... Rassurez-vous, les problèmes de raideur, de crispations, peuvent arriver aussi à des "pros"... Je pense à Joao Carlos Martins, à Michel Beroff...
Crisper est une réaction normale devant quelque chose d'inconnu... Mais il faut apprendre à remplacer cette réaction par une détente immédiate... On ne naît pas ainsi, mais ça s'apprend...
Un modèle de souplesse : Argerich... Après la moindre note, elle revient avec une vitesse fulgurante au "point zéro"... avec les coudes et les poignets "ouverts"... en sachant que ce qui bloque le poignet, c'est la crispation du pouce et du 5ème... Donc, veiller à laisser ces doigts détendus, comme s'ils contenaient de l'air... Pensez à laisser la paume de votre main très souple, élastique... Et sentez en permanence le contact de la pulpe de vos doigts sur le clavier, anticipez même cette sensation...
Ce sont des éléments de l'enseignement de Sacaramuzza. J'ai eu l'immense chance de travailler un quinzaine de jours avec l'un de ses élèves, un pianiste très connu...
Pour finir, lâchez votre épaule, et sentez que chaque geste part de votre bassin, et ressentez l'empilement articulaire, au lieu de pensez "attaque" pensez "chute"... Ne pensez pas "attaque" du doigt, mais "pression" de la pulpe...
Bon, ben voilà, juste quelques conseils...
Bien amicalement
Nous !
http://www.alexandertechnique.be/Francais/bienvenue.htmCrisper est une réaction normale devant quelque chose d'inconnu... Mais il faut apprendre à remplacer cette réaction par une détente immédiate... On ne naît pas ainsi, mais ça s'apprend...
Ça m'a énormément aidé (en continue de le faire). (En plus, c'est en droite ligne de la "manière" de mon prof - comme par hasard
). Encore peu connue chez nous, la Technique Alexander est beaucoup plus répandue dans les pays anglo-saxons ; dans la plupart des grandes écoles de musique et arts de la scène on trouve un prof Alexander, car l'"usage" logique et optimal du corps est considéré comme un fait important, allant de soi...
C'est une techique qui s'attache à la globalité du corps : il ne sert à rien de vouloir déserrer les épaules si on a pas compris que cette crispation venait de la région lombaire (par exemple). En ce sens elle permet un travail sur le corps plus profond et plus abouti, dont les effets ne se ressentent pas seulement dans la pratique instrumentale, mais aussi dans la vie de tous les jours. [/url]
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Zerom
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Je savais bien qu'avec cette photo, j'ai toujours la cote auprès des mamies. Faut croire que ça marche aussi avec les Zebulons ! Ce qui revient peut-être au même après tout.
S'il y a d'autres vieilles dames sur ce forum qui n'en peuvent plus de se pamer en se demandant ce que font mes mains derrière mon pantalon psychédélique, je veux bien retirer la photo, par égard pour leur tension artérielle.
S'il y a d'autres vieilles dames sur ce forum qui n'en peuvent plus de se pamer en se demandant ce que font mes mains derrière mon pantalon psychédélique, je veux bien retirer la photo, par égard pour leur tension artérielle.
En fait, la Technique Alexander est directement issue du Yoga. C'est de l'éveil proprioceptif. Très important, tout ça... En fait, c'est le plus souvent un sentiment de peur qui génère des réflexes de rétention, de crispation... reste à savoit de quoi avons nous peur fondamentalement...
Bonne soirée à Zébulon, notre "Hélène Grimaud" masculin !
Bonne soirée à Zébulon, notre "Hélène Grimaud" masculin !
?
!!!!
Salut,
J'arrive un peu tard. J'ai vu dans un post (c'est comme ça que l'on dit ?) de Zébulon des mots comme vérité, transcendance.
Vraiment Zebulon, vous avez l'art et la manière de provoquer des débats. Laissez les pistolets au vestiaire et dites-moi. N'êtes vous pas en train d'invoquer Dieu ? Voyez-vous l'artiste exprimant une Réalité Supérieure (laquelle ?). Je suis sur que vous avez lu le livre de Luc Ferry (le sens du beau). Je vous imaginais plus athée que ça. La transcendance peut-être mais laquelle ?
Alain
J'arrive un peu tard. J'ai vu dans un post (c'est comme ça que l'on dit ?) de Zébulon des mots comme vérité, transcendance.
Vraiment Zebulon, vous avez l'art et la manière de provoquer des débats. Laissez les pistolets au vestiaire et dites-moi. N'êtes vous pas en train d'invoquer Dieu ? Voyez-vous l'artiste exprimant une Réalité Supérieure (laquelle ?). Je suis sur que vous avez lu le livre de Luc Ferry (le sens du beau). Je vous imaginais plus athée que ça. La transcendance peut-être mais laquelle ?
Alain
Je ne crois pas que Ferry ait nié le sens du sacré...
Il est dommage de jeter l'idée de transcendance en même temps que celle de divinité : en ramenant la transcendance dans le débat philosophique on la rabaisse au niveau du mental, alors qu'il s'agit de cette sensibilité profonde qui dépasse de loin les esprits les plus brillants (on voudrait contenir tous les océans dans une bouteille!?). Si un artiste m'émeut aux larmes, je peux dire que je reviens d'un monde transcendant. Mais je pleurerai rarement d'émotion après une brillante agitation neuronale (ou en tout cas cela n'aura rien de comparable !). Je suppose, alain, que vous n'êtes pas artiste?
Vous avez lu Kandinsky (Du Spirituel dans l'Art) ? C'est "pas mal" ...
Bien à vous,
Axel
Il est dommage de jeter l'idée de transcendance en même temps que celle de divinité : en ramenant la transcendance dans le débat philosophique on la rabaisse au niveau du mental, alors qu'il s'agit de cette sensibilité profonde qui dépasse de loin les esprits les plus brillants (on voudrait contenir tous les océans dans une bouteille!?). Si un artiste m'émeut aux larmes, je peux dire que je reviens d'un monde transcendant. Mais je pleurerai rarement d'émotion après une brillante agitation neuronale (ou en tout cas cela n'aura rien de comparable !). Je suppose, alain, que vous n'êtes pas artiste?
Vous avez lu Kandinsky (Du Spirituel dans l'Art) ? C'est "pas mal"
... Bien à vous,
Axel
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egtegt
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Moi aussi, j'aimerais bien me la pêter, mais j'ai pas lu Ferry (C'est de la famille de celui des lycées Jules Ferry ou de celle du ministre ?) ni Kandinsky dont je croyais qu'il était peintre.
Vous croyez que si je dis que j'ai lu l'assommoir de Zola quand j'étais petit à l'école, ça le fera ? (ça m'a assommé d'ailleurs)
Vous croyez que si je dis que j'ai lu l'assommoir de Zola quand j'étais petit à l'école, ça le fera ? (ça m'a assommé d'ailleurs)
Ah, les positions inconciliables… Idéale configuration pour des débats animés sur un forum !
Il est évident, cher Zebulon que nous ne voyons pas les choses depuis le même point d’observation. Vous vivez la musique de l’intérieur, de loin plus à l’intérieur que je ne l’ai jamais été. Est-ce pour autant que je n’ai pas le droit d’en discuter ? Si l’on n’avait le droit de parler que des choses que l’on maîtrise parfaitement, on ne parlerait plus beaucoup.
Par ailleurs, si j’admets volontiers faire dans la mauvaise foi avec une certaine dose d’extrapolation, c’est un domaine où je trouve que vous me battez de loin…
Quel besoin avez-vous de déformer mes propos ? Ai-je dit que les pianistes n’étaient « que » des gens imbus de leur petite personne ? Certainement pas. Je dis juste que je trouve naïf de leur attribuer exclusivement des motivations hautement spirituelles et strictement métaphysiques (tout en reconnaissant que ces motivations sont tout à fait nécessaires pour que ce que l’on fait ait une dimension réellement artistique). Tout le monde a besoin de pognon, tout le monde a un ego qu’il aime bien voir flatter de temps en temps.
De même, qu’est-ce qui dans mon propos vous autorise à déclarer que je mette en doute une seule seconde l’ampleur du travail fait par un pianiste pour avoir le niveau de jouer en récital ? Ce n’est d’ailleurs pas le sujet de la discussion, le travail n’est pas la fin en soi. C’est un moyen, la fin étant le récital en lui-même (vous allez peut-être me dire que ce n’est pas votre opinion, en tout cas c’est la mienne…). Quant à « Il faut ne rien connaître de la somme de travail d'un pianiste (…) » certes je n’ai jamais joué en récital mais je sais en revanche à quel point je dois m’arracher pour arriver à quelques résultats minimes, j’ai bien conscience qu’il faut multiplier cela, au bas mot, par 1 000 000 pour affronter un public dans des conditions décentes, et contrairement à ce que vous laissez entendre, j’ai un profond respect pour ça.
La véhémence de votre réaction, sur le prétendu manque de crédit dont je ferais preuve à l’égard du travail, apporte d’ailleurs à mon sens de l’eau à mon moulin. Ce besoin de mettre en exergue à quel point on travaille dur, à quel point on fait des sacrifices etc.- quand bien même cela correspond à la réalité et est tout à fait respectable - est typique de cette attitude que je raillais - plutôt gentiment d’ailleurs – au départ de la discussion.
Enfin, nous sommes là pour discuter, vous avez le droit d’être en profond désaccord avec mes vues et vice-versa, c’est ce qui fait le charme de ce genre de site, toutefois, je ne pense pas qu’user d’un langage limite discourtois et d’attaques personnelles soit de nature à donner du poids à votre discours… Non que je vous en tienne rigueur, je vous suggère juste en passant de ne pas prendre tout cela à cœur de la sorte. A priori, c’est pas bon pour votre tension artérielle ni pour le relâchement – à moins que c’était une façon de se défouler suite à une session de travail qui ne vous a pas donné entère satisfaction ?
Il est évident, cher Zebulon que nous ne voyons pas les choses depuis le même point d’observation. Vous vivez la musique de l’intérieur, de loin plus à l’intérieur que je ne l’ai jamais été. Est-ce pour autant que je n’ai pas le droit d’en discuter ? Si l’on n’avait le droit de parler que des choses que l’on maîtrise parfaitement, on ne parlerait plus beaucoup.
Par ailleurs, si j’admets volontiers faire dans la mauvaise foi avec une certaine dose d’extrapolation, c’est un domaine où je trouve que vous me battez de loin…
Quel besoin avez-vous de déformer mes propos ? Ai-je dit que les pianistes n’étaient « que » des gens imbus de leur petite personne ? Certainement pas. Je dis juste que je trouve naïf de leur attribuer exclusivement des motivations hautement spirituelles et strictement métaphysiques (tout en reconnaissant que ces motivations sont tout à fait nécessaires pour que ce que l’on fait ait une dimension réellement artistique). Tout le monde a besoin de pognon, tout le monde a un ego qu’il aime bien voir flatter de temps en temps.
De même, qu’est-ce qui dans mon propos vous autorise à déclarer que je mette en doute une seule seconde l’ampleur du travail fait par un pianiste pour avoir le niveau de jouer en récital ? Ce n’est d’ailleurs pas le sujet de la discussion, le travail n’est pas la fin en soi. C’est un moyen, la fin étant le récital en lui-même (vous allez peut-être me dire que ce n’est pas votre opinion, en tout cas c’est la mienne…). Quant à « Il faut ne rien connaître de la somme de travail d'un pianiste (…) » certes je n’ai jamais joué en récital mais je sais en revanche à quel point je dois m’arracher pour arriver à quelques résultats minimes, j’ai bien conscience qu’il faut multiplier cela, au bas mot, par 1 000 000 pour affronter un public dans des conditions décentes, et contrairement à ce que vous laissez entendre, j’ai un profond respect pour ça.
La véhémence de votre réaction, sur le prétendu manque de crédit dont je ferais preuve à l’égard du travail, apporte d’ailleurs à mon sens de l’eau à mon moulin. Ce besoin de mettre en exergue à quel point on travaille dur, à quel point on fait des sacrifices etc.- quand bien même cela correspond à la réalité et est tout à fait respectable - est typique de cette attitude que je raillais - plutôt gentiment d’ailleurs – au départ de la discussion.
Enfin, nous sommes là pour discuter, vous avez le droit d’être en profond désaccord avec mes vues et vice-versa, c’est ce qui fait le charme de ce genre de site, toutefois, je ne pense pas qu’user d’un langage limite discourtois et d’attaques personnelles soit de nature à donner du poids à votre discours… Non que je vous en tienne rigueur, je vous suggère juste en passant de ne pas prendre tout cela à cœur de la sorte. A priori, c’est pas bon pour votre tension artérielle ni pour le relâchement – à moins que c’était une façon de se défouler suite à une session de travail qui ne vous a pas donné entère satisfaction ?
Je me sentais à la limite du hors sujet quand je parlais de complexité mais quand je vois que certains délirent à bloc sur les notions transcendance et de spiritualité, je me sens tout d'un coup rassuré.
Waaou. Ca c'est du forum. Quasimodo propose un trombinoscope (je n'aurais pas osé y coller ma photo mais ça ne m'empêche pas de respecter l'idée) et Zébulon enchaîne coup sur coup : le cours de technique pianistique et le jugement moral. C'est vrai qu'en lisant un post on se fait une idée tellement précise des individus... Au moins aussi précise que sur la technique des pianistes à partir d'une photo...
Tiens, il y a peut-être une idée de business, là...
Par contre, je reste sans voix devant la description du pianiste solitaire :
"Des heures de travail pour affronter le public, un mental d'acier, une concentration maximale, une mémoire sans défaillance, une tension énorme et le tout avec un jeu de détente, de souplesse, de délicatesse de toucher, de délié etc. [...]. Mais sachez qu’un pianiste n’en a rien à faire des applaudissements. Il sait au fond de lui même s’il a réussi ou non à sortir ce qu’il voulait sortir ce soir là précisément. Et lorsque ça n’a pas marché les applaudissements et le bis de remerciement ne sont d’aucune consolation mon vieux. Il ne reste que le goût amer de ce qu’on a manqué [...]"
Et à la fin il ne peut en rester qu'un ? C'est ça ?
(désolé, je n'ai pas non plus lu Kandinsky)
Non, sans blague, arrêtez le délire vous allez faire peur aux lecteurs qui débutent le piano. D'ailleurs je tiens à les rassurer : pour être de bons pianistes vous n'avez pas besoin de 'communier' avec votre piano. Et vous avez le droit d'apprécier les applaudissements.
En tout cas, merci pour la tranche de rire.
Waaou. Ca c'est du forum. Quasimodo propose un trombinoscope (je n'aurais pas osé y coller ma photo mais ça ne m'empêche pas de respecter l'idée) et Zébulon enchaîne coup sur coup : le cours de technique pianistique et le jugement moral. C'est vrai qu'en lisant un post on se fait une idée tellement précise des individus... Au moins aussi précise que sur la technique des pianistes à partir d'une photo...
Tiens, il y a peut-être une idée de business, là...
Par contre, je reste sans voix devant la description du pianiste solitaire :
"Des heures de travail pour affronter le public, un mental d'acier, une concentration maximale, une mémoire sans défaillance, une tension énorme et le tout avec un jeu de détente, de souplesse, de délicatesse de toucher, de délié etc. [...]. Mais sachez qu’un pianiste n’en a rien à faire des applaudissements. Il sait au fond de lui même s’il a réussi ou non à sortir ce qu’il voulait sortir ce soir là précisément. Et lorsque ça n’a pas marché les applaudissements et le bis de remerciement ne sont d’aucune consolation mon vieux. Il ne reste que le goût amer de ce qu’on a manqué [...]"
Et à la fin il ne peut en rester qu'un ? C'est ça ?
(désolé, je n'ai pas non plus lu Kandinsky)
Non, sans blague, arrêtez le délire vous allez faire peur aux lecteurs qui débutent le piano. D'ailleurs je tiens à les rassurer : pour être de bons pianistes vous n'avez pas besoin de 'communier' avec votre piano. Et vous avez le droit d'apprécier les applaudissements.
En tout cas, merci pour la tranche de rire.
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Zerom
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C'est vrai qu'on rigole bien par ici.
Faut pas vous en faire msieur Quasimodo, la Zébulonne a ses humeurs en ce moment, ce doit être en rapport avec la pleine lune, ou alors un truc qu'est mal passé avec son whisky. Du coup elle pète un peu les plombs, mais y a rien de bien méchant, juste de la provoc de principe.
D'ailleurs avoir autant de dédain pour l'ego du musicien (genre je les emmerde tous, je ne joue que pour l'amour de l'effort) tout en se prenant pour le messie avec des bonnes leçon de morale bien grasses, ne manque pas d'un certain humour, ni d'une évidente suffisance, la même qui est d'ailleurs largement dénigrée à propos du rapport d'un pianiste avec son public.
Il faut être un rien cabot pour jouer sur scène, et je trouve cela très bien comme ça. Parceque cela va souvent de paire avec la présence, physique autant que musicale.
Et les vieux profs qui mystifient complètement l'art du piano dans sa pure rigueur transcendantale-ça-y-est-je-me-touche-et-c'est-bon, j'en ai vu qui étaient incapables d'aligner trois notes dès que leur public allait au-delà des 2 cousines et du beau-frère habituels.
Faut pas vous en faire msieur Quasimodo, la Zébulonne a ses humeurs en ce moment, ce doit être en rapport avec la pleine lune, ou alors un truc qu'est mal passé avec son whisky. Du coup elle pète un peu les plombs, mais y a rien de bien méchant, juste de la provoc de principe.
D'ailleurs avoir autant de dédain pour l'ego du musicien (genre je les emmerde tous, je ne joue que pour l'amour de l'effort) tout en se prenant pour le messie avec des bonnes leçon de morale bien grasses, ne manque pas d'un certain humour, ni d'une évidente suffisance, la même qui est d'ailleurs largement dénigrée à propos du rapport d'un pianiste avec son public.
Il faut être un rien cabot pour jouer sur scène, et je trouve cela très bien comme ça. Parceque cela va souvent de paire avec la présence, physique autant que musicale.
Et les vieux profs qui mystifient complètement l'art du piano dans sa pure rigueur transcendantale-ça-y-est-je-me-touche-et-c'est-bon, j'en ai vu qui étaient incapables d'aligner trois notes dès que leur public allait au-delà des 2 cousines et du beau-frère habituels.
Modifié en dernier par Zerom le lun. 13 déc., 2004 16:56, modifié 1 fois.
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Zerom
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6 lettres, pas mieux.egtegt a écrit :Moi aussi, j'aimerais bien me la pêter, mais j'ai pas lu Ferry (C'est de la famille de celui des lycées Jules Ferry ou de celle du ministre ?) ni Kandinsky dont je croyais qu'il était peintre.
Vous croyez que si je dis que j'ai lu l'assommoir de Zola quand j'étais petit à l'école, ça le fera ? (ça m'a assommé d'ailleurs)
J'ai pas lu Ferry non plus, je croyais que c'était un bateau pour aller en voyage scolaire à Brighton. De même que Lovecraft d'ailleurs.