sur le lien vuivant :
http://www.youtube.com/watch?v=sHWkmBd0Mko
Vous verrez c'est magique.

Belle qualité vidéo aussi, et belle expressivité du visage du pianiste, on voit qu'il donne tout...
Re: les oeuvres qui rassurent, qui reconstruisent.
Je ne voudrais pas jouer mon rabat-joie, mais il y a des pianistes relativement impassibles qui donnent tout aussi.Arabesque44 a écrit : belle expressivité du visage du pianiste, on voit qu'il donne tout...

La différence entre un fou et moi, c'est que je ne suis pas fou. Salvador Dali.
Re: les oeuvres qui rassurent, qui reconstruisent.
Merci pour le lien LetMePlay... Il me semble que c'est pris du DVD qu'a réalisé Bruno Monsaingeon des Variations Diabelli par Anderszewski, mais je n'en suis pas sûr.
Anderszewski est un pianiste que j'affectionne tout particulièrement. Sa sensibilité au piano me touche profondément. J'ai eu aussi l'occasion de voir l'autre très beau film que Bruno Monsaingeon lui a consacré ("Le Voyageur intranquille"). Il est facilement disponible sur Medici pour ceux & celles qui sont abonné(e)s. Il est assez étrange d'ailleurs (le film, pas Anderszewski !) : il raconte le périple du pianiste à travers sa Pologne natale dans un train tout spécialement aménagé pour lui, avec un piano à bord. Un peu comme un "road-movie".
Anderszewski est un pianiste que j'affectionne tout particulièrement. Sa sensibilité au piano me touche profondément. J'ai eu aussi l'occasion de voir l'autre très beau film que Bruno Monsaingeon lui a consacré ("Le Voyageur intranquille"). Il est facilement disponible sur Medici pour ceux & celles qui sont abonné(e)s. Il est assez étrange d'ailleurs (le film, pas Anderszewski !) : il raconte le périple du pianiste à travers sa Pologne natale dans un train tout spécialement aménagé pour lui, avec un piano à bord. Un peu comme un "road-movie".
Modifié en dernier par mieuvotar le mar. 23 sept., 2014 9:47, modifié 1 fois.
Re: les oeuvres qui rassurent, qui reconstruisent.
Mieuvotar,
Ce que l'on trouve sur youtube est bien tiré du DVD "Piotr Anderszewski plays the Diabelli Variations - A Film by Bruno Monsaingeon".
Il y manque toutefois l'introduction filmée d'une vingtaine de minutes, où Piotr s'exprime en anglais et en français.
Ce que l'on trouve sur youtube est bien tiré du DVD "Piotr Anderszewski plays the Diabelli Variations - A Film by Bruno Monsaingeon".
Il y manque toutefois l'introduction filmée d'une vingtaine de minutes, où Piotr s'exprime en anglais et en français.